Rien

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Au début, tout était noir. Je ne voyais rien.

Rien me convenait parfaitement, Rien étais confortable, chaud, réconfortant. Rien me protégeait, rythmé par un battement régulier.

Puis vint ce fameux jour.
Je me rappelle le souffle qui s'accéléra, les battements de plus en plus rapides, les bruits d'objets métalliques qui s'entrechoquent. Puis le froid. Une douleur intense. La lumière me transperçant.

Depuis, je vie dans cet enfer qu'est le vôtre.

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