Saving Destiny de Wickedlawesomeme

Chapitre un - Familiarité

"Princesse Merlin Ambrosius Emrys, princesse héritière d'Angleterre."

Les énormes portes en chêne s'ouvrirent simultanément et tous les invités regardèrent la princesse de leur pays entrer.

La princesse Merlin, âgée de dix-huit ans, se dirigea gracieusement vers son trône, le menton levé, ses mains soulevant légèrement sa jupe pour ne pas laisser le bas de sa robe toucher le sol. Tous les yeux étaient rivés sur elle, émerveillés et émerveillés par la grâce qu'elle exhalait. Ses parents, le grand roi Balinor et la reine Hunith, attendaient l'arrivée de leur fille.

Aujourd'hui, c'était un bal en l'honneur de leur fille, qui allait bientôt quitter le palais pour se rendre à l'université d'Avalon. Merlin avait toujours rêvé d'obtenir un diplôme universitaire, en particulier de suivre le cours d'histoire, car elle avait toujours un penchant pour la lecture de faits sur le passé. Au début, ses parents étaient contre, mais avec la persistance constante de Merlin, ils ont finalement succombé à ses souhaits.

C'était une grande nouvelle pour le pays, en particulier parce que ce serait la première fois qu'un roi de la Maison Emrys ne serait pas scolarisé à la maison. Les temps ont changé et les médias ont envahi cette nouvelle comme des abeilles impatientes, estimant que cela pourrait être le début de quelque chose de nouveau... que peut-être la princesse, une fois couronnée reine à l'avenir, apporterait quelque chose de différent à leur pays.

Merlin redoutait la pression supplémentaire qu'elle s'exerçait sur elle-même, mais l'anticipation d'aller dans un nouvel endroit avait maîtrisé toute la pression à laquelle elle était soumise. Enfin, elle pourrait se comporter comme une adolescente normale et obtenir son diplôme universitaire.

"Père, mère", murmura Merlin en faisant une révérence devant ses parents une fois sur le trône. Balinor et Hunith ont fait signe à leur fille de s'approcher d'eux. Un serviteur a immédiatement marché vers la famille royale, avec un plateau de vins en verre. Chacun a son propre verre et le roi Balinor s'est avancé. Le banquet s'est calmé alors que tous ses sujets le regardaient.

"Mes chers invités, amis et famille, aujourd'hui, nous vous avons gracieusement invité en l'honneur de ma fille", a-t-il commencé. Merlin sourit doucement à côté de lui tandis que Hunith passa un bras autour du bras de sa fille. "Ma princesse a grandi, elle était révolue à l'époque où elle me permettait de raconter à son coucher des histoires de chevaliers de fantaisie et de demoiselles en détresse."

Un rire collectif retentit à travers le banquet et Merlin se retrouva un peu en train de se lever. Malgré le stress de sa position dans ce pays, elle aimait toujours beaucoup ses parents. C'étaient ceux qui étaient à ses côtés lors de ses journées les plus éprouvantes.

"Merlin", s'adressa-t-il en se tournant légèrement pour la regarder. "Je sais que vous ferez du bien à l'Université d'Avalon. Vous nous avez toujours rendu fiers et, en tant que future reine de ce royaume, je sais que vous serez merveilleux."

"Merci, père," dit-elle gentiment.

"Ainsi, mon cher peuple, portons tous un toast à la princesse héritière Merlin Ambrosius Emrys!" Il leva son gobelet et explosa: "Longue vie à la princesse!"

Tout le monde dans la salle s'est fait l'écho de ses paroles et, à dire vrai, cela n'a jamais manqué de donner des frissons à Merlin. Le fait que les gens la regardent, dans l'attente et respectueux, tout était accablant pour elle. Un mélange de sentiments se glissait dans son cœur et elle ne pouvait que faire une révérence, son sourire devenant grand et magnifique.

Le roi Balinor donna ensuite la réplique à ses serviteurs et bientôt le dîner fut introduit.

De nombreux princes et autres membres de la royauté ont demandé l'autorisation de Merlin pour une danse et, en tant que princesse, elle a été obligée d'accepter. Cela ne voulait pas dire qu'elle n'était pas morte de fatigue à cause des virages et des balancements. En tremblant, elle pouvait déjà imaginer madame Margeaux, lui disant stridentement de se déhancher comme le vent, de se plier comme les fleurs.