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Précédemment :

— Noooon ! Laisse mes parents tranquilles s'il te plaît ! Je t'en supplie, petite ! Non ! S'il te plaît...

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L'enfant s'agenouilla près de Maya et d'un petit geste vif et sec elle lui trancha sa carotide droite. La jeune femme hurla de douleur et l'enfant sourit en caressant sa joue.

Puis en se levant elle fit d'un mouvement très lent une entaille dans la tempe droite, puis dans la tempe gauche. Elle se pencha vers la jeune femme qui avait perdu connaissance et lécha son sang en souriant de bonheur.

Enfin, elle se leva et trancha entièrement la gorge de Maya. Une fois cela fait elle souleva avec peine le corps svelte de sa victime et l'attacha par les poignets à un crochet fixé au mur de la cave. Elle alla chercher un couteau plus aiguisé et dépeça avec soin la jeune femme.

Une fois sa tâche faite, elle se déshabilla entièrement et posa la peau de la jeune morte sur son dos. Elle invoqua quelques esprits et se mit à réciter doucement ces phrases, les yeux clos :

« 𝔒 𝔤𝔯𝔞𝔫𝔡 𝔇𝔢́𝔪𝔬𝔫, 𝔤𝔯𝔞𝔫𝔡 𝔐𝔞𝔦̂𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔲 𝔪𝔞𝔩 𝔢𝔱 𝔞𝔰𝔰𝔬𝔠𝔦𝔢́ 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔯𝔢𝔦𝔫𝔢 : 𝔐𝔬𝔯𝔱. 𝔒 𝔐𝔬𝔯𝔱, 𝔤𝔯𝔞𝔫𝔡𝔢 𝔯𝔢𝔦𝔫𝔢 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔪𝔬𝔯𝔱 𝔳𝔢𝔫𝔢𝔷 𝔪𝔬𝔦 𝔢𝔫 𝔞𝔦𝔡𝔢. 𝔒 𝔤𝔯𝔞𝔫𝔡 𝔐𝔞𝔦̂𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔪𝔞𝔤𝔦𝔢 𝔫𝔬𝔦𝔯𝔢 𝔳𝔢𝔫𝔢𝔷 𝔪𝔬𝔦 𝔢𝔫 𝔞𝔦𝔡𝔢. 𝔄𝔦𝔡𝔢𝔷 𝔪𝔬𝔦 𝔞̀ 𝔭𝔯𝔢𝔫𝔡𝔯𝔢 𝔩𝔢 𝔠𝔬𝔯𝔭𝔰 𝔡𝔢 𝔠𝔢𝔱𝔱𝔢 𝔧𝔢𝔲𝔫𝔢 𝔣𝔢𝔪𝔪𝔢, 𝔧𝔢 𝔳𝔢𝔲𝔵 𝔮𝔲𝔢 𝔪𝔬𝔫 𝔢𝔰𝔭𝔯𝔦𝔱𝔰 𝑦 𝔭𝔢́𝔫𝔢̀𝔱𝔯𝔢. 𝔍𝔢 𝔳𝔢𝔲𝔵 𝔭𝔯𝔢𝔫𝔡𝔯𝔢 𝔩'𝔞𝔭𝔭𝔞𝔯𝔢𝔫𝔠𝔢 𝔡𝔢 𝔠𝔢𝔱𝔱𝔢 𝔡𝔢́𝔣𝔲𝔫𝔱𝔢. 𝔗𝔯𝔞𝔫𝔰𝔣𝔬𝔯𝔪𝔲𝔪 𝔭𝔢𝔫𝔞𝔱𝔯𝔦𝔲𝔪 𝔠𝔞𝔡𝔞𝔳𝔢𝔯𝔲𝔰 𝔰𝔭𝔯𝔦𝔲𝔰 »

Quand elle eu terminé de réciter ces paroles, sa peau se mit à s'arracher, à se fendre de partout. Le sang coula soudain à flots et l'enfant se mit à hurler de douleur. Elle tomba à genoux à terre et se prit la tête entre les mains. Elle pleura, cria et puis le silence se fit. Elle se releva, elle faisait soudain 1 mètre de plus, sa taille était devenue celle d'une jeune femme. Elle se toucha le corps, les cheveux et pour elle même sourit.

Elle tira le squelette de son crochet et alla le jeter sur le tas de la seconde partie de la cave.

Elle remonta ensuite au rez-de-chaussée et sorti de sa maison. Elle ouvrit la voiture de Maya et prit la route pour la maison de sa victime. Une fois arrivée elle coupa le contact et entra sans faire de bruit dans la maison silencieuse. Elle allait monter à l'étage à pas de loups pour éviter de se faire remarquer trop tôt mais une lumière s'alluma et le père de Maya apparu. Son visage s'illumina en la voyant :

— Maya ! Déjà rentrée ? Il n'est qu'une heure du matin.

La petite fille sourit et dit :

— Eh oui... J'en avais marre de cette... Fête. Je préfère jouer avec toi.

Le sourire de l'homme se figea.

— Maya, tu t'es droguée ? Tu es saoule ?

L'enfant fut secouée d'un rire sans fin.

L'homme écarquilla les yeux et dit :

— Tu n'es pas saoule... Tu n'es pas droguée... Vous n'êtes pas ma fille !

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𝕷𝖆 𝖕𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊 𝖋𝖎𝖑𝖑𝖊Where stories live. Discover now