Après qu'on est tout expliqué à l'agent et qu'il soit parti, on rentre à l'intérieur.
- Je suppose que tu ne va pas rester ici dit-il en regardant les alentours.
- Bah ouais, attend je vais aller me changer dis-je en montant les escaliers.
Je mets un jogging Nike, un débardeur Nike et des baskets Nike, le tout en noir. Je prends mon sac à main et descends.
- T'as pris du temps dit-il en rigolant.
- Je me suis dépêchée dis-en en sortant avec Travis devant moi.
Je ferme la porte à double-tour avant de mettre la clé dans mon sac. On monte dans sa voiture qui est un passant une Range Rover, j'adore. J'allume la radio et met de la musique.
- Surtout te gènes pas hein dit-il en démarrant.
- Tu crois quoi? I'm a boss bitch dis-je en faisant un flip-hair.
Il fait une tête de désespéré avant de démarrer. Ya Press de Cardi B qui passe, j'augmente le volume.
- BARDI. WOO, YEAH. BITCHES BE PRESSED criais-je.
- Seigneur dis-il.
- Enfaite, on va où? Demandais-je.
- Bah chez moi dit-il comme si de rien était.
- Excuse-moi mais c'est trop tentant. AHHHHHHHHHH PUTAIN JE VAIS CHEZ TRAVIS SCOTT AKA JACQUES BERMAN WEBSTER criais-je.
- Mes oreilles et comment ça se fait que tu connaisse mon nom en entier? Demande-t-il.
- Euhhhhh, fais attention à la route dis-je en évitant le sujet.
- Mais on est garé devant chez moi là dit-il en rigolant.
Je rigole avant de decendre, génée. Je sens la chaleur au niveau de mes joues, pourquoi je rougis? Travis commence à marché et je le suis jusqu'à devant la porte d'entré. Après être rentré, il ferme la porte à clé.
- T'as faim? Me demande-t-il.
- Non merci dis-je. C'est beau chez toi.
- Ouais je sais dit-il en rigolant. Sinon merci.
Il me laisse d'avant les escaliers avant de se diriger vers une autre, sûrement la cuisine. Je suis arrêté devant les escaliers, y'en a tellement. Flemme de monter.
- T'attends quoi pour monter? Me demande-t-il.
- Ya trop de marcheuh dis-je en pleurnichant pour de faux.
Il se met derrière moi et me prends en mode princesse. Il commence à monter les marches.
- Viens on se marie, t'es l'homme parfait dis-je en passant mes mains autour de son cou.
- Et toi t'es la femme parfaite dit-il en rigolant.
- Anwwwh dis-je a vant de lui faire plein de bisous sur la joue.
On arrive en haut et il me dépose avant qu'il se dirige vers une chambre. Il ouvre la porte et rentre avec moi le suivant de près. Waouh! Il fait frais dans cette chambre.
- C'est ta chambre pour la nuit dit-il en se tournant vers moi. Désolé, il n'y a pas encore de chauffage. Tu veux un sweat?
- Oui, je voudrais bien un pull s'il te plaît dis-je. Puis ce n'est pas grave qu'il n'y pas de chauffage.
- J'arrive alors dit-il en sortant.
Je m'assois sur le lit en l'attendant. Alors quelques minutes, il revient avec un sweat noir et je suppose 2 fois plus grand que moi.
- Merci dis-je en prenant le pull.
- De rien dit-il.
- Bonne nuit dis-je en lui fesant un bisou sur la joue.
- Bonne nuit dit-il avant de sortir.
Après qu'il ait fermé la porte, j'enlevé mon débardeur et garde ma brassière. Je mets le sweat qui a son odeur, il sent tellement bon. Waouh! Le sweat m'arrive sous les fesses, je ne vois même plus mes mains. Je couche sur le lit et ferme le les yeux. Je revois mon ex au-dessus de moi essayant de m'étrangler. J'ouvre brusquement les yeux, les larmes aux bords des yeux. J'ai pas envie de dormir seule. Alors go chercher la chambre de Travis. Je vois de la lumière sous une porte. Je toque avant de rentrer. Il est torse-nu mais bon c'est pas le moment. Je reste planter devant la porte.
- Je...Travis j'arrive pas à dormir. À chaque fois que je ferme les yeux, je vois mon ex dis-je, les larmes au bord des yeux.
- Allez, viens dit-il doucement. Ne pleure pas, il ne mérite pas tes larmes.
J'hoche de la tête avant de le coucher à côté de lui. Il se met face à moi avant de poser un baiser sur le front.
- Tu sais que je ne mords pas dit-il en rigolant.
Je rigole un peu avant de me rapprocher de lui. Finalement, je lui fais un gros câlin.
- Tu sais que dans deux jours je vais à Bali dis-je. Tes câlins vont me manquer.
- Moi tes bisous vont me manquer dit'il en ricanant.
- Tu peux toujours aller manger des saucisses dis-je. C'est mon expression.
- Tu veux pas manger la mienne dit-il en rigolant.
- Mais t'as- oh! Mais t'es un gros pervers en faite dis-je en ricanant.
- Allez bonne nuit.
- Bonne nuit dis-je.
Puis il éteint la lumière.
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