Chapitre 5

113 1 0
                                    


Précédemment dans la métamorphe:

Nous rentrons dans le chalet quand...

Présent:

Un hurlement à percer les oreilles retanti.

Je rentre chez nous en vitesse, ouvre un petit coffret en bois d'ébène et attrape les bijoux à l'intérieur.
Je ressortie aussi vite que j'était entrée et lança à mes amis leurs bijoux réspectifs. Je saute du haut de l'arbre et atterrie sur le sol sans dommages.

Un bracelet avec un quartz rose pour Leira, un collier orné d'une améthiste pour Kaïsa, le bracelet au perle noires et rouges est à Jonathan, et mon bracelet à un saphire bleu pâle pour ornement. (Voir média)

Chacun enfile son bijou et invoque son armure de protection et son arme fétiche.

Pour Kaïsa une sorte de bustier rouge en cuir avec des gravures et des pochettes à la ceinture pour ranger tout et n'importe quoi. Elle possède des dagues rouges sang.

Leira un simple haut d'armure en acier avec des shurikens en argent.

Jonathan a une armure en cuir noir bien entendu, il possède une hache à double sens verte émeraude.

Moi? Et bien une simple armure en pyrite dorée formée de fines spirales. Une épée indéstructible me sert à me défendre.

Nous nous rendons sur le lieu du cri et je vis des loups agressés des membres du gang.

Je saute sur le loup le plus proche -son pelage est de la même couleur que le Sahara- et lui sectionne la gorge d'un coup net et précis, sa tête roule lentement sur le sol en déversant un flot de sang rouge sombre, tâchant l'herbe verte de la colline ou nous nous trouvons.
Son corps sans vie s'éffondre lourdement sur le sol, je me laisse distraire et un autre ennemi m'attaque, il me mord la jambe gauche violement et secoue sa tête.
Je hurle de douleur et m'écroule. J'essaye de rassembler de l'énergie pour me métamorphosée.
Je fais plusieurs tentatives avant d'y parvenir.
En même temps avec un loup à la noix qui prend ma jambe pour un jouet, c'est pas facile facile.

Bref, je morphose lentement; Je perd d'un coup plus d'un mètre de hauteur, je continue de rétrécir jusqu'à avoir le nez à quelques millimètres de l'herbe.
Pendant ce temps, le loup tenait toujours mon pieds.
En même temps que je rétraisissait, mes membres se recouvrait de petits poils rigides et mes mains se séparaient pour formé des "aiguilles".

Mon dos se durcit et une partie asser épaisse se décola de mon dos pour se séparer en deux et devenir noir, solide et brillant: des élytres

Une autre partie de mon dos se sépare de lui, fine cette fois et transparente me permettant de voler.
Ma tête s'applatie et ma bouche forma une petite trompe.

Mes os fondirent comme de la glace au soleil et furent remplacés par une carapace luisante et solide. C'est désagréable à un point pas possible, en plus, on entend les os se déplacer. Ça donne envie de vomir.
Puis, une paire de pattes identiques à celles que je possédaient à présent, perce ma chaire au niveau des côte.

Mon corps forma trois parties principales: une petite tête, un thorax et un abdomen disproportionné.

Je ne sais pas si vous avez deviner, mais j'ai morphosé en scarabé.

Je sais c'est pas fou comme transformation mais si j'aurais choisis un grizzly, par exemple, je serais restée bloquée entre les dents de l'abruti qui me tenais.

Je passe entre les mâchoires du loup ébahis.
En tant que scarabé je m'envole et observe d'en haut le combat qui se déroule à terre.
Je repère mes amis et regarde coment ils s'en sortent.

La Métamorphe (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant