Alors qu'Akito sombre dans une dépression profonde, Kureno prend les choses en main et sollicite l'aide des "Douze". Mais accepteront-ils de se mobiliser ? Pendant ce temps, Ren échafaude des plans machiavéliques pour se débarrasser définitivement d...
Disclaimers : les personnages de fruits basket ne m'appartiennent pas... S'ils étaient à moi... je changerais quelques trucs...
Cette histoire contient des spoilers pas mal d'ailleurs mais ne prenait tout de même pas tout à la lettre, ceci est une histoire de mon invention alors je fais ce que je veux.
Cela fait maintenant plusieurs années que je n'ai pas touché à cette histoire, mais la remake de Fruit Basket me passionne tellement que j'ai envie de m'y replonger et de finir cette histoire. La fic se passe après les épisodes du chapître 97 (donc Akito est une femme) et le chapître 101 - ShigureXAkito
Heureuse d'être de retour!
Enjoy!
Désolé de ne pas avoir continué plus tôt, je voudrais m'excuser auprès des personnes qui me lisaient.
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Akito Sohma
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Musique d'écriture : Suna No Oshiro - Kanon Wakeshima
Chapitre 1 : La Comédie
Kureno POV
Elle était là, devant moi, à genoux sur le tatami de sa chambre sombre. Une fois encore, elle avait refusé que les servantes ouvrent les fenêtres. Malgré l'obscurité, je distinguais ses doigts fins crispés sur la couverture, sa tête penchée en avant et ses mèches noires cachant ses yeux. Je m'approchais d'elle, conscient de son aspect de poupée de porcelaine brisée, et je tendis la main vers sa joue. Elle était si froide, si froide.
« Akito » murmurai-je, doucement.
Elle ne me répondit pas. Elle resta dans sa position, recroquevillée, les yeux dans le vague. Savait-elle que j'étais là ? Elle ne semblait pas être consciente de ma présence. Je glissais mes bras autour de sa taille et l'attirais vers moi.
Ses mains lâchèrent le dessus de lit, elle poussa un petit cri de surprise et leva les yeux. Elle me voyait enfin, elle savait que j'étais là.
À genoux sur le sol, je collai son corps frêle et tendre contre le mien. Elle avait l'air si fragile dans son yukata. Je la posai facilement, trop facilement, sur mes jambes pliées. Là, sa tête enfouie dans mon cou, son corps pressé contre moi, je sentis ses bras enlacer mon torse. J'embrassais ses mèches noires et respirais la senteur de jasmin qui émanait d'elle.
Elle me serra si fort que mon cœur me fit mal, blessé par sa douceur.
Je sentis son souffle tiède qui caressait ma gorge.
Ma poupée de porcelaine prit vie et plaça ses mains blanches sur mon torse, déboutonna ma chemise doucement, palpa ma chair.
Je me laissais faire, comme toujours, ému par sa fragilité. Sans amour, mais avec tendresse.