*Lancer sa canne à pêche au premier nuage qui passe et se laisser tirer. Se réveiller puis se rendormir. Le nuage n'est plus mais le ciel est bleu. Se réveiller, être éveillé.
*Souvenir d'un homme "qui aime les arbres puisqu'ils ne soutiennent rien"
*Et c'est face à cet être aux allures de l'Est que l'écho se fait le plus fort. Il transperce la roche, le minerai ou le quartz, s'attache à mon ombre et plus encore à mes pensées ! Il me suit comme un ami, comme un écho dans une sombre grotte qui se répercute sur chacunes de mes fibres. Je ne pense pas avoir fini d'entendre cet écho.
*Camouflée par les lianes tombantes des plus hautes cimes des arbres, l'outrance guette le mystique dans le but de ne redevenir qu'un.
*L'esprit sec comme le sable fin d'un désert aride et la figure verte qui observe, qui ressent, qui vit, qui rit. Constamment balayée... elle résiste.
*Trois accords lourds t'écrasant d'un fardeau plus lourd que celui d'Atlas.
Prélude in C Sharp Minor (Op. 3 No. 2)
Être attiré au point d'écouter cette mélodie en boucle relève du sublime, une terreur que l'on redemande.
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Au fil des cordes métalliques
SpiritualRéflexion et digression plus ou moins profonde qui travers mon esprit pendant que je parcours le métro. Un chapitre par semaine avant de faire le tour de Paris. ( c'est un mensonge )