Sept hommes pour une femme

chapitre 5: Le dénouement

Je le laisse sonné, pour le moment je suis au travail donc pas de place pour les appelles personnels. Je m'apprête a faire les chambres qu'il reste lorsque Kousei m'interpelle pour me demander de me filmer. Avec tout ce qui c'est passer, j'avais complètement oublier qu'il m'avait demander de l'aider. Je lui explique que je n'ai pas encore fini mes taches mais qu'après il n'y pas de souci. Il me sourit et me dit qu'il patientera.

Quelque heure après, j'ai fini toute mes taches ménagères, j'aide Minami a faire le dîner, Haruto ne sera sans doute pas la étant donner qu'il a prévue de dîner avec des amis. Mon téléphone n'arrête pas de sonner, je le met en vibreur et Minami me demande pourquoi je ne prends pas l'appelle. Je lui réponds que je suis au travail et que si c'est vraiment urgent, la personne qui essaye de me joindre laissera un message.

- Vu  comme il insiste, tu devrai répondre. Me pointant le téléphone du doigt.

Je lui réponds la même chose que précédemment, et prépare a nouveau le dîner avec lui. Le fixe de la maison ce met a sonner, Minami réponds et au bout de quelque minute il me dit que c'est pour moi. Je lui dit que c'est impossible, que je n'ai dit a personne ou j'étais. Il me dit que c'est un certain monsieur Iroux. J'écarquille les yeux et me précipite au téléphone. Eric était un très bon ami de James et si il m'appelle ce n'est pas pour rien, le connaissant, il a fait des recherches pour me retrouver sachant que je ne donnais plus de nouvelles. Eric m'explique que le conducteur ayant percuté la voiture a été relaxer pour faute de preuves. Mon sang ne fait qu'un tour et je raccroche le combiner. Je me précipite dehors et voie Haruto prés a partir avec la moto. Je cours, monte derrière lui, il me regarde surpris, je fouille dans mon sac prend un stylo et un papier et lui demande de me conduire a cette endroit. il regarde le lieu et me dit:

- Mais c'est a 2 heures d'ici.

Je lui tape sur l'épaule pour lui faire comprendre que je ne plaisante pas et de m'y emmener au plus vite. Haruto comprenant qu'il n'a pas le choix démarre après m'avoir donné un casque. Sur la route il me questionne du pourquoi je veut aller a cette endroit, mais je ne réponds pas, il faut que je règle cela toute seule sans l'aide de personnes.

Nous arrivons a destination, devant un poste de police, c'était le lieu de travaillait de James. Je n'ai pas le temps de me remémorer notre rencontre car je fait les choses dans la précipitation. J'entre en trombe dans le commissariat. Tout le monde me regarde marcher furieuse, Haruto sur mes talon et ne comprenant pas ce qu'il ce passe. J'entre dans le bureau d'Eric.

- EXPLIQUE MOI COMMENT IL A PUT ETRE RELAXER AVEC TOUTE LES PREUVES QU'IL Y AVAIS CONTRE LUI HEIN?

- Maeko calme toi, je....

-ME CALMER? CE TYPE A AUTER LA VIE A TON COÉQUIPIER, COMMENT TU PEUT LAISSER PASSER CA?

Je retourne tout son bureau de rage, il essaye de me contenir et hausse lui aussi la voix me disant que ce n'est pas lui qui décide.

- COMMENT CA A PU ARRIVER ALORS DIT MOI.

Il m'explique que ce mec faisait parti d'une grande compagnie et qu'ils lui ont mit un très bon avocat qui a déjoué toute les preuves qu'ils avaient contre lui, de ce fait, il a été relaxé.

- J'AI ÉTÉ DANS LE COMA DURANT 2 SEMAINES ENTIÈRE, PERDU L'HOMME QUE J'AIMAIS ET IL VA S'EN TIRER COMME CA?

- Je ne peut rien faire j'ai les mains lier.

je pousse un long soupire et reprends mon calme.

- Je sais ce qu'il me reste a faire.

Et quitte le bureau sans plus attendre, Haruto qui m'attendais a l'extérieur de la pièce est toujours dans le flou et ne comprends rien, me voyant partir sans lui dire un mot, il me suit. Eric passe la porte et m'interpelle.

- Maeko, ne fait pas de bêtises, ne fait pas une chose que tu pourrai regretter.

Je m'arrête, me retourne et lui lance un regard assassin.

- PARCE QUE TOI TU A FAIT LE NÉCESSAIRE PEUT ETRE? JAMES LAISSE UN ORPHELIN DERRIÈRE LUI ET JE DEVRAI LA FERMER? NON CE N'EST PAS MON STYLE.

Je regarde tout le monde dans la pièce et les pointe du doigt un par un en leurs disant:

- C'EST VOTRE FAUTE A TOUS SI JAMES N'A PAS OBTENU JUSTICE A CE JOUR.

Je quitte la pièce, Eric ne tente pas de me rattraper et cela me va très bien.

Haruto me suivant m'attrape par le bras et me demande de m'expliquer ce qu'il ce passe. Je repousse son bras et lui dit que je n'ai pas envie d'en parler. Il pousse un long soupire, s'appuie contre la moto et me dit qu'il ne démarrera pas tant qu'il ne sais pas de quoi il en retourne.

- Très bien je prendrai le bus il doit y an avoir dans cette ville pourrie.

Voyant que je ne parlerai pas, il soupire, me donne le casque et me demande de monter.

Je monte derrière lui et nous démarrons. Au bout d'une heure, il s'arrête dans un endroit complètement inconnu,il me dit de descendre. Je m'exécute et lui demande ou nous sommes. Il me demande de le suivre. Nous arrivons dans une prairie ou l'herbe y est abondante et des fleurs bleu s'y trouvent. Je suis émerveillée par la beauté des lieue. Il s'assied et j'en fait de même.

- Que faisons nous la?

- C'est ici que je vient lorsque je n'ai pas le morale, je pensais que te montrer ce lieu pourrai te permettre de retrouver une certaine sérénité.

-Il est magnifique.

- Nous venions souvent ici avec mes parents, ils avaient l'intention d'y construire un foyer pour jeunes en difficultés.

- Tes parents avaient l'aire d'être des gens bien.

Il hoche la tète et me regarde, ensuite il me demande ce qu'il c'est passé. Qu'il m'a entendu crier de la ou il était. Je soupire, moi même je ne saurais par ou commencer.

- Ne te prends pas la tète, explique simplement.

Je ferme les yeux me remémorant tout mon histoire et lui explique pour James, l'accident et le bébé qui devrai arriver d'ici quelque mois.

- Maintenant je voit pourquoi tu étais tant fâchée ce matin. Tu sais mes parents sont morts a peu prés de la même façon sauf qu'ils ont glisser sur une plaque de verglas. Me disant cela le regard au loin.

- Et ce qu'ils te manquent.

- Parfois oui, mais je n'y pense que vraiment très peu maintenant.

Tout a coup il me met une pichenette sur le front, je le regarde surprise.

- Ne garde pas tout ça pour toi si au besoin, nous sommes la. me dit'il.

Je ne sais quoi dire sur le coup, j'ai toujours du me débrouiller seul et depuis mon plus jeune age.

Il me regarde et me dit qu'il faut annoncer a tout le monde pour le bébé. J'hésite et lui dit que Kei est déjà au courant mais que je ne sais pas comment réagiront les autres. Haruto tente de me rassurer.

- Il faut leurs dire, ils comprendront et nous ne sommes pas des monstres. dit'il en riant.

Je lui  dit que j'en parlerai aux autres a une condition, qu'il m'appuis pour leurs annoncer. Il me dit oui et ce lève me disant qu'il commence a ce faire tard et qu'il est tant d'y aller.

Nous démarrons et le chemin du retour ce fait dans le silence, j'appréhende la réaction des frères, il ce pourrai que je me fasse renvoyer suite a cette décision.

La suite le 17 avril.