note: les dialogues en français signifie que les personnages parlent en anglais, les phrases en langues étrangères seront soulignées. désolé d'avance pour les fautes d'accents mais mon PC ne me permet pas d'en faire certains, n'existant pas dans la langue française, pour ceux qui ne l'avaient pas encore remarqué, les passages en italiques sont ce que pense le narrateur au fond de lui. Bonne lecture !-)
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SATO:
Je me tiens devant le portail du lycée super-héroïque de Genève. Ce dernier donne sur une cour en goudron qui sépare deux bâtiments qui, je suppose, doivent être les salles de cours. Au fond, on peut distinguer un autre immeuble, celui-ci doit être les internats, et, selon les affiches, doit aussi contenir l'accueil. En jalonnant la cour parsemée d'arbres, je remarque que je ne suis pas le seul pauvre type à être paumé ici, c'est limite si je ne suis pas le moins. Une fois arrivé à l'accueil, on me dit d'aller en salle 103. Je veux bien, mais elle est où votre salle ? Un membre de terminale (c'est comme ça que vous dites, vous les européens, non ? ) arrive, m'emmène jusqu'à ladite salle par un chemin que je n'ai pas retenu, et me laisse devant la porte avec un groupe de deux élèves pas plus âgés que moi.
Parmi eux, se trouve un garçon aux cheveux noirs, courts, avec littéralement des yeux de serpent, un peu plus grand que moi de, je dirai, 5 centimètres, une partie de sa joue gauche ainsi qu'une parcelle de son cou sont recouverts d'écailles. À côté de lui, se trouve une fille aux cheveux châtains, les yeux bleus, quelques traces noires sur ses avant-bras et fait approximativement 7 centimètres de moins que moi. J'entend discuter dans la salle, le groupe qui nous précède n'as pas encore fini. On s'installe donc tous les trois sur un banc dans le couloir, attendant que le groupe sorte. Après je ne sais combien de temps, le type aux pupilles non-légales brise le silence :
"Holà todos, me llamo Marco, y vosotros ?"
La fille à côté de moi n'avait pas l'air d'être perdue, moi en revanche, c'était autre chose. Et je suppose que si je lui répond par une question dans ma langue natale, ça n'allait pas le faire, comment procéder ? Je parle pas l'espagnol moi, car oui, je sais au moins identifier quelques langues. Vous pouvez bien savoir que quelqu'un parle allemand sans en entraver un mot ? et bien moi c'est pareil. La réponse de la fille m'apporta la solution :
"Bonjour, je m'appelle Alyxia Friedrich, et toi ? dit-elle en regardant dans ma direction.
Bon sang, c'est vrai, l'anglais, qu'est-ce que je peux être con ! Heureusement pour moi, je me débrouille bien.
- Je m'appelle Sato. Belle entrée en matière hein ?
- Vu que Friedrich a donné son nom, je vais dire le mien, c'est Lopez de la Cruz, et toi ?"
Après un soupir, je me résous à répondre,
"Shindanero, voilà mon nom de famille. Pitié, soyez plus ouvert d'esprit que les autres
-Wow ! Comme le vilain ? Oh merde. Mais c'est giga classe ! me répondit l'homme serpent.
-*rire nerveux* C'est mon père... fis-je déconcerté par sa réaction.
- Oh... Pas grave, enfin... On a plus ou moins de chance dans la vie... Tu sais...enchaîna-t-il après un blanc.
- Je suis sûre qu'on a des tas de choses à se raconter, mais pour l'instant, il faudrait qu'on y aille, le groupe précédant vient de sortir."
Soulagé que la discussion au sujet de mon père n'aille pas plus loin, nous nous dirigeons vers la salle. Je prends l'initiative de frapper à la porte. Une voix grave et plutôt cassée nous dit de rentrer. En ouvrant la porte, j'ai cru que mes deux camarades allaient faire une syncope, devant nous se dressait un héros que j'ai du voir une fois lors d'un JT. Un héros qui, selon un guide touristique que j'ai lu dans l'avion, à été longuement dans le top 100 mondial et à figuré durant quasiment toute sa carrière dans le top 10 européen : Bahamut, je ne savais pas qu'il enseignait ici après sa retraite. Apparemment les autres aussi. Il ressemblait à un dragon humanoïde, recouvert d'écailles grises et bleues, une queue de reptile, des ailes tout droit sorties d'un livre d'Heroic Fantasy, sa tête ressemblait à celle d'un dragon, logique, avec des cornes sur les côtés de sa tête allant vers l'avant, ça faisait bizarre de le voir dans un costar. La seule chose que je savais de lui auparavant, c'est que c'était un héros professionnel qui a du partir en retraite à cause de son âge. Après un échange de bonjour, il nous dit de nous assoir. Ce que l'on fit, et commença à nous poser des questions.
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MHA: European Hero Academia
Fiksi PenggemarLa vie est difficile pour Sato Shindanero, fils d'un vilain, sa mère étant internée dans un hôpital psychiatrique, il va essayer d'intégrer le lycée de UA. Ou au moins devenir un héros afin de prouver que le fait d'être héros ou vilan ne dépend pas...