la sélection

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PDV: Ainé

   Cela fait 30 jour que je suis dans zone A demain aura lieu la cérémonie, je n'ai plus eu de nouvelles des Mériens qui m'ont attaqué dans la forêt. Je me suis encore plus entraîné que d'habitude, mon corps et mon esprit sont prêt maintenant.

   J'ai reçu la lettre de convocation pour la sélection qui se passera comme d'habitude à Neptune toute les filles de 18 à 20 ans en bonne santé la reçoivent cette après midi j'irai à la sélection c'est là où le don est choisie. J'avoue que j'ai le cœur qui palpite, Léon à refait venir Cassandre qui à encore fait des merveilles avec mon corps. Je suis dans une rode tout à fait ravissante et je porte une pluie de bijoux, à mes pieds j'ai des sandales j'y ai veillé personnellement.

    La sélection va se passer en trois étapes : la première les filles vont défilé dans les rue de la ville de la manière qu'elles le souhaitent pour la deuxième partie  les juges vont examiné toute les qualités de la fille ( force, intelligence, beauté) et enfin le chef Mériens va venir choisir le don et le lendemain la cérémonie de passage aura lieu.

   Je me dirige donc vers les écuries pour allé chercher Fleya, je ferai mon défilé sur elle. Sur le chemin qui me mènera au commencement de la ville je le point de départ du défilé, je suis prise d'une grande tristesse, la doyenne m'a fait parvenir trois lettres toutes disent qu'elle attend mon retour mais la dernière dit aussi qu'elle sait se qui va m'arrive et qu'elle me souhaite bonne chance. Cette vieille femme a toujours été intelligente.

  Arrivé au point de rassemblement, je vois un spectacle lamentable se dévoilé sous mes yeux environ 50 filles sont assisent par terre et pleure d'autres se font emmené de force par leur parents, une chose est sûr aucune d'elle ne veut d'un avenir Mériens. J'entends déjà la musique qui commence signe que nous devons commencer à paradé votent que personnel ne se décide à partir je monte debout sur mon cheval et j'ouvre la marche.  Après une série d'acrobatie qui redonne le sourire aux filles mais qui vise aussi à toucher les juges nous arrivons à la deuxième étape les examens.

   Sa dure une éternité mon tour passe en un éclair lorsque les juges entendent mon prénom je suis immédiatement prise à mon plus grand bonheur. A la fin de l'étape nous ne somme plus que 5, je regarde mes concurrente et je constate qu'elles ne veulent pas n'ont plus être là toutes ces filles tremble de peur je les vois retenir leur larmes moi en revanche je suis calme même sereine mon cœur c'est calme et je n'ai plus peur. J'attends l'arrivée du chef qui est visiblement en retard, au bout d'une demi heure je dirais de la musique se fait entendre dans la ville.

  Les filles et moi sommes emmené dans le réfectoire qui à été redisposé les banc et les table sont contre les murs se qui laisse une grande allée. On nous fait monter sur une estrade au fond de la salle et comme le veut la tradition on nous bande les yeux avant de faire entrer le chef. J'entends encore les sanglots des filles.

    La porte s'ouvre faisant entré les bruits du village en fête, même si ce n'est que pour l'illusion en vérité personnes n'aime cet fait où on crains de perdre un enfant ou un proche. Cette douleur de ce sentir inférieur à ce peuple chaque année la plaie qu'à laissé notre défaite des Mériens se rouvrent avec cet cérémonie ou plutôt se sacrifice. La musique, les champs et les cries de joie ne sont qu'un moyen de dupé les Mériens et de ne pas les vexé, on ne veut surtout pas recrée une guerre nous ne gagneront surement pas. Des pas lourd et lent se font entendre sur les sol en bois qui crie, ils sont trois, j'entends Léon les acceuillir sa fait partie de son rôle de dirigeants:

- Bienvenue, puisque c'est votre première fois laissé moi vous guider. Sa voix est en apparence calme et posé mais elle cache de la peur et de la colère. Il faut bien le connaître pour le savoir.

- très bien mais faite vite après tout se chemin nous avons besoin de repos. Le ton est dur et cinglant, rien qu'à l'entendre j' en ai des frissons dans le dos.

- pas de problème messieurs, voici les filles de cette année faite votre choix et allé vous reposer autant que vous le voulez.

   En guise de réponse Léon à le droit à un grognement, la sélection commence les une après  les autre les filles se font recalé parfois des petits cris étouffé parviennent à mes oreilles, je suis la dernière on dirait qu'aucune fille ne lui a convenu et c'est tant mieux. Je sens que les trois colosses sont devant moi, je suis immobile comme un mur de pierre, je ne pleure pas, je ne tremble et je n'ai pas peur. Je perçois des chuchotement infime mais je ne les comprends pas, une main attrape mon menton et tourne ma tête dans tout les sens, cette même main palpe les muscles de mes bras et de mes jambes, je trouve ça déplacés mais passons. Après une longue attente l'un des hommes me tire violament par les cheveux et me balance aux pieds de quelqu'un :

- Le chef veut elle.

- C'est d'accord demain à 12 h cette femme sera au Mériens, mes hommes vous attendent à la porte ils vous conduiront à vos chambres.

   Je suis donc sur Léon qui me relève tout de suite après le départ des Mériens, je suis encore un peu déboussolé mais sa va, j'ai réussi demain je pars chez ces monstres et je pourrais enfin me venger. J'éprouve une grande satisfaction à cette idée:

- Ainé tout va bien, ils n'ont pas été rendre avec toi.

- Oui ne t'inquiètes pas retire moi juste le bandeau sa m'énerve de ne rien pouvoir voir.

- Je ne peux pas.

- Pardon?

- Je te l'ai dit je n'ai pas le droit, c'est seulement une fois que tu sera arrivé sur leur territoire que ton nouveau chef pourra te l'enlever. C'est la tradition tu sais qu'ils y sont attaches alors ne les contrarie pas. On va te conduire à ta chambre pour la nuit, il faut que tu sache le chef Mériens viendra te surveiller pour voir si tu ne retire pas le bandeau et ce sera toute la nuit alors prépare toi. Demain quelqu'un viendra pour t'aider à te changer en attendant reste au calme, je vais prévenir tout le monde.

- Pas besoin je leur ai déjà écrit des lettres et je les ai donné aux marchands, ils me doivent un service alors ils leur donneront sans faute ce sont des hommes honnête. Léon j'aimerais allé dans ma chambre et être seul pendant une heure, tu peux faire sa pour moi

s'il te plaît.

- Bien sûr.

Léon se jette sur moi pour me faire un câlin et verse quelques larmes, je lui caresse le dos:

- Sa va on savait tout les deux que ça allait arriver et tu sais que j'ai une mission.

- Oui mais fait attention à toi, je ne veux pas te voir mourir toi aussi.

- Je te fais la promesse que je ne mourrez pas.

  Après se moment émouvant je fus conduite à ma chambre et comme promis j'ue mon heure de solitude. Ensuite jusqu'à la fin de la journée ce sont les hommes de Léon qui mon surveillé et pour la nuit comme on m'en avait informé c'est un Mériens qui pris la relève . Je ne sais pas pourquoi mais je sens que la nuit va être longues.

Dernière chance pour l'humaniteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant