Le face à face

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J'arrivai essoufflée devant le portrait de la grosse dame. Après avoir dit le mot de passe je m'engoufrai dans la salle commune des Gryffondors.
La chaleur du feu me caressa le visage. Un groupe de première année regardaient la décoration avec admiration. Je vis mes amis dans notre coin habituel sur les fauteuils près du canapé. Sarah était en train d'utiliser son bracelet. J'entendis un petit bruit. En me retournant je vis ma chouette à la fenêtre. Je l'ouvris et le volatile put aisément se glisser à l'intérieur. Elle se percha sur l'épaule d'Hermionne. Elle avait un petit rouleau de parchemin accroché à la patte gauche. Je le detachais et après avoir carreser la jeune messagère je m'effondrais sur le canapé. Je commençais à ouvrir la lettre. Je reconnus soudain l'ecriture serré de Fred. La lettre disait:

" Coucou p'tite sœur de cœur
Alors je sais vous avez le cœur brisés de ne plus nous voir mais t'inquiètes ça va aller. Je devais te demander un truc. C'est à propos d'une invention. Alors je suis sur que les autres lisent derrière toi alors cache leur la suite. Je me redressais et je vis Ron, Harry, Hermione et Sarah qui se bousculaient pour lire la fameuse lettre. Ron finit par tomber sur le tapis pousser par Ginny. Je m'ecartais et en voyant leur tetes d'enterrement j'éclatais de rire. Je continuais donc la lecture.
Alors mon invention n'est pas encore prête mais je pense qu'elle va te plaire. Que dirais tu d'un objet genre une sorte de pierre qui te permet de disparaitre. Ce serait trop bien non ? Tu me dis ce que t'en penses et aussi peux tu faire un schéma de comment tu imagines l'invention. Ah et je tiens à te prévenir que t'a chouette mort...
Chiao et ne fais pas trop de bêtises.
Ton jumeau préféré.

Je repliais la lettre et je l'a glissais dans ma poche. Je voulais absolument commencer le croquis de la fameuse pierre. Je pris un parchemin et je m'installai dans un coin assez à l'écart.
Au bout de deux heures je relevais la tête de mon dessin. J'avais obtenue le résultat voulu. Je repliais le papier et je montais dans mon dortoir. Je me glissais sous mes draps et je fermais les yeux. Je tombais assez rapidement dans les bras de Morphée.
Mon réveil m'eloigna soudain à mes rêves. J'ouvris un oeil. Hermione était en train de se préparer. Elle se tourna vers moi et me remarquant avachi sur lit elle fit apparaître un verre d'eau qui se renversa sur moi. Je bondit de mon lit trempé.  Après avoir lancer un regard noir à la lionne je prenais mes affaires et je m'enfuiais dans la salle de bain pour éviter la colère de la rouquine qui avait subit le même sort que moi. Je sortais de la salle de bain lorsque les cris retentirent. Hermione s'enfuit de la chambre en riant. Ginny était assise sur son lit. Ses cheveux était tout emmélé. Je récupérais mes livres et je suivis Hermione en évitant de justesse une chaussure. Ron était dans la salle commune. Quand il nous vit arrivée apeuré et essoufflée il nous demanda ce qui nous était arrivé. Hermione raconta vite la scène et le visage de Ron se changea en une expression d'horreur.
" Mais t'es malade ou quoi!! Aller les filles faut qu'on se dépêche. Rester loin d'elle toute la journée. "

Nous suivions Ron vers la grande salle. Une fois les grandes passés mon regard derriva vers la table des Serpentards. Anaïs était avec Daphné. Blaise parlait avec une fille que je n'avais jamais vu. Elle avait les cheveux châtain clair et des yeux noisettes. Je vis ensuite Malefoy parler à une blonde. Je ne sais pas pourquoi mais la colère s'empara de moi et sans comprendre ce qui m'arrivait je me dirigeais vers la table des Serpentards sous les regards surpris de Harry et Ron qui me regardaient depuis la table des Gryffondors. La fille s'approchait de plus en plus de Malefoy. Il tourna soudain la tête en me voyant arriver comme une furie.
" Et sale pute tu veux pas plutôt embrasser ça!" Lui dis je en lui lançant un poisson dans la gueule. La fille tomba en arrière en renversant un plat sur elle. Je me rendis soudain compte que tout le monde me regardait. Je croisais les yeux aciers du blond devant moi. Je m'enfuiais en courant.

Mes yeux sont le reflet de ton âmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant