chapitre 21

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Bonsoir tout le monde. Désolé pour mon absence j'avais quelques soucis mais je reviens ce soir avec un nouveau chapitre

J'espère qu'il vous plaira

Bonne lecture





Un mois était déjà passé depuis cette semaine horrible ou Zayn avait découvert l'existence des enfants. Depuis ce jour il ne se passait pas une semaine sans qu'il ne viennent à la maison Lilia était resté pendant deux semaines et passait pratiquement ses journées chez elle avec les enfants. Et elle.... elle l'evitait du mieux qu'elle pouvait car elle savait bien que si il continuait à ce voir si souvent elle ne tarderait pas retomber dans ses bras car il ne manquait pas une occasion pour l'embrasser ou faire tous ce qu'elle voulait. Sa maison était devenu une vraie roseraie, il lui envoyait des dizaines de bouquets de roses par jour juste pour qu'elle accepte un dîner. Elle avait fini par céder à sa demande seulement pour qu'il la laisse tranquille mais ce qu'il ne savait pas c'est qu'elle allait encore lui faire languir pensa des mois pourquoi pas des années.

La voix aiguë sa cousine la tira de sa torpeur

- cora dépêche toi ont dois faire les courses avant que les enfants ne rentre des classes, cria Diana qui était déjà hors de la maison

- j'arrive cousine, Cria-t-elle à son tour

Elle et la jeune femme c'était rapprocher durant ce mois. Même les enfants et Cassie qui étaient hésitant au début l'aimais bien à présent. Son problème c'est qu'elle se renfermait souvent sur elle, elle avait parfois des crises d'angoisse et faisait des cauchemar toute les nuits. Cette fille avait subi un traumatisme et refusait d'en parler avec personne mais tôt où tard elle allait le découvrir.

Cora pris la direction du supermarché le plus proche mais la circulation était vraiment impossible

- j'ai oublié de te dire, déclara la jeune femme surrexité

- quoi ?

- j'ai enfin trouvé du travail, c'est pas génial je ne vais plus te déranger longtemps

Cora failli avalé le  chewing-gum qu'elle machait nerveusement depuis des heures et finit par le retraché

- pardon? T'ai je déjà donné l'impression que tu me dérange? Dit-elle avec irritation

- non je ne voulais pas dire ça mais je sais ce que c'est de s'occuper de quelqu'un. Je l'ai fait depuis que mon père était aveugle. Dit-elle les larme aux yeux, pardonne moi si je t'ai blessé

- tu ne m'as jamais déranger tu est un peu la seule famille qu'il me reste et je refuse que tu travailles tu dois retourner à l'école, la rentrée universitaire est dans un mois

- non je ne veux pas que tu dépense pour moi je veux travailler

- je dit non je ne t'ai jamais demandé qu'est-ce que tu veux faire dans la vie ?

La jeune femme lâcha un soupir rêveur en souriant

- quand j'avais dix sept ans mon père m'a promis qu'il allait remué ciel et terre pour m'envoyer dans l'école de mes rêves même si je savais que c'était impossible j'y croyais quand même

Son visage souriant devint subitement triste

- je ne voulais pas faire ressurgir tes mauvais souvenir

- ce n'est pas de ta faute

- je sais qu'il te manque alors je vais honoré sa mémoire même si il m'a beaucoup déçu il à toujours été gentil avec moi, plus que ma tante je dois avouer

- merci

- dans quel école voulais tu aller déjà?

- à l'Université de Sienne en Italie je voulais devenir chirurgien dentiste mais avec ce que papa gagné il aurait fallu des années

Les tourments du cheikh ( En  correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant