- 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐮𝐱

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𝓶𝒆𝓻𝓿𝒆𝓲𝓵𝓵𝒆𝓾𝓼𝒆  𝓵𝒆𝓬𝓽𝓾𝓻𝒆 :

𝓶𝒆𝓻𝓿𝒆𝓲𝓵𝓵𝒆𝓾𝓼𝒆  𝓵𝒆𝓬𝓽𝓾𝓻𝒆 :

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𝙼𝚎𝚕𝚞𝚗
Odaya-Zola 𝑳.


— Je suis venu te tenir compagnie.

— Ah , donc tu vas m'accompagner à Paris.

— Tu vas faire quoi encore là-bas ?

Je pénètre dans son appartement tandis que madame ferme la fermeture éclair de sa veste.

— Je vais régler mes histoires avec Sara puis botter bien son cul en public.

Orlyncia dans toute sa splendeur.

— C'est des vieilles histoires ! dis-je en soufflant

— Pas pour moi , aujourd'hui je vais lui montrer mon sang de camerounaise.

Pendant un cours instant , j'affiche un sourire mais je reprends de suite mon sérieux.

— Tu vas te créer bêtement des problèmes.

— Il ne faut pas demander au sel d'être sucré ma belle.

Vous avez compris le proverbe qu'elle vient de dire ? Parce-que moi c'est non.







Nous sommes à Paris Nords autrement la capitale appelée aussi la ville de la mode.

— Où est-elle ?

— Je ne sais pas.

— J'espère qu'elle ne vas pas nous mettre de lapin.

— Vaut mieux pour elle.

Quelques minutes après , la silhouette de Sara se dessine à travers la foule parisienne en ce début d'après-midi.

— Je vais lui froisser son visage.

— Dépêchez-vous seulement de vous expliquer.

Je n'ai pas leurs temps.

Elles commencent crescendo à se crier dessus pendant que j'admire ce spectacle comme les passants de la ruelle.

— Pourquoi tu nous regardes comme ça ?

Je ne pense pas qu'elle s'adresse à moi , c'est totalement impossible.

— Je te cause Odaya.

Je me lève puis lui assène une magnifique gifle , un autographe signé Odaya-Zola L.

— Je ne suis pas ta camarade de classe , règle simplement tes histoires avec Orlyncia et laisse-moi en dehors de ça.

Je fixe ses pupilles en même temps que mademoiselle tient sa joue.

— Ce que je pourrais te faire est au delà de tes imaginations Sara.

Il ne faut pas me mêler dans vos foutaises de gamineries.







Je suis assise contre les rembarres de mon lit entrain d'admirer le visage de ma copine.

Ça ne t'as pas loupé.

— Le plus important , c'est d'avoir gagné.

Cet fille est une folle , je vous le confirme.

— Tu sais où tu vas passer ton confinement ?

— Quel confinement ?

— C'est ça quand on vous dis de suivre les informations.

— Dis seulement ah.

— Macron a mît en place un confinement , les cas de covid s'aggravent.

— Tu sais que je n'étais même pas au courant ? chuchotais-je en souriant

— C'est ça ton problème « tchip » , la télévision ne sert pas qu'à décorer chérie.

— Toi , tu sais où tu vas le passer ?

— Je suis encore entrain de réfléchir.

— Fais-le avec ta famille. dis-je simplement en haussant des épaules

—  Tu es comiques « hein » , je ne peux pas rester plus d'un mois enfermée avec ses sauvages.



COVID- XIX

𝐂𝐎𝐍𝐅𝐈𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant