Chapitre 17 : Un ciel furieux

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Dimanche... dimanche... bon ! On va dire qu'il est dimanche soir ! Très tard ! Ou alors lundi matin ! Mais alors très tôt aussi ! (non, mon horloge n'indique pas trois quarante cinq du matin, NON... je suis en train de rêver 🙄😱)

Bref ! Comme qui dirait, on entre dans le vif du sujet ! ✌ Bon ! J'avoue ! Les combats, ce n'est pas encore pour le moment... peut-être pour le prochain chapitre, qui sait ! 😉

Oh ! Hé ! Le 1.K de vues est bientôt atteint ! Alors, il ne reste plus beaucoup de temps pour poser vos questions ! Lâcher-vous ! Je ne mors pas ! Et je suis très réceptive alors ne vous inquiétez pas !

Enfin ! Vu que je n'ai pas vraiment grand chose à raconter, je vous souhaite une bonne lecture ! 😘


Parler : japonais

Parler : italien

Parler : souvenir

"Parler" : penser


Ricardo ruminait. Ses pas le menèrent dans la forêt à l'intérieur de leur propriété tandis qu'il serrait les dents. Encore une fois, Giotto ne voulait pas... ou plutôt n'était pas disposé à lui redonner son titre de Secondo tant que la guerre ne se terminait pas. Et il trouvait cela injuste. Pourquoi devait-il attendre la fin des affrontements ? Il avait déjà assez attendu pour se tenir au sommet des Vongola.

Surtout qu'à ce moment, des deux patrons, il était le plus susceptible de diriger la famille. Après tout, des deux, seul lui possédait encore tous ses...

S'arrêtant dans sa marche, le jeune homme secoua la tête pour enlever en vitesse cette pensée. Tout en se mordant la lèvre inférieure, il regretta aussitôt ce à quoi il venait de penser.

Si Giotto avait dû plonger tête baissée dans cette guerre, c'était en parti de sa faute. Il n'arrivait pas à gérer le flot interminable d'adversaires qui se présentaient à lui. A cause de son incompétence, beaucoup de ses hommes avaient été blesser ou perdirent la vie. Même ses gardiens ne furent pas épargnés. Le pire restait Daemon qui agonisait sur son lit quand le premier ciel Vongola retourna aux pays pour les sauver.

En un tour de main, après avoir repris son anneau et son rôle de patron, il renversa la situation et plaça la famille et ses alliés dans le camp des vainqueurs. Ou du moins, les batailles se gagnèrent avec lui.

Enfin, tout cela ne fut pas sans sang versé. Quand l'adolescent se rappela de toutes les pertes qui s'accumulaient à leur compteur, il ne put que serrer les dents. Et dire qu'avec cela, son cousin se tenait toujours debout à diriger leurs forces dans ces affrontements de plus en plus violents. Alors que lui, au même stade, serait effondré.

L'une des choses pour lesquelles Ricardo admirait secrètement Giotto était son calme à tout épreuve. Il en eut la démonstration peu de temps après avoir rejoint les Vongola, soit il y a environ cinq ans. A une réunion avec différents patrons mafieux, alors que tous s'affolaient suite à plusieurs problèmes, lui demeurait serein. Une surprise pour le garçon à ce moment.

Et sans que personne ne comprenne, il se leva tranquillement de son siège avant de prendre la parole. Sa voix posée et chaleureuse attira l'attention de tous les mafieux présents. Ces derniers se retrouvèrent à le fixer, buvant ses paroles.

Bien que Ricardo ne l'appréciât de par son côté pacifiste, il devait lui reconnaître un talent indéniable de leader. Personne d'autre que lui ne pouvait gère aussi bien un groupe d'autodéfense sans tomber dans la mafia avec des gardiens aussi destructeurs.

Primo = Decimo ? (KHR Fanfiction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant