L'Amour de l' Oni. (hakuouki)

Partie I.🌸

Sur la plage, le soleil se couchait à l'horizon...

- Viens avec moi, et apprends à m'aimer, souffle-t-il contre ses lèvres.

Elle ne peut détourner le regard de ses yeux sang. Il est intense et vif.

- Je... je ne peux pas, dit enfin Chizuru à voix base.

Il libéra son menton entre ses doigts et la regarda droit dans les yeux.

- Est-ce à cause de lui ? De sa voix rauque et mélodieuse, elle ne pouvait pas distinguer son mécontentement.

Kazama s'éloigne. Son regard rempli de peine, sans qu'il le montre réellement.
Elle ne répondit toujours rien, le regard au sol. Il eut un petit sourire amer.

- Évidemment. Es-tu si fou de lui ? Il sera les poings et continua ; Que t'apporte t-il réellement à par de la souffrance ?

- Il est ma raison de vivre, j'ai jurer de le protéger au péril...

Au même moment il vint vers elle, et l'attrapa les épaules.

- À partir de maintenant, je considérai plus tes paroles.

Il mit un bras autour de son dos et la coula brutalement à lui. Ses sourcils étaient froncés et sa mâchoire légèrement contractée, ce qui lui donnait une expression obscure.

- Tu seras mienne Chizuru Yukimuru, car les sentiments que tu as pour ces humains que je ne considérerai jamais, son pour moi un outrage au Oni. Si tu dis vouloir le protéger, moi je te protégerai de lui. Je t'en fais la promesse.

Il avança son visage plus près du sien, elle voulu se débattre mais il la tenait fermement. Kazama déposa un simple baiser sur sa joue, avant de se retourner et partir.

Chizuru le regarda s' en aller. Au plus profond de son cœur, elle savait qu'il allait revenir.

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Kazama était blessé qu'elle décide de rester avec Hijikata plutôt que lui.
Elle le repoussait à chaque fois avec une douceur désarmant. Il ne pouvait passer outre qu'elle avait une place plus très spéciale dans son cœur aussi refermé soit-il. Il avait juré d'éradiquer tout les rasetsu, ces monstres répugnants qu'il haïssait tant. Il avait délaissé son clan dont il était le chef, pour tuer Toshi qui avait osé se proclamé oni. À cette pensée, ça l'énerva davantage. Tous qu'il voulait était que son peuple puissent enfin vivre loin de ces maudits insectes. Mais il ne voulait pas que Chizuru le déteste. S'il tuait Hijikata, elle ne le pardonnerai jamais. Alors comment faire ? Il fallait l'éloigner, très loin.

Il s'arrêta un instant et leva les yeux au ciel. Le soleil ,se couchait ce qui donnait aux nuages une teintée rose et orangée.

Chizuru, que m'as-tu fait. Est-ce de l'amour que je ressens ou est-ce mon orgueil qui parle ? Tu finiras bien par être à moi, Chizuru..., Quoi qu'il m'en coûte, pense t-il avec conviction.

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Dans le champ de bataille, Chizuru cherchait désespérément Toshizo. La guerre fesait rage, les boulets de Canon tombaient causant un fracas sans nom.

Il sont morts, Heisuke,Souji, Sanosuke et Sanna et peut-être même Saito... À cette pensée, elle ne put s'empêcher de verser une larme. Ils avaient donné leur vie pour le clan. Elle devait protéger Toshizo, qu'il le veuille ou non, elle avait promis à Kondô de veiller sur lui. Elle tiendrait sa promesse.

Soudain, elle fût éjecter au sol par une explosion. Au sol, elle ne parvenait plus à bouger, sa vue se brouilla, alors qu'il vit une silhouette élancée s'approcher d'elle. Elle ferma les yeux et perdit connaissance.

Quand Chizuru se réveilla enfin, elle était dans les bras de quelqu'un.

- Toshizo ?

Il marchait le regard fixe, ses prunelles violettes s'abaissèrent sur elle.

- Comment te sens-tu ?

- Bien mieux maintenant que je vous ai retrouvé, elle sourit doucement. Et vous ?

- Je vais bien. Tu n'aurais jamais dû venir.

- Il le fallait.

- Jusqu'à quand vas-tu me suivre comme tu le fais ?

- Jusqu'à la fin.

Il sourit lui aussi.

- Tu es incorrigible.

Elle baissa la tête et son regard devînt plus triste. Elle déposa sa tête contre son torse.

- Capitaine, les autres....

- Oui je sais Chizuru, la coupa-t-il.

Son expression ne disait rien, mais Chizuru vit qu'il était briser.
Il déposa ses lèvres sur ses cheveux et dit :

- Rentons maintenant.

- Oui.

C'était le deuxième baisers qu'elle recevait aujourd'hui.