Julie

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Tout commence il y a 6 mois, lorsque j'avais 16 ans, un jour banal lorsque je rentrais chez moi pour finir la journée, je croise le regard d'une fille sublime. Brune, aux yeux marrons, un sourire a rue d'épreuve. Après ce premier regard je pris sur moi et alla la voir, la discussion commença par une salutation banale. Puis la discussion arriva au point du, « jeu de la séduction ». Un jeu si compliqué qu'on n'en connaît pas les règles. On sors chacun ses atouts sans révéler les défauts. J'obtiens alors son snapchat et son numéro, après de multiples hésitations je décide de lui envoyer un message. Ce fameux premier message l'air de rien qui a plusieurs sens. Le premier c'est, j'aimerais te revoir et le second, tu me plais. Et ça, elle l'a tout de suite devinée. De fils en aiguille j'ai appris à la découvrir sous toutes ses facettes. Son prénom est Julie, elle a plusieurs hobies, la moto cross et la musique. Je suis tombé amoureux de son grain de folie qui nous faisait nous évader dans nos fou rires et nos jeux d'enfants, comme construire une cabane dans sa chambre ou encore courir comme des enfants sans se préoccuper du regard des autres. Les jours, semaines puis 2 mois passa, j'ai pris ensuite l'initiative de lui déclarer. Pour ma déclaration, je ne suis pas passé par plusieurs chemins, j'allais lui dire quand soudain, elle posa son doigts sur mes lèvres et dit « je sais » puis on s'embrassa. C'était une explosion de joie, de bonheur, de satisfaction. Et les folies ne s'arrêtaient pas là, entre nuit blanche passé au téléphone, balade en moto sans but précis, s'embrasser longuement pour rien. Toutes ces petites choses qui font que cette personne est unique. Puis il est venu les fameux moments de disputes où l'on s'en veut d'avoir fait quelque chose de mal. Je me souviens d'une dispute avec comme éléments déclencheur, le code de mon téléphone, puis je ne sais plus pourquoi elle a fini par me dire qu'elle faisait ça parce que elle m'aimait, sur le coup je n'ai pas réalisé la chance que j'avais d'avoir cette personne a mes cotes puis la nuit qui suivi je l'ai appellé tard le soir aux alentours de quatres heures du matin pour lui présenter mes excuses, puis on resta le reste de la nuit a se parler. Puis le nombre de disputes continuais a fleurir. Cela fait maintenant un mois et deux semaines que nous sommes en couple puis elle m'annonce qu'elle commence a douter de ses sentiments. Sans répondre a son message, j'ai courru pris le bus, courru et atteri chez elle. Lorsque j'ai sonné j'entendais de dehors ses pas précipités mais hésitants aussi. Et puis j'ai vu son visage, en sanglot, appeuré, et coupable, elle m'ouvra la porte, me pris dans ses bras puis pleura de nouveau dans mes bras, c'est alors que j'ai réalisé que cette personne m'aimais. Elle et moi sont montés aussitôt dans sa chambre, l'amour n'éxistait désormais plus et laissa place à la passion.. ces suçons qui sur la peau ne restent pas mais sont gravés dans l'esprit. Trois semaines passèrent, le bonheur était une routine a ses côtés. Puis, le destin nous réserve des obstacles, lors d'une sortie habituelle, elle me dit qu'il fallait qu'on parle, on est donc allez chez elle. La fameuse information qu'elle me disa ruina et me dévasta au plus profond de mon être si fébriles. Elle n'avais pas d'autres choix que de déménager dans le Sud de la France, Nice. Je ressentais un vide impossible a combler puis une larme s'échappa de mon oeil, puis deux, puis la troisième ne sorti pas. Un éveil d'un nouveaux sentiments fis son apparition dans mon coeur, la tristesse colérique, j'alla donc voir son père puis lui demanda pourquoi donc. Il me répondit d'un air autint, que c'était pour son travail. Dévasté je le supplia de trouver une alternative, une échappatoire à cette malédiction. Je n'avais d'autres choix que d'accepter cette sentence si triste fut-elle. Coeur brisée des deux côtés, elle me pris la main puis posa délicatement ses lèvres contre  les miennes, nos larmes faisaient de mêmes, tandis que d'autres épousais mes joues. La tristesse et l'humeur morose fit son apparition et remplaça cette bonne humeur, lors du déménagement, je lui dit alors adieu. Je voyait sa silhouette s'en aller vers cette voiture noire. Cheveux au vent, larmes au creux des fossettes, elle se retourna puis courra vers moi, m'embrassa et me pris la main. Sentir sa peu douce et son corps chaud contre mon corps remplis de tristesse. Nos larmes ne cessairent de couler tel un ruisseau au creu d'une montagne. Lorsque j'entendits, cette voix rauques, appeller cette fille. Elle cessa de m'embrasser me fixa, essuya mes larmes. Puis marcher vers ce véhicule. Je senti sa main, lâcher petit a petit, ses doigts qui effleurent le creux de ma main, ses ongles qui rappent mes phalanges. Lorsque sa main quitta la mienne, mes larmes prirent le dessus, sans support pour les retenir. J'ai décider de courir, sans destination précise, puis j'ai réalisé que notre histoire n'aurais pas pu finir dans le calme et la tendresse. A travers nos disputes, nos défauts. Je n'ai pas pu lui dire a quel point je l'aimais. Deux jours insoutenables sont passés, je ne ressens plus un vide mais le néant. Puis j'empoigna mon téléphone, sorti dehors marchant nul part, et en lui écrivant un message d'adieu et lui dire que je l'aimerais encore et pour longtemps. Ce a quoi elle repondit qu'elle ne veut plus recevoir de message de ma part, à ce moment je ne controlais plus mes mains et doigts mais mon coeur parla a ma place et repondit que je l'aimais plus que tout au monde que je regrettait qu'elle parte, en lui remémorant tous ces souvenirs passés ensemble, lorsque l'on courrait comme des enfants, on faisait des cabanes, jouaient avec la nourriture, puis même nos disputes. C'est alors que tout s'effondra lorsqu'elle me menaça d'aller dénoncer des faits d'harcèlement alors qu'ils n'existent pas. La déchéance et le chaos faisait a présent partie intégrante de ma vie. Entre pleure, et humeur morose a longueur de journée, elle me manquait, la depression me pris par sa main puis m'accompagna dans ce long tunnel rempli de tristesse et de mal qui m'était encore inconnue. Quelques moi plus tard, la fin du tunnel fut visibles, les personnes qui etaient la, qui m'aidaient a m'en sortir éclairés de verité, j'en ressorti pas moins blessé, des coupures morales comme physiques. Ces cernes semblables aux cornes du diable, puis l'oiseau de lumière éclaira mon chemin, la depression lacha ma main puis c'est a présent que cette histoire se fini. La dépression fut une longue histoire cruciale de ma vie qui est pourtant assez courte. La dépression est le prochain chapitre

Coeur Brisé, Âme Fissurée  [•Autobiographie•]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant