Sujet bien sombre pour ce retour et ma réentrée en matière.
En effet je pense que certaines personnes ne connaîtrons que trop bien ce dont je parle, d'autre ne l'auront jamais vécu et une autre partie sera en train de la vivre.
Le pic du mal-être comme je l'appel mon vieil ami, celui qui t'accompagne très peu dans les déprimouilles du dimanche quand rien n'est prévu, qui n'es jamais là quand tout va bien, celui qui te regarde t'épanouir sachant très bien que tu ne l'attends pas et ne l'attends plus parce que tu ne veux plus faire partie de sa vie, tu veux le virer de ta tête pour toujours et à jamais.
Casse toi bordel.
Ces trois mots qui résume très bien ta relation avec ce pic.
Mais que ce passe-t-il quand il revient plus fort, plus douloureux et plus fort que jamais ?
Je sais que ça arrive et que ça arrivera toujours à quelqu'un peut importe si il vit une parfaite ou totalement pourrie.
Le pic de mal-être.
La dépression.
Certains la connaisse très bien , d'autres très peu.
Mais une partie la surnomme, car si peut de sentiments les accompagne qu'ils finissent par se sentir accompagnés par un démon. Comme si les lendemains n'existaient plus, comme si l'amour, les sentiments, la vie et d'autres paramètre du vivant n'avait plus d'importance si ce n'est que de nous faire souffrir plus encore.
Cette période de notre vie qui nous donne envie de tout plaquer, dans le mauvais sens comme dans le bon.
Je ne sais pas comment je pourrai exprimer les sentiments traversant ma tête durant ces périodes que j'ai pu vivre dans ma vie.
Comme si personne ne comprenait ce que je ressentait car la banalisation de celle ci a finit par me détruire et donner aux personnes m'entourant l'illusion que je ne voulais pas aller mieux et que je faisais semblant pour recevoir de l'attention. Parce que "la dépression n'existe pas chez les ados" ou bien encore "tu n'as qu'a lâcher ce téléphone qui te fait voir des conneries tous les jours".
Comme si la seule chose me menant dans ce gouffre sans lumière était engendré par la seule personne me permettant d'aller mieux derrière son seul et unique écran.
Je ne sais pas vraiment si je suis légitime à avoir passer cette passe de ma vie, d'avoir été en dépression alors que j'avais tout ce qu'il m'était possible d'avoir, comme si j'étais égoïste de ressentir un sentiment de profonde dépression alors que certaines personnes même beaucoup plus d'autres personnes soufraient plus que moi. Je n'arrivais pas à déculpabiliser de me dire que j'étais plongé dans une sorte de spirale mais qui ne m'était pas légitime parce que j'étais censée être trop heureuse pour la ressentir.
Je n'osais pas avouer à quel point je brûler et me consumais de l'intérieur. J'implosais. Littéralement.
Par honte de ce ressenti sans aucun doute.
Je pensais pouvoir surmonter cette passe comme l'on traverse un pont en hauteur, difficilement au début puis courant vite pour en finir, au lieu de ça je me suis habitué qu'au vide de ce pont, face à mes sentiments j'ai ignoré ce que j'étais et j'ai finit par m'habituer à ces sentiments qui n'était maintenant que mon quotidien.
Mais l'accoutumance à ces sentiments n'est pas normal car tout le monde et je dis bien tout le monde est légitime de ressentir et d'éprouver une dépression.
La banalisation de celle-ci ne rendra pas la tache facile, parce que les psychologues donnent des anxiolytiques a des personne n'en n'ayant pas besoin mais n'en donnent pas à d'autres.
Je ne dit pas que l'aspect médicamenteux est le seul facteur pour guérir, puisqu'il n'est pas ciblé pour la psychologie humaine.
Je veux dire par là que le fait de comprendre et de savoir que l'on est en dépression et déjà un pas vers la guérison, pas un pas de géant mais un petit pas peu tout changer comme dirait mon vieux pote Neil "Un petit pas pour l'Homme mais un grand pas pour l'humanité".
Mais dans le pic du mal-être l'important n'est pas toutes ces futilités.
Mais bien tes sentiments.
Tes mauvais sentiments.
Exprime les, dessine les, extériorise les, cris les au monde.
Non ça n'arrangera pas ta situation mais ça sera déjà moins lourd à porter.
Vis comme tu l'entends et ris comme tu le veux.
Et si malgré tout cela rien ne marche, alors pars.
Oui je sais ce n'est pas toujours la bonne solution mais comment empêcher quelqu'un de mourir si ce n'est que ce qui lui permet de vivre. On ne survit pas avec la mort à côté de soit. Je peux peut_être choqué certains mais savez vous seulement ce que vivre est censé représenté ? Le bonheur aussi subjectif qu'il soit, comment vivre si ton rêve est de mourir. Vivre n'est pas survivre alors oui la mort peut paraître lâche pour certains, courageux pour d'autres moi je pense qu'elle n'est pas évitable non pas comme une fatalité mais bien comme un passage obligatoire avant quelque chose de plus beau. Quoi ? Je ne sais pas mais je sais que cette belle lumière vu par ces personne ayant subit une passe entre la vie et la mort et peut être le rêve de certains.
Je n'encourage personne au suicide évidemment mais au lieu de juger une personne sur le fait qu'elle soit pour ou contre le suicide, ne pensez vous pas qu'il faille savoir pourquoi parle-t-elle du suicide ?
Personne ne parle du suicide dans une conversation anodine.
Personne n'aime parler du suicide dans tout les cas alors demandez vous si cette personne qui parle actuellement de cet acte est-elle égoïste ou juste dans une panique totale et ne demande que votre main pour s'accrocher encore une dernière et unique fois à la vie.
Alors votre choix c'est d'ignorer ou de sauver?
Faire le sourd ou écouter ce que le monde a à vous dire?
Avant de vouloir terminer une personne de vos propres mains juste parce qu'elle a pensée au suicide ne pensez vous pas que votre main serait mieux dans la sienne, la remontant enfin de ce gouffre auquel elle s'est habituée?
Heyyyy, je suis vraiment désolé(e) pour cette absence mais j'avais besoin de faire une pause sur tout les réseaux sociaux, j'espère que l'histoire vous plaît, si quelque chose ne va pas chez vous ou en vous je suis toujours là pour vous écouter.
Désolé(e) si cette histoire vous déplaît ou que les fautes d'orthographes sont trop présentes je ferai mieux une prochaine fois peut-être.
A bientôt peut-être.
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You.
De TodoCommencer, tout commencer, recommencer mais qui sait un jour peut-être nous finiront par continuer mais aussi nous révéler.