Le sexe comme clé vers le bonheur ultime

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En effet, le plaisir sexuel est tellement intense qu'il en devient indescriptible, un plaisir sur lequel nous ne pouvons mettre de mots, c'est à dire que cela tiendrai du divin. Mais la science expose quelques raisons de ce plaisir avec une longue liste de bienfaits qu'apporte le sexe : la production d'ocytocine réduit le stress, l'anxiété, améliore le système immunitaire et permet un sommeil plus réparateur ; les éjaculations réduisent le risque de cancer de la prostate ; la stimulation clitoridienne présente des vertus analgésiques ; le coït muscle le périnée des femmes, préviens de l'incontinence urinaire et réduit le risque de dépression ; le sperme riche en zinc et calcium retarde la détérioration des dents ; la production d'endorphine, équivalent naturel aux effets de la morphine ; l'activité sexuelle agit comme une pratique sportive avec tous les bénéfices que cela apporte ; la production de testostérone est bon pour la peau et les cheveux ; la production d'hormones prolactines aide à combattre l'asthme et le rhume des foins ; une activité sexuelle régulière augmente l'espérance de vie et diminue par deux le risque d'attaque cardiaque. Sur le plan psychologique, le sexe à aussi de nombreux avantages : il augmente la confiance en soi, le sentiment de bien-être, la joie, l'optimisme, l'ouverture au monde, l'énergie, incite le pratiquant à se dépasser lui-même, à être attentif aux autres et à multiplier les relations sociales. De part ces nombreux bienfaits qui caractérisent ce moment magique du coït, nous pouvons voir qu'ils impactent aussi bien le corps que l'esprit : le sexe arrive donc à lié corps et esprit et leur apporte un bonheur, un plaisir sans commune mesures. Ainsi le sexe serait cette voie vers le bonheur tant rechercher, le sexe est la parfaite fusion de l'âme et du corps, du spirituel et du matériel : c'est donc le statut suprême de l'homme et le moyen d'atteindre le bonheur parfait.

Mais en plus de lié corps et esprit, la sexualité lie aussi l'homme et la femme et les places sur un pied d'égalité. Au sens propre et matériel du terme, le sexe lie physiquement l'homme et la femme en leur procurant à part égale de ce bonheur parfait vu précédemment. La barrière des sexes est un phénomène qui pose problème depuis la nuit des temps, en effet la femme avait toujours été perçue comme inférieure à l'homme, la sexualité remet les pendules à l'heure en offrant aux deux partit un pouvoir égal sur l'autre : ils procurent autant de plaisir à l'un qu'à l'autre et ont tout deux un pouvoir équivalent à une drogue sur l'autre, c'est à dire qu'ils deviennent addictifs. Les femme comme les hommes peuvent donc avoir un certain pouvoir selon la manière qu'ils usent de cette addiction : la manipulation, la domination, le chantage, l'apport de plaisir...etc. Mais plus que la barrière homme/femme, le sexe brise aussi la barrière du genre lui même : le sexe apporte du pouvoir peut importe son genre, ainsi homosexuels, pansexuels...etc, ont aussi cette égalité du pouvoir, alors que sans la sexualité, dans la société ils seront juste mal vus en grande partie par les gens qui eux sont hétérosexuels et donc « conforme à la nature », nous verrons plus tard pourquoi ceci est absolument idiot. Au sens spirituel du terme, le sexe lie mentalement l'homme et la femme dans le sens ou c'est durant les actes sexuels que les pôles homme/femme des individus s'expriment le mieux. Je m'explique, en effet un individu mâle ou femelle est caractérisé d'une par par ses attributs biologique : un mâle possède un phallus et une femelle un vagin, mais aussi par ses attributs spirituel, psychologique et comportemental : c'est à dire que ces attributs peuvent différer des attributs que l'on observerait normalement et généralement chez un individu de tel sexe.

Ainsi un individu mâle ou femelle possède en lui un pole psychique féminin et un pole psychique masculin. Le premier rassemblant donc les caractéristique dites « féminines » et le second les caractéristiques dites « viriles ». C'est ce que suppose Jung dans sa Dialectique du moi et de l'inconscience de 1933. Il suppose qu'en plus de l'inconscient individuel, il existe un inconscient collectif en chacun de nous qui contient des archétypes propre à la culture dans lequel baigne l'individu, parmi ceux-cis : l'anima et l'animus, les fameux pôles masculin et féminin. Le pole masculin comprend : le primitif comme Tarzan, le séducteur comme Don Juan, le guerrier et la sagesse. Le pôle féminin quant à lui contient : la primitif comme Eve, la courageuse, la sublimation et la maternité. C'est ce mélange de ces deux pôles en chaque individu qui permet une telle diversité de personnalité, de profils, et donc d'attirances sexuelles. Et c'est durant l'acte sexuel que les pôles se matérialisent le mieux : la femme dominatrice est celle qui à une dominance du pôle masculin primitif, l'homme soumis du pôle féminin primitif, la femme fatale du pôle masculin de séduction, le « Don Juan » de même, la prude du pôle féminin primitif, le prude de même...etc. Et les comportements sexuels plus complexes résulte d'un mélange de ceux-cis. La sexualité apparaît donc comme ce qui est le plus proche du bonheur qui, je le rappelle, ce définit par un état de satisfaction global, total et durable : le sexe apporte un plaisir indescriptible, qui jumelle corps et esprit et brise la barrière du genre, et qui est durable car apporte moultes bienfaits qui sont bon à cours, moyen et long terme. Pourtant celle-ci n'est pas encore tout à fait durable, et ceux pour plusieurs raison que nous allons explorer.

Sexualité et bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant