Willow Trail

重新开始 : Chóngxīn kāishǐ

Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis celui de la condamnation de l'homme qui avait agressé la jeune fleur. L'homme avait tout perdu. Et il avait probablement perdu la vie dans le bas monde, mais s'était un mystère. Dont la population des nobles ne préférait pas savoir la vérité. C'était ainsi que leur société était faite. Pendant ce temps-là. La jeune fleur de lotus avait repris des forces. Elle n'avait plus de fièvre toutefois, son corps travaillait encore. Sa peau cicatrisait lentement et à cause de cela; elle gardait un bandage en tissu blanc autour de sa fine gorge. De plus cette dernière n'avait pas pu voir son prince depuis son réveille. L'homme avait été retenu par les préparatifs de ce fameux événement du nom de femme d'art. C'était comme choisir une épouse sauf qu'elle serait là pour le divertir. Oui; il allait devoir choisir une femme de façon officielle... Pour la faire sienne. Cependant, malgré son absence, elle avait repris les entraînements.

- Il faudrait que tu te reposes...

Soufflait l'ami du prince à la jeune fleur. Celle-ci ne connaissait pas réellement le sens de ce propos. Toutefois; elle refusait poliment en s'emparant d'un des instruments que Jia Er avait fais parvenir. Le guzheng en main; elle s'installait auprès de la petite Lian Ni.

- Ah... Juste un morceau et tu arrêtes pour aujourd'hui.

Jie Liang semblait un peu exaspéré. Cependant, ce dernier était rassuré de voir la jeune fleur de lotus remis sur pieds. S'installant auprès d'elles; il écoutait lui aussi cette dernière jouée merveilleusement bien de l'instrument de musique. Chaque note, chaque son les emmenaient ailleurs. C'était comme voyager dans un autre pays. Il devait l'admettre, elle jouait divinement. Et c'était ainsi qu'ils passaient leur temps jusqu'à l'arriver du docteur. L'homme venait de frapper à la porte, mais n'étant pas entendu. Il ouvrait cette dernière avec l'approbation de celui qui l'accompagnait. Les deux individus étaient entrés dans la maison pour automatiquement se diriger vers l'origine de cette mélodie. Celle qu'ils entendaient. En avançant l'un d'eux tombait davantage sous le charme de se son en découvrant la musicienne. La fleur de lotus étant concentrée ne remarquait l'individu qui la fixait intensément. Non; elle jouait la totalité de son oeuvre en restant imperturbable enfin presque... Ses doigts tremblaient légèrement lorsqu'ils rentraient en contact avec les cordes de l'instrument. Elle venait de posée ses magnifique iris sur cet homme, celui qu'elle attendait depuis si longtemps. Jia Er avait pu venir. Comment ? Elle s'en moquait complètement. L'importance était qu'il soit présent aujourd'hui comme demain. Lentement, elle arrêtait de jouée du guzheng. Elle s'arrêtait totalement en regardant son bien-aimé. Les amants se regardaient longuement en oubliant ceux qui étaient présent. C'était par obligation que le docteur les interrompait. Il devait changé de le bandage de la jeune fleur.

- Bon, il me semblait avoir préconisé du repos ma chère.

- J,je...

Un petite douleur la lançant soudainement. Elle posait sa main sur sa gorge avant de reprendre d'une voix douce. Après avoir surpris tout le monde par son geste. La fleur de lotus regardait droit dans les yeux le jeune noble qui était captivé.

- Je suis désolé. Je dois être parfaite afin de conquérir le coeur de Wang Jia Er pour, ce jour...

- Bien, bien. Je comprends mais ta santé. Elle est aussi très utile pour conquérir son coeur.

Amuser. Le docteur répondait avec nonchalance à la jeune fleur. Cette dernière prenait ces paroles avec beaucoup de sérieux. Un sérieux qui faisait rire tout le monde. Toutefois, il était temps de passé aux soins. La jeune fleur de lotus se retirait alors dans une pièce plus intime. Tout en étant accompagné du docteur. Ils rentraient dans une chambre; elle s'asseyait. Retirant légèrement le haut de ses vêtements. Elle laissait le docteur s'approcher de sa gorge. L'homme retirait doucement le vieux bandage en dévoilant lentement une cicatrice rosée sur un peau pâle. La jeune fleur de lotus frissonnait au contact de l'air sur sa peau devenu plus sensible.Toutefois; elle demeurait muette en laissant le docteur faire. L'homme remplaçait délicatement le bandage qu'il enroulait autour de son cou. Sentant son souffle cette dernière retenait le sien.