Chapitre 7

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Nous décidons de nous préparer pour le bal. Yan a décidé de porter un costume noir et une chemise blanc et il y accrocha une épée d'apparat mais elle coupe ben assez. Moi par contre, c'est plus long. J'hésite entre deux robes; une robe avec un lassait dans le dos et plutôt moulante ou une robe gris foncé avec un lassait devant et une fente sur la gauche du pied au genoux. J'appelle Yan pour qu'il m'aide à choisir. Il me conseille de prendre la argent. La fente me permettra d'accéder au poignard que je cache dans la botte noir que je porterait ce soir. Il me fais un chignon et je me maquille. Et nous rejoignons la salle de bal. 

Quand nous passons la porte, toutes les personnes présentent  nous fixes. Juliette et Prunelle sont habillées de robes rose et violette. Elles m'attirent à l'écart pendant que Yan rejoint Jack et Luc qui sont avec deux personnes plus âgés certainement leurs pères. 

-Pourquoi tu portes une robe grise ? demanda Juliette. 

-Car elle me plaît et je hais les couleurs pâles. Elles ne me vont pas au teint. 

Deux personnes plus âgées que nous s'approchent.

-Juliette, Prunelle qui est donc cette jeune femme qui vous accompagne ?

-Mère, elle a notre âge. s'exclame Prunelle.

-Je me nomme Iris, Madame. dis-je en faisant un révérence.

-De quelle famille êtes vous issu ?

-Je ne fait parti d'aucune grande famille. Je sors juste de mon quartier. avouais-je.

-Ce n'est rien ma chère. me murmura leur mère.

-Mais mademoiselle si vous venez d'un des quartier dure de cette ville comment avez vous pu obtenir une bague aussi rare ? demanda l'homme qui doit être leur père.

Il pointe ma main et je vois les yeux des personnes autour de nous se diriger dessus celle-ci. Ma bague de fiançailles provoque des commentaires plutôt étonnant des courtisans présent.

-Ho ça, c'est la bague que m'a offert mon petit-ami pour nos fiançailles. Mais cela n'est pas très étonnant. Tous le monde pense que nous sommes pauvres.

-Mais faites attention au apparence. Le mal n'est pas toujours là où on l'attend tous comme la richesse. dit Yan qui nous avait rejoins.

-Vous êtes fiancés ? crient nos amis.

-Oui ! répondons-nous sous le regard choqué des invités.

-Vous n'avez aucun sens de l'observation. Je la porte depuis plus d'un mois. dis-je.

Le roi arrive à la fin de cette phrase. Mais mon œil est attiré par un mouvement derrière lui.

LiMo

Chance ou préméditationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant