Odeur aigre à mes narines,
Je l'aperçois couvert d'épines.
D'une rose il avait le charme
Mais il a perdu, il a rendu les armes.
Il ne fait plus qu'un avec la nature désormais,
Semblable à une charogne mais,
Il irradie cependant de bonheur.
Elle a sonnées, sa dernière heure,
Au pauvre homme que voilà, au pauvre Érasme,
Ne reste plus de lui que quelques résidus, quelques miasmes.
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Recueil de poèmes
PoëzieUne âme égarée se souvient pourquoi elle apprécie voyager et se crée alors son propre univers...