04.
Tokyo Japon
27 août 2003, 11h30.
—J'avais enfin daigné à me laver, n'en pouvant plus de l'odeur qui se dégagée de mon corps.
Je suis rentrée dans le bain, l'eau glissante sur ma peau, j'ai ressenti ce sentiment de bien-être que je n'avais jamais ressentit auparavant. Ça faisait tellement longtemps que je l'avais plus fait, ça m'a apaisée.
J'eusse l'impression de noyé tout mes soucis, là où régnait tranquillité et calme.
J'ai détachée mes cheveux, mit un peu de shampoing puis j'ai plongée ma tête dans l'eau. La mort paraissait à ce moment si belle. Je voulais plus du tout enlevée ma tête de l'eau, à vrai dire je voulais y restée. Y goûtée a ce plaisir et crié à l'agonie.
Mais lorsque j'ai senti qu'elle se rapprocher un peu plus de moi, j'ai pris peur et je me suis redressée.
J'ai respirée de toutes mes forces passant mon essuie contre mon visage, ressassant en boucle la scène qui venait de se produire.
Mais qu'est-ce qui ne va pas chez moi ?
J'ai frottée l'essuie contre mon corps, mis du déodorant et j'ai enfilée une culotte en mettant par dessus un simple t-shirt blanc qui m'arrivait à mi-genoux.
J'ai attachée mes cheveux en chignon, j'ai brossé mes dents puis je me suis regarder dans le miroir. J'avais toujours d'énorme poche sous les yeux, mais mon teint n'était plus aussi pâle et mes yeux n'étaient plus du tout enflé.
J'ai choppé un spliff entre mes lèvres et j'ai tiré un taffe en ouvrant les fenêtres pour laisser aéré.
Ils ont choisis ce moment là pour débarquée, je leurs ai ouvert la porte et je me suis installée sur le canapé.
A ma grande stupeur ils étaient nombreux à faire irruption dans la pièce. Tous avaient une mallette dans la main. Et c'était pas du tout les même qu'hier.
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«Le monde du crime ne meurt jamais»
Action«Notre amour était plus criminel qu'Il ne l'était»