Saving Destiny de Wickedlawesomeme

Chapitre cinq - Trolling

Les journées passaient vite et rien ne sortait de l'ordinaire à l'université d'Avalon. Merlin se félicita de l'étrange normalité à l'école. De retour au château, les choses étaient rarement ordinaires pour elle, car elle était balayée par un tourbillon de danse et de socialisation et, en réalité, elle était toute princesse.

Se sentant un peu aventureuse, elle posa ses deux pieds sur une chaise proche et se détendit, ce qui lui bloqua les oreilles d'une possible réprimande qui risquait de faire oublier le souvenir de Madame Margeaux. Elle appréciait la liberté qu'elle avait en ce moment et elle l'embrassait avec trop de plaisir.

"Bonne journée, hein?" Demanda Gwen en entrant dans leur chambre, suivie de Freya. Cette dernière portait à présent ses lunettes de forme arrondies étranges et habituelles pour l'aider à affaiblir sa vue.

"Vous êtes de retour tôt," dit-elle. "Bonjour Freya." Elle adressa un sourire chaleureux au futur biologiste marin. Merlin devint facilement à l'aise avec l'amie de Gwen et elle pouvait sentir que Freya ressentait la même chose.

"Votre altesse", dit-elle, faisant une révérence mi-moqueuse, moitié-respectueuse.

Gwen se laissa tomber sur l'un de leurs canapés et Freya choisit de revendiquer sa place habituelle - au pied de la table basse, sur le sol recouvert de moquette. Ils ont tous deux commencé à sortir leurs énormes volumes et du papier jaune. "La microbiologie commence à devenir une douleur dans le cul", a commenté Gwen, harrumphing alors qu'elle regardait les bactéries griffonnées sur son carnet.

Freya hocha la tête avec enthousiasme. "Je veux dire, chaque fois que nous sommes renvoyés de nos séances de laboratoire, je jure que je vais contracter certaines de ces bactéries terribles dans mon système." Elle frissonna un peu pour donner l'effet tant attendu.

"Maintenant, maintenant," dit Merlin, maintenant assis convenablement et convenablement. "Les bonnes femmes ne se plaignent pas. Elles acceptent les moments difficiles de tout leur cœur et leur font face avec bravoure."

Gwen et Freya levèrent simultanément les yeux au ciel devant Merlin, qui avait abandonné son attitude de «princesse». "Ouais, d'accord, princesse," répondit Gwen, incapable de retenir un sourire.

Merlin fit écho au sourire et ouvrit ses bras pour les serrer dans ses bras. Elle aimait beaucoup son colocataire et Freya, les considérant déjà comme l'un de ses plus proches amis. Elle n'a jamais vraiment eu de «petite amie» dans le château; les plus proches étaient ses servantes. Elle était constamment sous l'observation de ses parents et de ses professeurs, qu'elle parfois, honnêtement, elle oubliait comment faire confiance à quelqu'un, à part le titre.

"Cela aussi passera," dit Merlin, faisant écho aux paroles de son père les jours où il pouvait voir que sa fille traversait une période difficile. On pourrait l'appeler fille de papa, mais elle aussi aime également la reine Hunith. "Je suis sûr que vous vous débrouillerez tous les deux, croyez-moi."

"C'est facile à dire pour vous", dit Freya avec mécontentement, alors que Merlin s'éloignait maintenant d'eux. "Vous avez des cours intéressants! J'aurais dû prendre l'Histoire. La biologie me donne l'impression que je ne suis pas assez capable de prendre en compte ces faits inutiles."

"Eh bien, au moins tu emmènes avec moi l'histoire médiévale 101!" la princesse a prétendu, essayant de leur remonter le moral.

Gwen approuva de la tête. "Jusqu'ici ... de loin, je pense que c'est l'un de mes sujets de prédilection", a-t-elle déclaré. "Bien que" - elle s'arrêta, frissonnant de façon dramatique - "Leech me donne la chair de poule."

"Ouais!" Freya se joignit à elle en hochant la tête avec enthousiasme. "Parfois, je pense, quand il nous regarde, il sait quelque chose que nous ne savons pas."