Partie 75: Nous sommes désolé

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PDV OMNISCIENT 

Antoine et Camille étaient partie dans la chambre occupée par la personne qui aimaient plus toutes après que tout le monde sois revenue. Camille ouvrit la porte et alla faire un câlin à sa marraine, elle lui fait aussi des petits bisous sur son front et ses joues. Antoine s'installa sur la chaise à côté de celle qui l'aime et qui voulait qu'elle soit sa femme. 

Camille: Toine' ? 

Antoine: Humm ? 

Camille: Pourquoi tata a un truc bizarre sur le nez et un peu sur les joues ? Et puis pourquoi il y a autant de machine ? 

Antoine: elle s'est fait brûler au niveau du nez du coup le docteur doit protéger tout ça. Je sais pas trop pourquoi elle est branchée de partout mais je sais juste que la machine qui fait "bipbip" c'est le cœur de ta tata qui bat. Je trouve le bruit beaucoup trop stressant et qui fait un peu peur.

Camille: Moi aussi j'aime pas. 

Elle alla s'installer sur les genoux du numéro sept. Un long silence qui était accompagné de bruits de l'appareil respiratoire. Camille regardait cette machine. Antoine, lui, il réfléchissait. La petite fille se leva, alla faire un dernier bisou sur la joue de sa tata et parti de la chambre. Le petit grizou était seul. Il prit une grande inspiration et commença ses longues pensées.

Antoine: Je ne pensai pas qu'un jour je serai là, à te regarder dans ce lit ou si mais dans contexte différent, comme mettre notre enfant au monde. Je veux que tu réveilles et que tout ça sois juste un putain de cauchemar. Je me suis mis des baffes pour que je sorte mais non c'est bien réel. Est-ce que tu te rappelles du comment on sait rencontrer ? Parce que moi oui. 
C'était une semaine avant l'anniversaire de notre capitaine. Il nous avait dit que tu ne pouvais pas venir, il était triste mais toi tu étais maligne et tu préparas quelque chose de spéciale, tu avais ton organiser tu avais notre Paulo toujours présent pour faire des conneries. Quand je t'ai vue la première fois tu étais venue à Clair-Fontaine, je t'ai trouvé très élégante, on pouvait sentir ta joie de vivre. Bien sûr il n'y a pas que moi qui te suis trouvé belle, les autres aussi. Quand Paul nous avait dit que tu étais la sœur du capitaine, j'étais un peu perplexe. Il nous parlait souvent de toi et ta famille mais il nous avait jamais montré des photos de toi. 
Après on s'est revue chez toi où tu étais plutôt fatigué et triste, je t'ai accompagné pour aller chercher le cadeau de ton frère, on apprit à se connaitre puis on a vite sympathisé, on a échangé nos numéros et j'étais plus que ravis car tu me plaisais bien. Tu étais tout ce que je cherchais chez une femme. Plus tard je t'ai vue sous un autre angle. Ma soeur avait eu un accident, tu étais là, avec ton uniforme de pompier et ton casque sur la tête, pour pas te mentir je t'ai trouvé sexy. Tu étais resté avec elle, je t'en remercie énormément. 
Ensuite, on s'est revus à l'anniversaire de ton frère, il était si heureux de te voir et moi aussi. Tu avais connaissance avec ma famille. Ils t'avaient remercié d'avoir sauvé Maud. Ce jour-là, on avait parlé foot, et j'étais plus qu'heureux. J'avais enfin découvert la femme que j'avais rêvé d'avoir. Je savais déjà que mon sentiment n'était pas que de l'amitié, il y avait aussi de l'amour. Notre rencontre était spéciale et unique. Qui aurait cru que j'allais rencontrer celle que je veux épouser pour l'anniversaire de son frère, lors d'un accident et en plus de tous sa qui à la même passion que moi, le football. Je t'aime...je t'aime...je t'aime Orlanne Lloris. Je veux te serrer dans mes bras et t'embrasser un milliard de fois et te dire à quels points je t'aime énormément. Ouvre les yeux s'il te plaît....

Orlanne avait tout entendu, elle voulait bouger mais elle n'y arrivait pas, elle voulait sourire ou même lâcher une petite larme mais rien. Elle utilisait toute la force qui lui restait mais rien. D'un seul coup, elle voyait les parents de sa meilleure amie lui sourire. Derrière eux il y a une lueur blanche. Hélène (le prénom de la maman de Louise, Thomas et Kévin), elle aussi marcha vers la jeune femme, cette dernière pleurait de joie et de tristesse. Quand les deux femmes furent au centre du pont qui séparait les deux mondes un long câlin était au rendez-vous. 

Hélène: Tu m'as manqué ma belle...Nous sommes si fiers de toi d'avoir fait tous le possible pour mes enfants mais aussi les autres. 

Orlanne: Tu m'as manqué aussi marraine. Je suis fatigué, j'ai presque plus de force, je travaille plus, tous les weekends je suis de garde.

Hélène(douce voix): Viens nous rejoindre. Tu auras du temps pour te reposer, tu as juste à me suivre. 

Orlanne: Tu crois ? 

Hélène: J'en suis sur !  

Elle prit la main de sa marraine. La jeune femme surretourna, elle voyait son frère pleuré à chaude larmes ainsi que Antoine et tout le monde qui l'aimait. Vers un côté elle se revoyait petite en train de jouer au foot avec Hugo, elle souriait en voyant cette image...
Elle aussi, elle pleurait...
Elle se retourna vers la lumière blanche...Elle continuait de pleureur... Sa famille pleurait...Elle marcha vers cette lumière qui brillait tant...Elle pleurait encore... Les autres aussi...Elle était arrivé, elle avait fini de marche sur les ponts... Antoine était toujours sur cette chaise, l'appareil respiratoire faisait un long bruit. Des infirmières et un médecin courut vers la chambre de la défunte. Antoine ne comprenait pas, une infirmière prit le jeune homme pour le faire sortir.Il s'est remis à pleurer comme tous les autres présents dans le couloir. Les médecins accompagnés des infirmiers furent tous leurs possibles pour la réanimer malheureusement son coeur avait lâcher....

Infirmière: date du décès: jeudi 8 Mars 2016, heure du décès: 16:28. 

******FIN*****

Voilà c'est la fin :) Il aura un ou deux bonus je ne sais pas encore. Merci énormément pour vos commentaires, vos votes est d'avoir lu jusqu'au bout cette fan fiction. 

un anniversaire, un accident et une même passionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant