[ En Pause ] Hanna

Chapitre 5 : Pensées

Hanna :

Amrite 📞 : Hanna ... Hanna !?

Je sursaute de ma chaise.

Lui 📞 : Concentre toi sur la sible !

Je murmurais un bref oui à-travers le micro et l'oreillette que j'avais discrètement dissimuler.

Je me lève du bar et marche sensuellement vers ma sible. Je veille bien a ce que remonte le fin tissu de ma petite robe rouge. Tout les regard étaient sur moi. Mes cheveux coiffé en un chinon stricte. Je passe une main dans ce ci et me décoiffe légèrement pour leur donné du volume. J'entrouve un peu mes lève rose et soulève un peu ma jambe droite a travers la longue fente de la robe.

J'étais trop sexy!

En face de moi se trouvait Roberto. Il était grand , gros d'environ 55 ans avec une longue barde et un  sourire des plus pervers. Il se trouvait être aussi un grand chef de gang. Je dépasse sa table mais il me retient par le bras .

Lui : Où vas tu comme ça copico ?

J'enlevais mon bras agressivement.

Lui : Wai j'aime bien quand on me résiste .

Moi : Ne me touchez pas gros pore !

je ne voulais que son touché a lui. Ce beau garçon qui m'avait fait m'asseoir sur ses genoux ce matin. Je ne cessais de penser a lui depuis longtemps. A vraiment dire depuis ce matin.

Amrite 📞 : Qu'est ce que tu fiche Hanna ? T'es entrain de tout capoter ! Me siffle t_il par le micro espion.

Roberto se leva de sa chaise suivie par ses prostituées. Il appela ses chiens de garde et leur ordonna de m'emmener dans sa voiture et que la soirée était fini.

Je me débattais pour ne pas attiré l'attention sur moi et qu'ils ailles des doutes.

L'un des garde me jeta si fort dans la voiture que ma tête heurta la portière.

Moi : Tu va me le payer.

Il me regarda et souris bêtement avant de claquer la portière. Quelques minutes plus tard Roberto entra dans la voiture.
Il démarra la voiture et prit le chemin d'une route inconnu.

On était sorti de la ville. J'étais assise a côté du gros port qui commençait  a me toucher. Je m'enfonçais dans le siège. Roberto me caressait la jambe nue et montait dangereusement vers ma culotte en dentelle blanche.

Amrite 📞 : Fin de la mission ! Tu m'entends Hanna ? Fin de la mission rentre a la maison.

Je répondis un simble Oui mais Roberto m'avais remarquer.

Lui : Qu'est-ce que c'est que ça ? Me demande t_il .

Il souleva les quelques mèche qui entourait mon visage et y arrache l'oreillette qui était dans mon oreille.

Je suis foutu. En plus je n'avais rien sur moi pour me défendre.

Je commençai a pleurer , jamais je n'ai été dans une telle situation.

La voiture roula encore quelques temps avant de s'arrêter devant un petit chalet.

Lui : Descend !

Je descend de la voiture. Il me récupère sur son épaule tel un sac de patate et me transporte jusque dans celle ci. Il alluma les lumière et me jette sur un sofa.

Lui : Déshabille toi !

Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir. Moi qui ne porte jamais de soutient je me suis retrouver sein a l'aire devant ce gros pore.

Il resta debout a me regarder avec envie puis il se déshabilla également.

J'avais la nausée rien qu'en le regardant. Il s'approcha de moi vêtu que de son caleçon.

Lui : On va s'amuser ma belle.

Mon sang se glaça dans mes veines. Mon cœur se contracta de douleur. J'avais la haine , oui la haine pure, celle qui peut vous faire détruire le monde entier et s'en foutre royalement. J'avais cette haine là.

Sans trop réfléchir je me jette sur le chef de gang. Au passage il me donne une grosse gifle et me propulse sur la table en vers. Je tombe sur celle ci qui se brise en mille morceaux. J'en avais même dans ma chaire. Mais tout ce ci n'est pas comparable a la douleur dans mon cœur. Sur le feu de l'action je récupère un couteau qui était tomber par terre et poignarde Roberto mais je n'atteinds que son avant bras. Il me donne un violent coup dans le ventre et m'attrape par les cheveux.

Lui : Vient là petite traîné de merde , tu voulais me tuer ? Sache que même si je mourai ça ne sera pas de ta petite main de pute !

Il retire son pantalon et se couche sur moi. Tout était fini.

Je fermais les yeux et pensa:

~~~ : Lorsque tu crois que tout est fini rappelle toi toujours de ça et tout s'arrangera !

Moi ~~~ : D'accord papa !

Je me rappelais de ce qu'il me disait quand j'étais petite :

Reste toujours forte.
Tout ira bien pour toi.
Le bonheur s'ouvrira telle une porte.
Et tu m'aura près de toi.

En pensant a ça , je souris comme une mongole.

Roberto : Ahan je vois bien que tu aime ça.

Je r'ouvris mes yeux. Je me sentais forte car papa est avec moi dans mon coeur. J'utilise la technique Coup de Margo et je donna un énorme coup dans les bijoux de famille de ce merdeux.

Il roula par terre comme un ver et j'en profita pour récupérer son ordinateur posé sur son bureau.

Je l'ouvris et y mis la clé USB qui copia les codes de tout ses compte en Banques.

Lui : Ma belle , je t'en pris tue moi mais laisse ma fortune. Me suppliait il.

Mais il est sérieux ? Pour lui l'argent est plus que sa propre vie ?

Je laisse toutes ces question et me tient debout devant lui.

Lui : Ça ne se passera pas comme ça.

Moi : Gros pore sache que seul mon père a le droit de m'appeler Belle, espèce de pédophile va !

Je lui assène une coup de pied dans sa tronche de cochon malade et il s'évanouit.

Je récupère la clé et m'en vais. Je ne sais même pas où aller en plus je n'ai plus la moindre communication avec Armite. Je sors de la maison et marche le long de la route. A un moment donné je ne parvenais plus a bien voir. Il faisait nuit noire et je perdais beaucoup de sang.

J'étais fatiguée et tout mon corps me faisait mal mais le plus terrible était que j'avais des difficulté a respiré. Je m'effondrai sur la route puis vis les far d'une voiture avant de m'évanouir a mon tour. . .