La sexualité comme danger pour l'homme

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La sexualité n'est pour l'homme, qu'un plaisir momentané qui comporte divers problème selon certains penseurs. En effet, la sexualité donne lieu à un débat sur son origine en tant que simple besoin reproductif ou désir, c'est à dire un manque qui nécessite que l'homme le comble au moyen d'une action ou d'un objet. Il semble conscient et choisi à la différence du besoin qui est soumis à la simple nécessité. Le besoin est donc quelque chose dont l'homme, l'espèce humaine à foncièrement besoin. En l'occurrence, la sexualité tiens en vérité de l'ordre des deux : c'est à la fois par but reproductif que l'on s'accouple, mais nous connaissons aussi ce que nous appelons un désir sexuel. Ce désir sexuel est difficile à définir du fait de son origine protéiforme, mais aussi, selon Eckhart Tolle, un représentant du bouddhisme, dans son livre Le pouvoir du moment présent, évoque le fait que la mentalisation de l'homme « oublie la présence du désir » qui repose ainsi dans une pure sensation issu d'une sphère du cerveau appeler « le mental » et c'est pour cette raison que sa définition est difficile à définir. Et c'est l'existence même de ce désir sexuel qui pose problèmes si l'on reprend certains philosophes : Épicure nous soumets une classification des désirs permettant de savoir quels désirs sont insatiables et ceux permettant une vrai satisfaction, il distingue ainsi trois catégories : les désirs naturels et nécessaire comme manger ce qu'il faut pour rester en bonne santé, les désirs naturels seulement comme manger de bons mets et les désirs vains comme désirer la richesse. Pour Épicure, seul les premiers désirs apportent un plaisir stable, les second sont plus durs à accomplir mais apporte aussi un plaisir stable, enfin les troisièmes sont insatiables. Le problème de la sexualité est qu'il rentre dans les trois catégories : en effet il est nécessaire et naturels pour sa dimension reproductrice, il est naturels seulement pour le plaisir qu'il apporte et enfin il est vain car l'homme à toujours soif de sexe. Et le fait qu'un désir insatiable soit aussi un désir naturel fait qu'il faudrait donc, selon la logique d'Épicure, ne se contenter du sexe que comme moyen de reproduction, ce qui est sensiblement impossible pour l'homme et cela va engendrer d'autres problèmes, des problèmes de l'ordre social et moral.

Les problèmes moraux apporter par cette soif de sexe est la recherche inarrêtable de nouvelle sensations, quitte a parfois dépasser des limites sensibles selon les codes culturels préétablis de notre société. Je pense par exemple à la pratique du sexe dit « sale » qui comporte l'anulingus et la sodomie qui sont mal vu par beaucoup de personne car serait la partie la plus sale du corps, mais cela est encore recevable par une bonne partie. Ce sont des pratiques plus « borderline » dont on va parler, comme tout ce qui touche au sado-masochisme, au « gang-bang » et au « bondage » qui sont des pratique dites « hardcore » car suppose des violences durant le sexe, des partenaires multiples dans une société monogame...etc. Mais il y a bien pire car certains vont même au-delà du cadre de la légalité avec la pédophilie. Ce problème de la moralité de la sexualité est en partie du à notre héritage chrétien, qui prohibé toute forme sexuelle mis à pars celle qui permet la reproduction. L'Église quantifiait et quantifie encore la masturbation de péché. Et cet héritage est d'autant plus significatif que dans d'autres pays, chez d'autres peuples ces problèmes moraux quant au sexe n'existent pas comme au Japon qui n'ont aucun problème avec les pratiquent avec partenaires multiples, ou même incestueuse qui sont bien moins mal vus qu'en occident, il ont même une fête nationale du phallus : le Kanamara Matsuri, impensable en France. Mais bien sur ils ont eux aussi leurs problèmes moraux quant à la sexualité comme par exemple la pédophilie qui est un vrai problème la-bas avec de forte production de pédopornographie illégale, en plus d'une production abusive de pornographie en général alors même que les plaisirs solitaires sont parfaitement tabous là-bas.

De ces problèmes moraux découlent des problèmes social, cette soif de sexe et cette recherche continue d'un plaisir différents créer des problèmes aux seins même des familles. L'homme, même marié, surtout marié, va indéfectiblement ce lasser de sa situation sexuelle pourtant stable et ceux pour plusieurs facteurs : un facteur biologique : l'amour est en effet dû au cerveau par la création de certaines hormones par le néocortex, mais ces hormones ne durent que la temps de la reproduction, comme les « chaleurs » d'un chien. La deux solution : soit le couple change cette amour en autre chose, la « tendresse », fera tenir le couple ; soit les deux partis vont voir ailleurs, ce qui entraîne donc mensonges et adultères, puis divorce. Enfin, un problème surgit d'un point de vue purement féministe c'est « l'inégalité homme/femme lors de rapports sexuels » : la « suprématie de l'homme sur la femme », pour des raisons diverses comme le fait que dans les rapports « normaux » la femme soit en dessous, la différence entre l'homme à femme connoté positivement alors que la femme à homme est une fille de joie...etc. Ainsi la sexualité paraît être une menace pour l'homme et ses liens sociaux.

Sexualité et bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant