Partie 48

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Le lendemain, je suis rentrée à l'hôtel. J'ai passé de longues heures, de longues journées à penser à ma dernière conversation avec Brahim.

Heureusement que le taf m'aide pendant quelques heures à plus penser en partie à Brahim.

En plus en ce moment, Djamel mon cousin est au urgence avec moi, travailler avec lui c'est vraiment top. On a eu l'occasion de parler de tout ce qui m'est arrivé, mon père, Brahim etc. Pour Djamel, mon père va finir par accepter Brahim. Il en est convaincu, moi je sais plus quoi penser de tout ça... En plus je sais pas vraiment où j'en suis avec Brahim.

Je suis dans mes pensées comme d'habitude, quand Djamel arrive. Ce soir exceptionnellement, il commence le taf quand je dois partir

Lui: Feryel vas y part il 5h du Mat tu as fais une heure en plus.

Moi: ah j'ai pas vu l'heure passer. Tu fini à quel heure ?

Lui: à midi!

Moi: bon courage alors! Je suis claquée je vais dormir direct en rentrant.

Lui: vas y repose toi bien! A demain!

Moi: ouais à demain.

Je rentre tranquillement à pied. Je suis quasi arrivé à l'hôtel. Je sens qu'on m'attrape par la taille. J'ai pas le temps de crier que la personne pose sa main sur ma bouche.

Il retire sa main de ma taille. Je sens une pointe dans mon dos.

Il chuchote.

Lui: tu hoches la tête pour me dire que tu as bien compris.

Lui: tu sens le couteau dans ton dos?

Je hoche la tête.

Lui: si tu cris ou tu cherches à te débattre. J'enfonce ce couteau sous ta peau, c'est clair ?

Je hoche la tête à nouveau.

Lui: maintenant avance. Et ferme les yeux les ouvre surtout pas.

Au bout de 5 minutes. On arrive dans un endroit j'entends aucun bruit. Mais on est toujours dehors.

Il me jette au sol. Et commence à me rouer de coups.

J'ai pas compris qui été cette homme, ni ce qu'il me veut.

Une fois qu'il a mis complètement ko. Il s'est abaissé à ma hauteur.

Il a déboutonné mon pantalon et l'a abaissée. Il a fait de même avec ma culotte.

J'arrive à peine à parler.

Moi:s'il vous plait non arrêter

Je sais même pas si il entend ce que je lui dis tellement ma voix est inaudible.

J'ai répété sans cesse d'arrêter mais il ne ma pas écouté il a continué...

J'ai eu tellement mal. J'ai envie de crier de douleur mais rien ne sort de ma bouche. Mon cerveau a ordonné à mon corps de se débattre de pas se laisser faire, de crier. Mais aucun de mes membres n'a réussi à s'exécuter.

Il m'a brisé...il vient de m'anéantir. 

Quand tout s'est arrêté, j'ai essayé d'ouvrir trés légèrement les yeux,J'ai vu son visage mais c'est trop flou trop vague j'ai juste remarqué une grosse cicatrice sur sa joue, qui atteint le bas de son oeil.

J'ai directement refermé les yeux. Il est parti. Il m'a laissé au sol...

J'ai été réveillé par la voix d'une femme.

On ne choisit pas sa famille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant