Chapitre 28 : Cielo

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Mmh... 🤔... il semblerait que je n'ai pas plus d'une semaine de retard, mais un mois !! 😱😱 Alors je ne sais pas quoi dire à part un énorme DÉSOLÉE ! 🙏😢

Raisons : euh... Japan ? Manque d'inspiration ? Flemme ? Chaleur ? Fatigue ? Occupations ? 😅

En tout cas, ce chapitre m'a bien cassé les pieds ! Que je vous explique ! Il. Est. Énorme.😱😱 Sincèrement, c'est le plus long chapitre que j'ai écrit de tous ! (enfin, je n'ai pas encore écrit le suivant...)

Ce qui me fait penser !! Après ce chapitre... il ne restera qu'un chapitre !! Et j'ai fini !! 😱😱😱😱 (bon, encore faudrait-il que le dernier ne serait-ce plus d'une page... 😒)

Oh hé ! Pour les âmes sensibles ! Il y a un passage où une blessure assez portante est décrite, donc, vous êtes prévenus !

Bon ! Vu que je n'ai plus rien à raconter (plus qu'un chapitre...), je vais vous souhaite une bonne lecture ! 😘 (et une bonne chance aussi pour le finir...)


Parler : italien

Parler : attaque

Parler : souvenir

... je crois que c'est tout... 😅


Au loin, les derniers coups de pistolets retentissaient, sûrement Ricardo et ses gardiens éliminant les forces restantes des Somaro et de ses alliés, tandis que le Vongola Primo, plus connu sous le nom de Giotto di Vongola pour ses amis et sa famille resserra son poing sur la boîte contenant anciennement les anneaux de la palourde avant qu'il ne les offre à ses gardiens qu'il considérait comme ses plus proches amis et... ses frères qu'il n'avait jamais eu ; et ne jeta qu'un simple coup d'œil au cadavre de Marcello dont la chaleur le fuyait.

Par sa faute, tout ce à quoi tenait Giotto ne se résumait plus qu'à une poignée d'êtres encore en vie par chance. Malheureusement... sa précieuse famille qu'il gagna au fils des années... ses gardiens... ses éléments... ses plus proches amis... ses frères... ses sœurs... celle à qui il donna la moitié de son âme... n'étaient plus...

Aucun... d'entre eux...

Et l'espace de son cœur réservé à ces chères personnes... demeuraient vide... Un sentiment qui ne lui manquait certainement pas. Autrefois rempli de joie, seules les ténèbres l'accueillaient à présent. « Car un ciel sans ses éléments est un ciel mort », une phrase de Chekerface qui prenait tout son sens à présent.

Son dos toucha soudainement le tronc solide de l'arbre, le ramenant à la réalité alors qu'il s'asseyait contre lui. Avec un soupir, ses orbes orange se dirigèrent sur le ciel perdant de plus en plus son bleu au profit du noir. Une couleur qu'il l'accompagnait souvent ces derniers temps et qui ne lui plaisait guère.

Puis, se portèrent sur l'étui qui ne l'avait pas quitté de tout le combat. Une simple boîte, diront certains et qui ne valait pas la peine d'être protégée. Pourtant, Giotto y voyait autre chose qu'il chérirait.

Son lien avec sa famille.

Comme les doux souvenirs l'entourant. La fois où Chekerface le lui offrit, à cet instant, elle contenait encore les bagues qui deviendront l'apanage des Vongola. La fois où il les offrit aux personnes qui comptaient le plus pour lui. La fois où Neiva y cacha les anneaux des Fiore pour les protéger. La fois où il la passa à Ricardo, suite à son couronnement en tant que Secondo. Et la fois où... il la sortit, pleine de cendres des restes du manoir...

Primo = Decimo ? (KHR Fanfiction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant