Notre histoire d'amour à commencer un huit décembre. Une belle date. Enfin, une qui n'a pas été normal comme les autres. Mais avant cette date il y a eu notre rencontre. Quatorze Septembre. J'en ai parlé dans notre journal. C'était beau, comme tout nos moments. Bon ou mauvais.
Les flocons de neiges ne cessent de s'arrêter. Voir Londres enneigé c'est une belle découverte. Cette période est vraiment magique. Assis sur le banc, un café vient chaud dans mes mains ; j'observe. Rien de plus banale.
Je me rappelle même avoir trouver ça très ennuyent au final.
Et c'est quand je suis rentré chez moi que ma mère m'a appelé. Je devais aider nos nouveaux voisins à emménager. Je me souviens même d'avoir soupirer d'agacement car ma seule envie c'était de me prendre un bain chaud.
Mais si j'aurai su qui était nos voisins, jamais j'aurai été agacer. Tu le sais ça mon coeur pas vrai ?
Les voisins sont arrivé une heure après.Une jeune grande femme au long cheveux dont je ne voyais pas sa couleur de cheveux. Enfait, c'était qu'un détail parce que j'en avais royalement rien a foutre. Puis j'ai vu une silhouette d'un homme, et j'en conclus que c'était le conjoint de la femme. Puis j'ai vu une masse de cheveux bouclé. Sur le coup j'ai même éclater derire parce que je me suis imaginé un visage juste... Hideux ? Mais quand j'ai vu ce visage... Je m'en suis voulu de m'être emporter. Parce que son visage... N'a pas été hideux mais incroyablement beau. J'ai arrêté mon observation a travers le rideau pour aider la nouvelle famille. « Louis c'est cela ? Bonjours, je m'appelle Anne.» Ma tete fait un oui et je lui serre timidement la main. « Je te présente mon mari Des, et mon fils Harry. »
J'ai été complètement idiot quand j'ai vu ton visage pour de vrai. Tu étais vraiment beau, enfin, tu l'es toujours mais se que je veux dire c'est que... Harry t'a des yeux vert qui fait que le monde n'existe plus quand on les croise. Je t'ai lancé un simple bonjour. Je t'ai aidé a monté les cartons dans ta chambre. La première chose que j'ai aperçu a été ta collection de littérature.
« Non j'y crois pas, t'arrive à lire ça ?» Mon nouveau voisin, du nom de Harry Styles m'a regardé avec beaucoup de curiosité dans son regard. « Harry il y a plus de trois cents pages, comment tu fais je t'ensupplie ? C'est écrit en tout petit, presque illisible.» Il a rigolé d'un seul coup. Son rire... Son rire m'a fait sourire. On aurait dit un petit enfant. « Louis, je t'assure que c'est très facile quand tu prends le temps de découvrir l'oeuvre et d'aimer la lecture. Je peux t'en prêter un si tu veux ?» « Non merci parce que ... Non merci. »
Il faut savoir quelque chose mon ange. C'est que ton rire est contagieux. Et se passage fait parti d'un de mes moments favoris. Notre rencontre.
