外国花 : Wàiguó huā

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Un jour, au aurore la jeune fleure fus dérangé dans ses activités pour se voir recevoir une lettre.

Il était soigneusement inscrit sur l'enveloppe Wàiguó huā/外国花 ou autrement dit à ma fleur étrangère. Elle s'était saisi de cette dernière avant d'être laissée seule dans ses appartements. La reine mère accordait jamais au client de laissé leur lettre afin d'éviter de débordement ou qu'une de ses fleurs ne contiennent des graines réduisant leur valeur. Celle qui détenait ce papier raffiné avait une idée de sur son expéditeur. Ces gestes étaient démesurément élégants et distingué. L'homme sans identité déposait ses pupilles sur cette feuille qui lui semblait déjà une fortune. 


Adresser à la maison des fleurs,

par Jackson Wang.

Chère fleur,

Cette une journée d'automne que j'ai pu apercevoir le sentier des saules, j'étais affligé par mes obligations de prince, être noble n'est pas simple. Dans mon ivresse, je suis entrée dans cette demeure aux milieux de ce chemin d'arbre pleureurs. Les branches dansaient avec le vent, des hommes attendaient la venue de femme.

Ils disaient qu'il n'y avait que des beautés et seuls quelques-uns murmuraient. Je nie. Je l'ai nié car je ne désirais pas comprendre l'utilité d'une yiji. Les jeunes fleures se ressemblaient tous à mes yeux. Elles étaient laides et prêtes à faner ; tu es celle qui est merveilleuse, celle qui m'obnubiles. Je ressens encore ta poigne sur mon poignet. Tu es le lotus au milieu des fleurs, de saules et pourtant, je suis certain de faire erreur.

Qui es-tu ? Qu'est-ce que tu m'as fait ? Une déesse florale, un dieu ou te située, toi qui n'as dit aucun mot. J'ai un regret qui demeure dans mon âme. Je ne devrais pas le dire, tu ne devrais pas connaître mes faiblesses. Tu ne devrais pas être présent dans mon esprit habitué à la solitude que mon rang impose. J'ai de nombreuse incertitude maintenant. Mon histoire ne devrait pas être celle-ci. Je suis destiné à une terrible tragédie... Seulement. Le magnifique parfum de corps m'envoûte encore alors que je ne te tiens plus entre mes doigts, mes bras.

Cette nuit, la lune est pleine. Je te donne rendez-vous à l'extérieur de la maison sing song, vient jusqu'à moi. Il y a un étang bien dissimulé derrière les saules. Nous prolongerons durant cette nuit notre de combat, le combat éphémère qui nous rendra immortelle et unis.

Je te posséderais, encore.

Jia Er. 


À la fin de sa lecture le travesti connu pour sa beauté ornée son visage d'un petit sourire. Cela n'était pas rare que les fleures reçoivent des déclarations, des demandes de mariage, des invitations à domicile mais généralement la maîtresse de maison ne laissait rien passé sans son accord. C'est ainsi que des nobles trouvaient des combines pour faire ceci en secret... Cependant, la jeune fleure étrangère avait eu le droit à traitement de faveur ? La lettre de l'homme lui avait été apporter en main propre et elle était encore scellé.

L'idée d'une relation amoureuse était interdit et inéducable pour lui. Toutefois, il venait d'avoir une proposition de rendez-vous. L'incertitude de confiée le contenu de cette lettre était grande, il préférait donc de le gardé secret.

La jeune fleure avait remplis ses tâches toute la journée jusqu'à la nuit.

Le soir tombant, le couvre-feu de maison retentissait et l'intrépide jeune personne attendait qu'on vienne affirme sa présence. La fleur qu'il fallait préserver, s'était rhabillé, elle partait de la demeure le plus discrètement possible. Une demoiselle l'avait remarqué et la couvrait, l'aidait comme pour un sentiment de soutien. La jeune fleur était à l'extérieur, elle s'était rendu à l'arrière de la maison. Inquiète, la peur broyait les entrailles de cette fleur. Le voyage lugubre à travers les saules pleureurs, les ombres rien était là pour l'apaisé. Elle ne fut pas déçue de son choix quand ses pupilles se posait sur le reflet de la lune sur l'eau de l'étang.

L'horizon était étrangement romantique et nostalgique. Naïvement, elle pensait être seule, elle n'en fut que surprise de découvrir l'homme qui l'attendait. Un homme, un noble, un prince de ce pays ? Ce soir-là le temps s'était arrêté quand ce dernier s'était levé pour s'adresser à elle. Il avait un sourire bien malicieux et satisfait de voir qu'il n'était pas le seul à vouloir plus. Le noble présent sous le ciel étoilé sentait son sang bouillonné. Il n'en ressentait plus cette brise automnale, le destin les avaient réunis celui, l'inconnu, la jeune fleur venue de Thaïlande n'en pensait rien. Elle n'avait pas oublié le traitement particulier de cette personne, son corps ou sa possession qu'il avait exercée en lui mentalement et physiquement sans vulgarité, du moins pas là qu'elle connue. Il avait su apprécier son art à juste valeur.

- Tu n'auras pas à retenir ta voix.

La jeune fleur mystérieuse venait déglutir d'excitation. Jackson avait compris l'identité sexuelle de la fleur en poigne. Elle ne savait pas ce que lui souhaitait l'homme qui pourrait ordonner sa mort. Elle réalisait seulement que ce dernier lui offrait la possibilité d'être, un homme. Le cœur battant, le jeune travesti c'était approché de Jackson d'une élégance mystérieuse tandis que l'homme lui posait la fameuse question dont il n'avait pas de réponse.

- Quel est ton nom ?

- J'en ai aucun. Je suis une yiji d'une autre origine.

Willow TrailOù les histoires vivent. Découvrez maintenant