S'il vous plaît, retrouvez-moi.

Chapitre 6 :

 J'essaye de m'exprimer sans trop de difficulté :

- Quand j'ai rencontré Lucie, peu de temps après je suis tombé dans une espèce de mort cérébrale. Et j'ai vu une ombre, d'enfant elle m'a emmené dans une pièce qui ressemble à celle que tu décris. Ensuite je me suis retrouvé dans... un corps d'enfant, et cet homme je l'ai vu !... me transpercer avec une faucille...

Léon, et Lucie me regarde d'une manière inquiète mais fasciné à la fois. Lucie reprends vite la conversation d'un air intello.

-Tu as eu un voyage astral, ton corps spirituel quitte ton corps matériel, l'enfant à dû te guider, pour te montrer ce qu'il lui est arriver. Ah oui on a oublié de ce présenter, Léon et moi, nous sommes, ce que l'on nomme, des fans de paranormal. Nous cherchons des explications à l'inexplicable, depuis cette sombre période, nous essayons de découvrir ou est le corps du petit. Nous nous somme déjà rendu dans la maison lorsqu'elle était «abandonnée». Nous avons fait un plan de celle-ci pour pouvoir découvrir ou ce trouve cette salle de torture. Mais nous n'avons aucune description,donc nous ne pouvons pas déduire la moindre hypothèse...

Des images resurgit de mon esprit, quand j'étais dans le corps de ce petit garçon j'étais...

Un crie de joie éclate de ma bouche :

-Mais oui ! Je l'ai vu !

Léon et Lucie me regardent perplexe, mais je continue mon discours.

-Cette pièce ! Je l'ai vu !

Leurs yeux s'écarquillent de stupeur, ils s'échangent un regard que eux seul peuvent comprendre et me déclare tous en chœur :

-Donne nous tous les détails de la pièce ! On se débrouillera pour pouvoir en déduire l'emplacement de cette pièce de l'horreur et c'est peut – être là que ce trouve le corps de Mathis. Et si la moindre chose de «bizarre» te tombe dessus dit le nous !

Après quelques secondes d'hésitation en essayant de remettre mes idées en place.

- La pièce n'avait pas de fenêtre, il faisait froid et humide, il y avait une aération par contre, les murs étaient fait de pierre cimentées, il y avait plein de griffures d'ailleurs. Après tout est flou je ne me souviens que de ça.

Lucie prend note de tout ce que je prononce, ferme son cahier brusquement et se lève.

- Cela suffit amplement, demain rendez- vous ici à 7h00. Et essaye d'attirer l'enfant, en l'appelant ou quoi que ceux sois, c'est notre seule aide.

Surprise de cette heure je rétorque :

-Mais on commence à 8h00 et le lycée est fermé aux élèves à cette heure. (La seconde partie de sa phrase me fou la trouille, je ne l'a relève, pour ma sécurité).

Léon me tant aussitôt une seconde clé et un petit plan gribouillé sur une feuille froissée.

Et continue la suite du discours de Lucie.

-C'est la clé du petit portail qui donne au stade du lycée il te suffira de le traverser et de venir dans cette permanence 002. Le plan est pour t'aider et les petites croix dessiné dessus son les éventuels problèmes. Au dos de la feuille il y à nos deux numéro en cas de soucis ou d'indices pouvant nous aider envoie nous un sms.

-Éventuels ? Problèmes ?

Lucie regarde sa montre et nous fait signe qu'il est l'heure.

Ma question se termine alors sans aucune réponse.

En rentrant (enfin) chez moi, je jette mon sac sur mon lit, oubliant sans aucune difficulté de faire mes devoirs. Je trouve un cahier neuf avec une page pour écrire et une page blanche juste en face, je trouve enfin une utilité à ce cahier. Je décide de noter tous ce que je sais pour le moment sur cette étrange affaire. Et de dessiner tous ce que j'ai vu depuis le début.

Ma mère me coupe en pleine inspiration et m'appelle pour venir manger, je laisse mon cahier sur mon bureau, je continuerai plus tard...

L'un des meilleurs dîners de ma vie, ma mère nous a faits hamburgers maisons et de bonne frites. Le plus simple des repas mais le plus efficace pour caler mon estomac.

Mon père ne lâchant pas un mot de tout le repas, trop occupé par son travail sûrement,je me voile la fasse depuis quelque temps mais je sais que le mariage de ma mère et mon père n'est plus qu'une formalité pour eux. La seule chose qui l'est retiens de ne pas divorcer, c'est moi...

Je quitte la table troublé par ces idées me rendant un peu morose. Je me brosse vite les dents et me rends dans ma chambre pour continuer mon projet.