partie 58: Tu veux écouté toute les choses que j'ai sur le cœur ?

1.1K 38 4
                                    

Orlanne Lloris
Clair-fontaine//00h08

Lorsque je rentre dans le château, il y a aucun bruits vue l'heure sa m'étonne pas. Je marche vers le cuisine pour me prendre un verre d'eau.
J'entend des bruits qui provient de la grande salle où il y a ta télé, le baby...Donc je décide d'aller vers se bruits.
Je vois Antoine, mon frère, Paul, les hommes avec qui je parle le plus. Ils regardent la télé sur la chaîne des informations, ils parlent des attentats qui viens d'avoir lieux. Oui on parle d'attentat, employé ce mots me donne des frissons.
Je rentre dans la pièces,  ils me voient pas. Je parle très doucement

Moi: Hey

Ils se retournent tous, mon frère se lève et viens vers moi. Il marche doucement et moi j'éclate encore en pleure.

Hugo: eh petit soeur, arrête de pleuré 

Moi: Je suis désolé  

Hugo: Ne t'excuse pas 

Je le ressaire plus. Antoine et Paul sont limites en pleure et viennent vers nous

Paul: Orlanne ? 

Moi:(entre deux sanglots) oui ? 

Paul: Dis moi que c'est finis 

Moi: Je ne fais plus partis de l'armée. Tous sa est derrière moi.

Antoine: Tant mieux. dans mon oreille Je t'aime princesse 

Hugo: Est ce que tu veux en parlé ou demain 

Moi: Demain, j'encaisse difficilement 

Je monte l'escalier en reniflant. J'ai vue mon meilleur ami, kévin. ce soir, il m'avais envoyé un message, je suis rentré la première dans le bataclan suivis de mes collègue, les médias m'ont filmé je le sais...Quand je l'es trouvé mon visage c'est figé, mon sens de protégé mes prochain ont pris le dessus. Dans ses yeux il y avait de la peur, de l'effrois. Il me regardait avec yeux marron me suppliant de se sortir de ce lieux le plus vite. Dans quelque mois il vas être papa alors je l'es sortis...

Je me couche avec la tête lourde et le cœur détruits en mille morceaux. 

*Le lendemain*

Orlanne Lloris 
Samedi 14 novembre 2015//7h04
Clair-Fontaine 

Je me réveille en sursaut et en sueur. J'ai fais un cauchemars de la veille. J'ai revis les heures et les heures de ce cauchemars réelle. Je me lève de mon lit et entre dans la salle de bain pour me mettre de l'eau sur mon visage. Lorsque cela est fais, je décide de prednre l'air donc je prend un pull au hasard avec un jogging.

Je sort de la chambre puis du château pour prendre l'air. Je marche jusqu'au stade et prend un ballon dans les vestiaire. Je fais quelque jongles. Le foot me fais penser à autres choses, je suis dans ma bulle à entre concentré sur le ballon et mon pieds.  Je me sens libre, le foot me est une partie de moi. 
Après une dizaine de minutes à jouer avec le ballon, et je m'assois, je regarde le ciel gris avec des nuages noirs. Quand je regarde ce temps je me dis que les parents de mes meilleurs amis sont pas content et quand il y a du soleil c'est qu'ils sont heureux. Ils me manque. C'était des personnes formidables, ils rigolaient tous le temps, nous redonné le sourire, ils savaient nous parlé et encore aujourd'hui je m'en veux. Dans trois jours cela fera quatre ans qu'ils sont décédés. 

Je sens une présence et remarque que c'est mon frère, il me regarde avec des yeux rond comme la Terre et avec un peu de reconnaissance. 

Hugo: Pourquoi tu es la ? Sur le terrain de foot 

Moi: J'ai fais un cauchemars 

Hugo: De si passé hier 

Je hoche la tête

Hugo: Tu veux m'en parlé ? Je peux t'écouté. Plus vite tu m'en parle mieux tu sera 

Moi: Tu veux écouté toute les choses que j'ai sur le cœur ?

Hugo: Le moment que je sais que tu te sentira mieux moi même je me sentirais mieux. Alors oui je veux t'écouté 

Moi: Quand vous jouez il y a eu des explosion
Et je continue, je me livre. Sa fais du bien de parler, je pouvais pas rester a gardé sa pour moi. A la fin de mon récit, je suis encore une fois en pleure. 

Hugo: Eh bah je pensais pas que tu allais tous me dévoiler 

Je lui fais un petit sourire 

Hugo: Tous les gars sont là, tu peux leurs parler, mais plus à moi 

Moi (en rigolant): Ah ah ! Merci mille fois 

Hugo: Je ne suis pas ton frère pour rien pet' crotte 

Je lui tape pas trop fort l'épaule. Je me lève de l'herbe car il commence à pleuvoir 

Moi: Aller lève toi ! Il pleut et j'ai hyper faim 

Hugo: On fais la course

Moi: Ouais. Un deux, trois

Hugo: GO

On commence à courir sous la pluie comme à la bonne vielle époque commr lorsque nous étions petits. Arrivé devant les marches du château, je suis première suivis de très près le capitaine des bleus.

Moi: J'ai gagné 

Mon frère: Pour une première 

Je lui tape l'épaule et entre dans le château. Il regarde l'heure et découvre qu'il est un peu plus de 9h15. Dans la salle ou se tient les repas, il y a la plus part de l'équipe dont le staff....Ma vie reprend...Je dis bonjours au garçons en faisant sois un tchèque pour les plus "privilégiés"   ou la bise pour les personnes  que je connais un peu moins. Je vois Antoine, je sens mon sourire se grandir. Il tourne la tête et son sourire s'agrandit à lui aussi. Je tourne la tête pour me servir pour que mon ventre arrêté de faire la fête. 
Je m'assois à côté de mon amoureux.

Mathuidi: Vous étiez où les Lloris  pour que vous soyez mouillé ?

Paul: dans ton q

Moi: Je pense pas on risque d'étouffer

Paul explose de rire

Hugo: On était dehors

Tonton pat': Logique si vous êtes mouillé

***
Je suis dans ma chambre en train de lire des articles sur les attentats, et je vais pas vous mentir que j'ai deux trois larmes qui tombent.  Je n'est toujours pas de nouvelle de Kevin.
Je ferme tes vite mon ordi pour essayé de plus y penser et au même moment Antoine entre dans ma chambre

Lui: Qu'est fesait tu ?

Moi: Je lisais des articles sur ce se qu'il c'est passé  hier

Lui: Tu veux m'en parlé

Je n'est pas le temps de répondre que ma mère m'appelle

Moi: "Allô maman ?"
Ma mère: "oh ma fille que dieux sois liés"
.... 

****************
Voilà un nouveau chapitre qui j'espère vous as plus

Le brevet à ete reculé donc j'ai le temps de poster et d'écrire.

Merci de lire de cette fan - fiction

Petite info: Je relis mes chapitre pour pouvoir corrigé mes fautes  de français 

un anniversaire, un accident et une même passionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant