la chasse

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PDV: Ainé

J'ai mes couteaux dans ma ceinture et mes bottes, mon arc à ma main et mes flèches dans mon carquois mon équipement est prêt. Ma tenue est composé d'un pantalon vert kaki qui me colle la peau, d'un t-shirt assorti, d'une veste en cuire noir et de bottes noir aussi. C'est un équipement très lourd mais j'ai l'habitude. Aujourd'hui nous serons dix à aller chasser, c'est une sorte de compétions organiser pour marquer les saisons, celui qui a la plus grosse bête aura la récompense qu'il veut de la part de la doyenne.

La doyenne est la femme qui administre la zone C, les réserve de nourriture, le nombres d'habitants, elle s'occupe des problème au sein de la communauté, de tout se qui est mariage et tout le reste. La Zone C est le plus grand mais aussi le plus pauvres de tout les territoires. La chasse est donc un bon moyen de réapprovisionner le village, nous avons souvent souffert de la faim sur notre territoire mais j'ai toujours su attraper un minimum de proie alors on as toujours survécu.

Notre village est composé de 1000 habitants ce n'est vraiment pas grand choses encore plus si on sait que se sont tous pour la plupart des soldats, les autres sont des marchands qui ne restent même pas tout le long de l'année et des ouvriers, nous n'avons pas d'agriculture les terres sont trop sèche pour ça.

les maisons sont le plus souvent en bois pas très grande mais assez pour accueillir trois personnes. Le village à une forme circulaire, il est entouré par des remparts et encadré de trois tourelle à des endroits stratégiques pour pouvoir prévenir des éventuelles attaque. Ma maison est la plus haute et la plus grande au centre du village, en temps normal c'est la doyenne qui l'occupe mais elle me l'a donner. C'était il y a trois ans, le lendemain après m'avoir donné sont cadeau j'ai été assigné au poste que vous connaissez. Ce n'était pas vraiment un cadeau chaleureux mais plutôt pour s'excuser.

Malgré ses petits coups en douce j'aime cette vielle femme après le meurtre de mes parents elle m'a receuilli et c'est occupé de moi. Pour ça je lui serait reconnaissante toute ma vie c'est d'ailleurs la raisons pour laquelle je ne me fâche jamais contre elle, j'y suis bien trop attaché.

Je me déplace dans les allées, j'en profite pour salué mes amis ainsi que les habitants qui se sont habitués à moi. Je passe à l'infirmerie pour faire un petit coucou à mon ami William malheureusement les infirmières m'interdisent de le voir apparament il à toujours trop peur tempi, je reprends mon chemin vers le terrain de chasse. Une fois arrivé on me donne une monture que je refuse, je suis meilleur à pied, je salue les participants qui viennent de toute les zones. Ils savent tous qui je suis et veulent se mesurer à moi certain rigole et d'autres tremble, je suis trop occupée à vérifier mes armes pour me préoccuper d'eux.

La vielle arrive enfin à 10 h toujours en retard je pense qu'on peut dire que c'est sa signature personnelle. Elle me salue chaleureusement comme d'habitude et fait un petit salut froid de la main aux autres. Après une longue introduction et des explications encore plus longue, la chasse commence enfin. Nous pouvons chasser dans tout le territoire, je décide donc d'aller vers les montagnes, j'y chasse depuis mes 12 ans, c'est un peu mon terrain de jeu.


Dans le cœur de la forêt j'entends tout il y a trois autres chasseurs et une grosse proie au Nord je dois me dépêcher, quelqu'un est sur son chemin. Je fend l'air mes foulé sont rapides, grande et silencieuse. J'ai l'impression d'avoir ça dans le sang, c'est fou comme je me sens libéré dans la forêt. Je m'arrête net, l'animal est à 5 mètres de moi, c'est un ours enfin sa y ressemble je crois. En tout cas il est énorme je dirais 5 mètre, c'est dents sortent de sa bouche et ses griffes sont géante aussi. Calmement j'encoche une flèche et je tire en plein dans le cœur, comme paralysé la bête tombe dans un râle horrible.

Je me précipite vers elle pour vérifier si elle est morte ce qui est le cas, maintenant que j'ai mon animal la question sa va être je fais comment pour le transporter. J'ai pas vraiment le choix, je construis un traîneau pendant deux heures et j'y mets la bête. À 16h je suis au point de rendez vous et je suis la dernière quand les gens vois le monstre que je tirent tout le monde crient de joie et applaudi, les chasseurs eux tombent par terre ils savent très bien ce que ça signifie. Un tel animal c'est presque impossible de l'abattre alors le transporter c'est inhumain. Ma victoire est écrasante, je réclame mon prix c'est à dire des vacances. Je veux laisser mon poste pendant 1 mois, j'ai mieux à faire.

Ce sera bientôt l'anniversaire de la mort de mes parents et je ne le manque jamais qui plus est je dois me préparer à la sélection. La journée se termine avec le repas dans le réfectoire, la salle où tout le monde mange le soir, des tables en bois géante et des bancs aussi en bois constitue cette énorme pièce, je suis placé en tête de table et tout le monde lève son verre pour moi. Pour la première fois depuis longtemps une larme coule le long de ma joue quand je pense que c'est la dernière fois que je vivrai ce moment.

Dernière chance pour l'humaniteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant