LE LIVRE NOIR

RÈgle I (Partie2)

Ils étaient étonnés. Qui pouvait bien venir en trombone et les pointer d'une arme à feu aussi ouvertement.
Fadel: Aucune personne censée ne ferait une chose pareille pensa-t-il mais alors ça veut dire qu'il est soit très couillu de faire ça soit il reçoit de l'aide extérieur
Doudou: Modou tu me fais quoi là
Modou: c'est l'ordre du boss vieux tu as enfrain la loi et il veut te punir.
Doudou: te fous pas de moi j'ai rien fait pour mériter cela. Je suis le plus loyal envers le boss.
Modou: tu crois pas si bien dire tu as volé un paquet de pognon et tu es parti avec sa fille Ndeye marie. Il veut ta peau mec.
Et là Fadel essaya de détourner l'arme de Modou en poussant la main tenant l'arme et en poussant Doudou. Modou essaya de tirer mais Fadel couru tandis que Doudou reste et le regarda en train de fuir. Il compris par la qu'il voulait sauver sa peau et ne voulait pas être impliqué dans toute cette histoire  et aquiesca un sourire.
Doudou: bon je te suis mais épargne le il n'y est pour rien.
Modou: OK si c'est que tu veux D'accord.
Et ils partaient ainsi pour le domicile du boss.
Pendant ce temps Fadel reçut un SMS de la part de Doudou où il était écrit Modou Thiam ce qui lui donna un sourire aux lèvres et commenca à écrire sur son livre noir. Pendant ce temps Doudou et Modou était arrivé sur les lieux et rencontrent enfin le Boss. Il n'était pas comme les autres Boss il portait des habits tout à fait normaux ce qui le différenciait de l'idée que l'on se faisait des Boss mafieux car oui c'était un gang qui vendait du tout et qui faisait tout ce qui pouvait être présenté comme mauvais dans le monde d'aujourd'hui c'est à dire vendre de la drogue s'investir dans le marché de la prostitution des tueurs à gage et bien d'autres choses horribles qui pourrait apporter le dégoût aux personnes comme Fadel qui voudrait rendre ce monde meilleur et sans crimes grâce à ses capacités. Oui Fadel avait un livre qui lui permettait de contrôler quiquonque avait son nom inscrit mais à la condition de connaître son prénom et nom et aussi d'avoir fait en sorte que la cible touche le livre. Ceci représente la règle n°1 du livre noir. Dans l'antre du Boss Doudou avait était attaché et emmené dans une cellule à la demande de Modou qui voulait être celui qui allait lui soutirer des informations dans les trois jours qui suivent sans quoi libre à eux de tuer Doudou. Le Boss accepta sans broncher. Pendant 2 jours Fadel continua à aller en cours normalement pendant qu'il se préparait à sauver son ami et quelle préparation. Dans la nuit du troisième jour au moment où Doudou crut qu'il allait mourir Fadel se pointa au milieu du gang et ainsi surpris tout le monde. En effet ce gang n'était pas n'importe lequel et la venue d'un inconnu un étranger dans la base même du gang était sans précédent. Tout le monde pointait une arme sur lui et il leva naturellement les bras. En  fusillant du regard tout les membres du gang il regarda le Boss droit dans les yeux et lui dit:
Fadel:JE SUIS PRESENT ICI POUR VOUS PRESENTER DES PREUVES DE LA PLUS GRANDE TRAHISON DE VOTRE GANG!
Boss: comment ça ?
Fadel: cet homme Modou est le plus grand traitre qui soit et veut mettre mon ami à la mort pour lui faire porter le chapeau et se la couler douce. Je ne viens pas ici sans risque car je sais qui vous êtes mais si vous voulez retrouver votre fille vous avez intérêt à m'écouter jusqu'au bout.
Le Boss le regardait perplexe et cela va sans dire que Fadel risquait gros en se pointant la bas et qu'il a eu du bol d'avoir passé tous les gardes de la plage qui auraient bien pu l'agresser. Mais pour sauver son ami il était près à faire ça et bizarrement il était sûr de lui et de son coup.
Boss: baissez vos armes ! Tu peux parler
Fadel: merci beaucoup Boss. TU PEUX VENIR NDEYE MARIE!
Et là à la surprise de tout le monde elle se pointa avec un sac à la main.
Fadel: ce sac contient l'argent que vous a volé Modou en faisant porter le chapeau à Doudou il réussit à berner votre fille et à la kidnapper avec un coup de maître. Il la sequestra ensuite avec une image à l'appui— il montra ensuite une photo où il y'avait Ndeye Marie attaché et comme par hasard elle se trouvait dans le portable qu'il a emprunté à Modou — et fit un enregistrement qu'il tentait de vous envoyer après avoir tué Fadel et ainsi vous lui lâcherait les baskets pour ne pas lui attirer des ennuis.
Modou: Mais c'est totalement absurde c'est pas possible j'aurais jamais tenter de faire un truc pareil c'est du pur délire et je ne sais même pas d'où sort cette image c'est sûrement un fake j'en suis sûr. Boss ne l'écoutait pas il raconte que de la merde c'est pas censé.
Fadel: nous avons des preuves Modou et si ça ne vous satisfait pas Boss vous pouvez demander à Ndeye Marie si c'est la vérité ou pas.
Boss: est-ce vrai tout ce que cet homme est entrain d'avancer Ndeye Marie?
Ndeye Marie regarda avec peur Modou qui était c'était clair enragé et outragé par ces fausses accusations puis elle se tourna vers Doudou qui ne comprenait rien à ce qui se passait et ensuite elle regarda Fadel qui fixait devant lui et regardait le Boss .
Ndeye Marie: oui c'est la vérité il m'a sequestre pour s'assurer sa défense et fuir ce pays.
Modou: Noooooooon!!! C'est faux c'est pas vrai je n'ai jamais fais une chose pareille c'est impossible elle ne m'a jamais vu et je l'ai jamais vue c'est un coup monté.
Boss: comment explique tu le fait que tu sois sur la photo et que l'on entend ta voix dans l'enregistrement ce sont des preuves irrefutables qu'on a ici. Je regrette de te dire ça mais tu n'as rien à dire pour ta défense.
Modou: non...non c'est pas vrai ça...ça peut pas être vrai tu...tu dois avoir fais un truc oui c'est ça il y'a sûrement un truc il na pas pu faire tout ça sans rien impossible non...
Le désespoir envahissait Modou et ne savant plus quoi faire il prit son arme et se suicida connaissant le chatiment que le Boss lui préparait.
Ndeye Marie surprit se cacha les yeux alors que Fadel admirait le spectacle le sourire aux lèvres et ceci ne manqua pas aux yeux de Doudou qui pour la première fois de sa vie avait peur de son ami...
A suivre...