L'écume brumeuse noircie
Les étoiles sont asphyxiées sous la poussière aquatique
Le calme est secoué par des spasmes névrotiques
S'abattent alors sur terre des déferlantes de pluiesLa vague atmosphérique explose
La lumière bleue déchire la nuit
Son échine est parsemée d'ecchymoses
Sa douleur se perd dans ses crisEole se libère
Et comme des cerbères
Se déchaînent les ventsL'homme lève ses yeux avides
Et contemple le spectacle morbide
De l'azur agonisant
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Dunes
PoetryOn dit que le temps passe... non Le temps Courre ruisselle fuit se cache Il nous arrache tout et nous laisse que souvenirs entre les mains En guise d'odieuse récompense Le ciel est azur Il est inaccessible et peuplé de créatures qui le sont tout...