5 | Prise d'une envie de foliiieeee :)

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Enfaite, je suis sortit précipitamment de la classe, et résultat. Je ne sais pas où me réfugier...
Je décide de sortir du Lycée, bien qu'il ne soit que 9h39, à l'intérieur du lycée je risquerais de me faire prendre et alors la, je serais dans l'obligation de retourner en cour...
Or de question.
La seule issue possible et le portail, mais un homme gère les entrés et sortit du lycée dans un bureau juste en face, pas grave, on fera abstraction de cette obstacle.
Je jette mon sac de l'autre côté, et m'apprête à escalader le portail pour passer à mon tour.
Le portail émet un grincement quand je suis entièrement sur lui, J'aurais dut moin forcer sur le chocolat ! ( je vous interdit de trouver un double sens pervers à unes de ces phrases !)
Le gardien, sûrement interpeller par le bruit sourd du portail sort de son bureau.

- Et vous ! Que faite vous ? Revenez ici tout de suite !!!

Malheureusement pour lui, je suis déjà de l'autre côté. Je lui brandis deux grand fuck, prend mon sac et part en courant.

J'ai de la chance, mon lycée se trouve en plein centre ville, bien que j'aime la campagne, les champs, et les vaches. La ville est tout de même plus pratique quand on veut sécher, je me réfugie dans un bars- librairie à l'air gothique, et commande un chocolat chaud.

Je sors mon téléphone de ma poche, est répond enfin au message du mystérieux inconnu.

Moi: Je ne te penser pas si philosophe, tu n'est peut être pas juste un pedophile doublé d'un Harceleur.

Mon destinataire ne prend que quelques seconde à répondre.

L'harceleur : je. Ne. Suis. Pas. Un. Pedophile.
// et tu en a mis du temps à répondre !!

Moi : ouai, c'est se que tu dit sa. Et logique que j'ai mit du temps à répondre, ma prof a voulut me prendre mon téléphone alors je me suis barrée, j'avais pas le temps de sortir mon téléphone quand j'escalader le portail du lycée !

L'harceleur : escalader le portail du lycée ? Et tes ou maintenant ?

Moi : dans un bar

L'harceleur : tu est juste génial Kira, c'est pour sa que tu me plaît.

Moi : tu aime les fous ?

L'harceleur: Qui se ressemble s'assemble.

Moi : Nous ne somme pas les pièces d'un puzzle.
On ne s'emboîte pas.
Jamais.

L'harceleur : tu est dure avec moi Kira !
..
J'imagine même pas comment tu dois être au lit...

Moi : ...va te faire

L'harceleur : foutre... oui dans 10 minutes

L'harceleur : plus sérieusement, je te connaît, et tu na auparavant jamais fait de chose comme aujourd'hui. Qu'est ce qui te prend ?

Ahahah, hilarant, se mec ne me connaît pas.
Je ne me connais pas moi même, comment pourrait il me connaître ?
Je ne le connais même pas, je ne sait même pas son nom ou son âge.
C'est peut être bien un vrai pedophile...
C'est assez inquiétant en réalité, de savoir que je parle depuis 2 jours avec un inconnu qui pourrait tout aussi bien être un homme de 52 ans.
Je ne suis pas assez méfiante.
Bref Reprenons notre monologue voulez vous ?
Il n'empêche que même si c'était quelqu'un de mon entourage il ne me connaîtrais pas, personne ne me connais. Personne n'ai au courant de la moindre chose qui se passe dans ma tête.
A part Ketty peut être.
Ah je ne vous ai peut être jamais parler d'elle enfaite ? Ketty c'est MON Slim Shady.
C'est mon autre moi.
Mon autre facette, mon autre côté.
C'est aussi mon amie. Mon seul ami, et ne vous m'epprenez pas c'est un garcon, même si son prénom fait croire le contraire, je ne sait pas pourquoi il se nomme comme sa, c'est un trans peut être ? Qui sait.
*réfléchit*
                           2 minute later
*réfléchit toujours*

Mmh, après avoir réfléchis pendant 2 minutes top chrono j'en vient à la conclusion que c'est un non binaire.

Revenons à nos moutons :

J'ai eu des amis certes, mais je m'en souvient que dalle.
Quand j'ai compris la réalité du monde, je m'en suis vite éloigner, de ces gens là et de toute les personnes qui pouvait vouloir me témoigner l'infime marque d'affection.
Toute ces personnes qui pouvaient me briser, toute ces personnes qui peuvent encore me briser. Tout le monde est capable de vous briser, et pas juste votre grand amour ou votre meilleures amies. Tous le monde. Chaque personne quel qu'elle soit qui vous sourie au
coin de la rue, qui vous tient la porte ou qui témoigne de la gentillesse envers vous.

Gamine, cette époque lointaine où je croyer encore en l'humanité, ou je penser que nous étions tous heureux, j'étais le genre de fille qui se lever toujours très tôt le matin, pour sentir la brise matinale sur mon corps nue.
Je pouvais regarder pendant des heures entières la montagne, et j'imaginais le nombres d'etres vivants qui y vivaient.
Je m'arrêter dès que je voyer une fourmilière, et regarder ces minuscules êtres qui y vivent toujours en rythme, et c'est tellement beau vous savez les fourmis, car chaque fourmis et a son utilité. J'étais fasciner par ces petits insectes qui vivaient avec tant d'entrain, qui sont tellement fortes, et qui ont un morales or du communs pour travailler si dur toute la journée.
Ouai, j'aimais la vie.

Qu'est ce qui c'est réellement passer pour que tous change ? Vous me demanderez sûrement.
Il y a un événement qui pourrait peut être, éventuellement expliquer ce phénomène cher moi. Le départ de mon père.
C'est la raison rationnelle, quand on doit TROUVER une raison. Mais se n'est pas la vérité, le départ de mon géniteur n'ai pas se qui m'a rendue ainsi.
Enfants déjà, je n'accorder pas grande importance à mon père, et avais une relation avec lui plus que banale, un père et sa fille tous se qu'il y a de plus banale. Nous n'avions pas une grande complicité, mais nous étions comme deux camarade.
Son départ a attrister ma mère, beaucoup attrister ma mère, et celle si ne comprenais pas ma réaction.
Réaction qui n'étais en fait pas présente puisque j'avais l'air d'en avoir rien a foutre.
Je ne pense pas que j'en avais rien à foutre, c'était quand même mon père, et j'ai un cœur !
C'est juste que je n'avais pas l'air beaucoup attristé, ni toucher par son départ.
"Elle est encore enfant, elle en se rend sans doute pas compte"
Cette phrase, je l'ai entendue des tonnes et des tonnes de fois.

Je reconnais que Le départ de l'homme qui m'a mit au monde, son départ si soudain, sans même un en revoir, ou un délicat bisous sur le front et peut être le début du commencement.
La première fois que quelqu'un partais de ma vie.
Vous savez la présence qui manque à une famille normale, je ne suis pas la seule à la connaitre, loin de la.

Je reprend mes esprit enfin sortie de ma longue réflexion et répond au message de l'inconnue.

Moi : Se qu'il ma prit ? Chepa. J'étais comme prise d'une une envie de foliiiieeeee :)

Timbrée de Kira !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant