Les tourments du cheikh ( En correction)

chapitre 25

Le soir du dîner arriva très rapidement et Cora était stressée. Elle ne savait d'ailleurs pas pourquoi elle avait enfilé cette robe. Elle commença à faire les cent pas dans le salon avant que sa fille ne l'interrompe.

- maman tu es très jolie.

- merci ma petite princesse, dit-elle en s'asseyant près d'elle sur le canapé, tu n'étais pas entrain de jouer avec ta tante ?

- j'attends papa avec toi.

- et ton frère ?

- il joue encore avec tati.

On sonna à la porte.

- je vais ouvrir et toi tu restes là.

La fillette acquiesça de la tête et se tassa dans le canapé. Cora se dirigea vers la porte et l'ouvrit pour faire face à Zayn.

Elle eu le souffle coupé.

Pourquoi fallait-il qu'il lui fait perdre ses moyens ? Ne pouvait-il pas être hideux pour une fois? Mais non il fallait qu'il soit plus beau que jamais dans ce costard qui épousait son corps à la perfection, à croire que tout lui allait. C'est à ce genre de moment qu'elle se demandait comment Dieu pouvait donner tant de beauté à une seule personne. Pensait-il au moins aux autres ?

- je sais que je suis le plus bel homme que tu n'es jamais vu Habibti déclara t-il souriant, pas la peine de bavé je suis tout à toi.

Ses joues s'échauffa et c'est là qu'elle se rendit compte qu'elle le dévisageait depuis longtemps les lèvres entrouverte.

Ah la honte !

Elle Balbutia un petit « bonsoir» inaudible s'écarta pour le laisser entrer.

Zayn eu du mal à détacher son regard du corps de la jeune femme. Cette robe lui allait à la perfection mais il avait un problème, son corps n'était que trop mis en valeur dans cette dedans. Il serra les poings en imaginant déjà le regard des autres hommes sur elle.

La jeune femme sembla avoir remarqué son brusque changement d'humeur et l'interrogea d'abord du regard.

- cette robe ne me vas pas ? Fini t-elle par demander hésitante.

- non au contraire, déclara t-il en l'attirent à lui, tu es à coupé le souffle.

- et pourquoi j'ai l'impression que tu n'en es pas ravie ? L'interrogea t-elle en essayant en vain de de défaire de lui.

- tu te fais des idées, déclara t-il calmement, enfaite je suis... jaloux.

- pourquoi je ne suis pas étonné? Demanda-t-elle pantoise, tu recommence

Elle se souffla d'agacement et se dégagea finalement de son emprise.

- à peine on commence à se réconcilier que tu renou les liens avec tes vieilles habitudes. Parfois je me demande comment tes "conquêtes" font pour te supporter.

- il n'y qu'avec toi que je suis comme ça, je ne peut pas m'en empêcher Cora tu comprends.

- voyez vous ça ! fallait donc pas dépenser une fortune pour me l'acheter, reprocha t-elle en rejoignant le salon

- je l'ai commandée et je n'imaginais pas qu'elle serrait comme ça. je m'excuse Habibti, ça ne se reproduira plus.

Cora s'arrêta nette et se retourna vers lui.

- tu te moque de moi Zayn ? Je me rappelle très bien le nombre où tu m'as promis ça durant notre précédent et courte relation ; c'est évident que tu l'as dans la peau. T'es mégalomane.