Chapitre 3

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Flash back:

Nous somme nés et avons vécus nos 6 première années de vie dans un laboratoire.

Jusqu'à nos 6 ans, nous avons servis d'expérience, de "jouet" et même d'esclave. Nous accomplissions se qu'on nous demandait. Nous pouvions servir de défouloir sexuel aussi bien au près des hommes que des femmes. Nous tuions sur commande sans jamais réfléchir à qui mourait.

Des scientifiques venaient tous les soir prendre Ariel. Je ne sais pas ce que ces fous lui faisaient. Mais je sais une chose, cela devait être douloureux car à chaque fois qu'Ariel revenait, elle se mettait en boule en répétant: "La douleur n'existe pas! Ce n'est que dans ta tête! Warate! Warate! (Warate= sourit)". Elle répétait ces phrases sans cesse refusant de la dire ce qu'il pouvait y avoir.

Or un soir, Ariel ne revient pas mais revint le lendemain matin pour que nous accomplissions nos tâches. Cela se reproduisit plusieurs fois variant d'une seule nuit à un mois entier. À chaque fois, elle revenait en affichant un sourire, un faux sourire qui renfermait une immense peine et une solitude des plus sombre.

Six mois avant nos 6 ans, j'ai entendu du bruit depuis la cellule. Ariel n'était pas avec moi car il finissait d'accomplir une des ses tâches qui s'étaient multipliées par deux depuis un mois au lieu que les mienne s'étaient divisées par deux.
Lorsque la porte de la cellule s'ouvrir, les gardes me lancèrent une masse recouverte de sang, poisseuse, extrêmement légère et puant comme un cadavre laissé en décomposition dans un endroit exigu et fermé.
Les gardes refermèrent la porte de la prison puis s'en allèrent.

Moi, pris de peur, je jeta la masse sur la porte se trouvant face à moi. Lors du choc, elle couina de douleur. Je l'approche de cette "chose" pendant qu'elle se relever. Déjà j'étais surpris de voir que ce truc était vivant mais en plus de voir que ce n'était qu'un enfant de 5/6 ans comme moi.
Des gardes sont ensuite venus rapidement me chercher pour m'emmener dans une cellule luxueuse se trouvant à l'étage supérieur au notre. Cette cellule était composé d'un lit en baldaquin entièrement blanc avec les relieurs dorées, d'une commode et d'une armoire dont les couleurs étaient identiques au lit, un tapis avec un lys blanc se trouvait au pied du lit. Un bureaux blanc au relieurs dorées se trouvait sur le mur opposé à la tête du lit avec une jolie petite bibliothèque à côté du bureau.

À partir de ce moment là, je n'ai fait que m'amuser sans penser à rien ni personne.

Or, le jour de notre septième anniversaire, les personnes s'occupant de moi m'organisèrent une immense réception. C'était la première fois que je fêtais mon anniversaire ainsi. Je pouvais enfin discuter avec d'autre personne qu'Ariel. Je découvrais un peu plus le monde.
Cependant, au moment de couper le gâteau, des personnes entrèrent. Les invités partir en courant vers les sorties de secours se bousculant entre eux, criant que c'était la fin, qu'ils iraient tous en prison, en enfer et d'autres choses mettant encore incompréhensibles.

Un grand homme tout de noir vêtu apparue devant moi puis s'inclina à mes pieds.

-Je suis venu vous cherchez votre Altesse. Je vous prierez de bien vouloir me suivre. Me dit l'homme.

Intrigué, j'ai suivi cet homme ainsi que ses "soldats" qui empêchaient quiconque de nous approcher. À l'extérieur de la salle, devant la porte d'entrée, ce trouvait une magnifique limousine blanche avec quelques touches d'or par-ci, par-là. Je vis de hommes mettre un sac assez imposant dans le coffre de la voiture.

Je monta ensuite dans le véhicule après que l'étrange homme me l'ait demander. Je ne disais mot de peur que ce dernier ne puisse regretter son geste et me laisser sur le bord de la route. Finalement, sentant mon malaise, l'homme s'adressa à moi d'une douce, gentille mais tout de même ferme.

Le passé (Ancienne version)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant