Miraculous : Deuxième Guerre.

BONUS : Sourire, oui je dois sourire

chaluuuuuuuuuuuuuuuut !

Ce n'est pas un nouveau chapitre.

Mais un bonus.

Ce texte je l'ai écris à l'occasion d'un concours sur amino avec pour thème " Manon Chamack à 14 ans ".

Et comme à ce moment, je cherchais, d'une manière ou d'une autre à tous vous remercier pour les commentaires et l'ensemble des retours... J'ai pensée que je pourrais en profiter pour créer un OAV de Deuxième Guerre.

Mais bon, entre temps j'ai oubliée de la poster par ici ... 

* fait les yeux de petit chat pour se faire pardonner * 

Bisous ! 

~ Mush

~ ° ~

Je m'appelle Manon Chamack et j'ai 14 ans.

Je souris et réajuste mon sac sur mon dos. Et voilà, enfin, je commence ma troisième dans le l'école Françoise Dupond.

Malgré le fait que je la connaisse depuis trois bonnes années déjà, Cette école, me fais ressentir,dès que je passe ses portes, un sentiment de fierté : c'est à cet endroit que mon ancienne babysitter est allée, la femme que j'admire le plus actuellement.

Je m'engage dans le lieu, plusieurs personne me salut je fais de même.

Cette rentrée est ma dernière du collège.

Malgré le temps qui a suivi son court je continue de me coiffer de deux couettes et de toujours sourire.

De toute façon, je suis toujours une enfant non ?

Ladybug, Chat Noir et les akumas ont disparus depuis 4 ans sans laisser aucune trace et Paris est devenue une ville plutôt calme.

En traversant la cour, je croise mon amie d'enfance : Sun. Cette fille dort tout le temps, je ne juge pas, chacun ses passe-temps.

Alors que je m'apprêtais à lui dire bonjour, une personne me bouscule. Je tombe vers l'avant, moulinant des bras pour retrouver mon équilibre. Mais bon, c'est trop tard. Je ferme les yeux, attendant le choc, quelques secondes passes, mais pourtant je ne sans aucune douleur.

- Ne t'arrête pas en pleins milieu !

Je me désarticule le cou pour tomber sur une paire d'yeux dorée. Je grogne légèrement en levant les yeux au ciel.

- Quentin... Je te remercie platement mais voudrais tu me lâcher ? jeteremerci.

Mais comme d'habitude, j'ais parlée trop vite. Etant toujours en équilibre au bout de sa poigne, je m'écrasai pour de bon sur le sol car le garçon m'avait prise au mot.

- Aie ! Ça fait mal ! Tu es vraiment un méchant pas beau !

Il ne réagit même pas à mon insulte infantile et se contenta de me dépasser en grognant.

- J'ai juste fait ce que tu m'as demandé... Je peux y aller ou tu vas encore te mettre dans mes pattes ?

Je serai les dents en me massant le postérieur. Je me relevai d'un coup mais étant de petite taille, mon regard n'atteignait même pas son épaule.

Ce type... Quentin Lavillant était un imbécile qui ne faisait regardait les gens de haut. Toujours seul, il n'ouvrait que très rarement la bouche : moi il devait se le permettre seulement car on se connaissait depuis le primaire.