Le vent soufflait,
Calmement,
Faisant danser sa robe bleue
Fleurît de violettes,
Magnifiquement.
Ses cheveux,
Au couleurs du miel,
S'emportaient
Ici,
Là,
Caressés par cette douce brise d'été,
Majestueusement.Ce champs de blés dorés,
illuminé sous ce soleil brûlant,
aveuglait tout passants ou larrons.Quand à moi,
Assis sous cet vieil arbre feuilleté,
Je l'admirais.Je la regardais
Tenir son petit panier,
Blindé de lylas,
De Gypsophila.Gypsophila,
C'était ses préférées.Sa main droite tenait son chapeau bleu,
Tenu d'un ruban plus foncé,
Lui donnant l'air le plus doux qui puisse existait.Sa main gauche en revanche,
Se baladait dans son panier,
Cherchant ce que je prédis est son doux baume à lèvres,
Le goût pêche,
Peut-être framboise.
Nulle ne sait.
Elle le changeait tout trois jours .Un tube violacé dans ses mains,
Apparaît.
Je comprends alors,
qu'elle choisit le sucré.Elle ouvrit le tube,
délicatement,
Et l'approcha de ses lèvres suaves,
doucement,
Étalante le liquide rosâtre,
soyeusement,
Épuisante ses lèvres à la fin,
calmement.
Me rendant amoureux d'elle,
Follement.Je fermais les yeux,
Et commençais à fantasmer
Sur le goût de ses lèvres,
Leurs douceurs.
Sont-elles moelleuses?
Sont-elles si douces et délicieuses ?Je rêves et je fantasme.
Je rêves et je m'en vais.
Je rêves et je nies.
Je nies et je nies.
Je nies et je m'oublie.
Je nies et je rêves.
Je n'y croyais plus.Ces lèvres étaient désormais,
À mon réveil,
Tout simplement,
Collées aux miennes.
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Poems I write but I don't know where to put
PuisiPoems or stories I write but don't know where to put