Le lilas blanc était surement l'une des fleurs qui fleurissait le cœur du jeune lotus. Elle aimait innocemment son jeune prince si, proche actuellement ? Mais si, loin à la fois. La situation de la jeune fleur débordait, non, elle dégénérait totalement alors que la commissure de ses lèvres débordaient d'un liquide écarlate. La morsure dévastatrice du lotus avait rendu son malfaiteur complètement fou.
La jeune fleur avait agi instinctivement pour détourner l'attention de l'homme sur elle, la petite, cette dernière ne pouvait pas subir davantage. Le lotus était prêt à risquer sa propre vie. L'homme en riait, l'homme s'en amusait, l'enfant avait juste perdu quelque seconde conscience.
La petite fille clignait difficilement des paupières ne réalisant pas la situation. La jeune fleur était sur le point de se faire trainer dans la petite ruelle comme un vulgaire objet. Elle adressait un regard à l'enfant : ne bouge pas disait-il pour son bien mais, l'homme, l'agresseur venait de saisir la chevelure du lotus. L'empoignant fermement ce dernier de s'attendait pas à entendre de tel gémissement de douleur de celle qui n'avait jamais rien dis.
La petite fille ne pouvant pas être seulement témoin d'une horreur trouvait un peu de force, elle se relevait. L'enfant se précipitait vers ces deux personnes en se jetant sur le dominant. Le malfrat repoussait aisément et de façon hautaine la fillette qui tombait sur les fesses. Debout de nouveau. Elle recommençait, elle hurlait sur cet individu qui commençait à être sérieusement agacé par cette gamine. Il libérait son otage pour avoir à faire à l'enfant.
La jeune fleur était incapable de tenir sur ses membres engourdis mais, elle suppliait l'homme de ne rien faire. Ils attiraient de plus en plus l'attention sur eux. Des villageois observaient la scène sans bouger, des malfaiteurs et hommes de mère nature s'approchaient vers la jeune fleur. C'était une occasion devenue idéale. Le prince des nobles ne pouvait pas agir et son bras droit était occupé. Les deux amis ignoraient tout de la situation désastreuse à cause de la leur, ils ne pouvaient rien faire ? Le lotus suppliait son premier agresseur de ne pas toucher à l'enfant qui hurlait à plein poumon. Cette voix, ses hurlements transperçait le cœur de la jeune fleur oubliant ses nouveaux agresseurs. La jeune fleur n'arrivait pas à faire le moindre mouvement n'ayant pas suffisamment d'énergie.
Elle avait toutefois réussie à s'adresser difficilement à l'homme qui l'ignorait toujours. Elle restait intrépide et s'apprêtait criée le prénom de son bien aimé mais, elle n'avait pas eu le temps. Un énième individu était intervenu en plaçant sans aucune délicatesse sa main sur ses lèvres. Il lui bloquait la respiration, elle qui avait déjà tant mal à remplir ses poumons d'oxygène. La jeune fleur agrippait fébrilement la manche de l'inconnu. Elle étouffait. Le cœur du lotus battait douloureusement dans sa poitrine, elle voulait que tout s'arrête.
La fleur de lotus n'était capable rien ?
Cette dernière pouvait que voir l'enfant en danger alors qu'elle était trainée dans la ruelle. Les yeux humides l'espoir auquel celle-ci avait crue venait de s'effondrer, encore. Le lotus se débattait. La jeune fleur bien qu'impuissante n'abandonnait pas l'idée secourir l'enfant toutefois, elle venait de le perdre de vue. Elle était isolée avec plusieurs hommes aux tatouages entre deux habitations. La main du malfaiteur de ne quittant pas ses lèvres, elle savait, elle encore une cible. Les hommes étaient tous des chiens qui se disputaient la priorité ?
- On a assez de temps ?
- Le noble...
- Arrête de parler pour rien sinon, je te tranche la langue.
- T'as un problème ?
- Oui, cette trainée.
- Hein ?
- Elle me fait bander.
- Tu l'auras après.
- Non, je ne peux pas attendre faut que je me les vide.
L'homme qui la maintenait s'était installé au sol, la fleur l'écrasant faussement. La jeune fleur sentait l'érection du deuxième homme contre son dos, la sensation désagréable contre sa chute de rein donnait envie de vomir à la fleur de lotus. Ceci ne s'arrêterait jamais ? Pourquoi subir encore et toujours ? Est-ce qu'elle serait une victime pour ces individus jusqu'à sa mort ? Elle voulait mourir ? La jeune fleur n'avait jamais pu réellement déclarée son amour à Jia Er. Avait-elle ce droit ? La société, leurs vies les divisaient. Il était noble, elle était souillée, une boucle infernale qui se répétait. Le lotus ne portait qu'une tenue légère attisant la luxure de ces hommes, ces malfaiteurs.
L'épaule dénudée, la jeune fleur avait sans le vouloir fait glisser le tissu rose de son épaule en se débattant.
Le complice de celui qui la tenait fermement tentait de lui ouvrir les cuisses mais, elle refusait. Le lotus ne voulait pas. Il se sentait misérable, honteux or, il ne voulait pas et sa détermination rassurait ses peurs ? Une façade ? La fleur de lotus était terrifiée toutefois, ses forces, elles étaient inexistantes. Les membres engourdis de cette dernière l'abandonnait. Elle était abandonnée par son propre corps qui ne pouvait plus lutter. La bosse contre son dos rendait la fleur de lotus malade cependant, celle qui se présentait sous ses yeux était abominable. Les sourires sur le visage de ces deux agresseurs étaient monstrueux, diaboliques. Le lotus était démuni de tout. Jackson risquait de tout voir, son cœur, cette pensée brisait la jeune fleur.
- Je vais la prendre.
- Prépare-là.
- Non, une chienne pareil n'en n'a pas besoin.
- Ah...
- Hé. Prenons-là. Ensemble.
La jeune fleur se languissait d'une longue passion avec son prince mais, rien, rien ne l'autorisait à ça. Ces deux hommes n'étaient que des bêtes dans le besoin de baiser un trou. Le lotus se sentait vidé ? Prêt à abandonner ? Non, la jeune fleur de lotus refusait. Elle ne voulait plus subir une telle atrocité or, avait-elle le choix ?
L'enveloppe charnelle de cette dernière pesait une tonne lorsqu'elle désirait faire le moindre mouvement ? L'adrénaline où était-elle partie ? Le vêtement de la jeune fleur avait été remonter jusqu'à ses maigres hanches. Ils avaient maintenant un libre accès à son orifice ? Le premier sortait sa virilité pour l'enfoncé dans la bouche du lotus qui n'arrivait pas à reprendre son souffle. Toutefois, le deuxième avait été obliger de la lâcher pour libérer son sexe de son bas. Une chance ? La jeune fleur ne l'avait manquée. Elle avait mordu violemment la verge de son agresseur qui jurait en se tenant cette dernière.
C'était l'occasion pour le lotus de fuir, de ramper, de prendre, de rien. L'acolyte du l'homme avait saisi une des chevilles du lotus. Retenant et tournant celle-ci pour que son dos soit contre la terre, elle faisait face à un individu fou ? Le pénis de l'homme était sorti ainsi que fièrement dresser. Elle ? Non, non, elle ne le voulait pas. Elle suppliait que quelqu'un vienne à son aide. Jackson ? Jia Er ? Non ? Si ? Avait-elle vraiment le choix à cet instant ? La haine des deux hommes avaient atteint un summum inimaginé. Le lotus se débattait avec une énergie qu'elle ne possédait plus cependant, c'était une cause perdue ? Il avait saisi sa deuxième cheville pour tirer cette dernière à lui.
- Arrête de pleurer et ramène-toi.
L'individu avait attendu une courte seconde sans réponse. Il n'avait vérifié. Il avait hâte.
- Tant pis. Je m'occupe d'elle seul.
Le malfaiteur une expression de dominance. Un prédateur dans l'âme qui allait dévorer le lotus sans douceur, sans amour. Il passait sa langue sur sa lèvre supérieure. Il était, il allait sur le point de la pénétré ? Une seconde, juste une seconde avait suspendue entièrement cette horreur. La jeune fleur avait écarquillée ses pupilles, sous le choque, le sang de son agresseur se trouvait sur son visage alors que ce dernier... Il avait une flèche qui transperçait vulgairement son crâne. Un instant complètement figer faisant trembler le lotus qui se retrouvait écrasé par la carcasse inerte de son agresseur.
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Willow Trail
FanfictionEn cette ère la Chine est un pays divisé en deux. Il est dirigé par une puissance ; celle de la famille Wang crainte et vénéré par tous. Elle a pour enfant unique Wang Jia Er. Ce dernier est élevé pour être digne de son rang ainsi qu'à survivre à sa...