Partie 33

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Je me suis réveillé assez tôt. On m'a apporté mon petit déjeuner mais je l'ai à peine touché.

Je zappe la télé. Quand la porte s'ouvre sans que quelqu'un frappe.

Je vois mon père toujours aussi furax et ma mère.

Lui: prépare toi tu sors

Ma mère: Idriss arrête elle a besoin de rester ici pour se soigner

Lui: j'en ai rien à foutre!

Elle: tu ten fous que ta fille Est besoin de soins ?

Lui: c'est plus ma fille.

J'ai eu la sensation de recevoir une balle en plein coeur quand il a dis ça. Même ma mère a été choquée de ses propos. Elle est resté la bouche grand ouverte aucun mot na pu sortir.

Lui: dépêche toi va leur dire que tu veux sortir tu signes les papiers et on dégage de la.

Il est sorti de la chambre.

J'ai sonné pour qu'une infirmière vienne.

Ma mère: féryel l'écoute pas tu es majeur reste ici

Moi: Maman je vais pas compliquer les choses ça sert à rien, de n'importe quel moyen il aura toujours ce qu'il voudra.

L'infirmière arrive je lui dis que je veux sortir.

On règle la paperasse et je sors.

Mon père nous attend au parking. Ma mère monte derrière Avec moi, je vois qu'elle s'inquiète sincèrement pour moi.

Mon père démarre. Il roule il prend ni la direction de chez lui ni de chez ma mère. Il finit par se garer dans une rue que je connais pas.

Ma mère: on fait quoi ici ?

Lui: je t'ai hier que je voulais vérifier quelle etait Vierge

Il a dis ça sans gêne.

Elle: mais tu débloques complètement Idriss stop tu vas trop loin!

Ils ont commencé à s'embrouiller.

Moi: maman c'est bon je vais y aller j'ai rien à reprocher.

Mon père: ta g**** tu as fais ta p*** tu as tt à te reprocher.

Je lui ai pas répondu.

On est sorti de la voiture. On rentre dans la salle d'attente. Elle était vide.

Lui: je te préviens inutile de la convaincre qu'elle me mente je la connais et je lui ai donné assez d'argent pour être sur qu'elle mente pas.

J'ai pas répondu.

Une femme d'une quarantaine d'année cest manifesté elle ma fait entrée dans son cabinet. Elle semble gêner elle aussi par la situation.

Elle: déshabillez vous et allongez vous ici.

J'ai tellement honte de subir ça Brahim a raison c'est une humiliation. Je finis après de longues minutes  à m'exécuter.

Elle m'osculte.

Elle: très bien vous pouvez vous rhabiller

Je me rhabille rapidement et je sors.
Ma mère vient directement vers moi.

Mon père rentre dans le cabinet et en ressort quelque minutes plus tard.

On retourne à la voiture.

Il roule jusqu'à chez ma mère.

On rentre chez elle.

Lui: prends tes papiers d'identité et rien d'autre. Tu prends aucune valise.

On ne choisit pas sa famille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant