Séquence Piège

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(Rappel : Nagisa est surpris que Karma soit devant chez lui alors qu'il rentre, Karma lui parle de Kayano et des attaques de la nuit passée)

-Et toi Nagisa, tu en penses quoi ?


-Mais... Comment tu sais que...


-Arrête, je sais que Kanzaki t'en a parlé. Elle est trop gentille pour te cacher quoi que ce soit. J'ai fait exprès de lui dire de te cacher cela, ça l'a confortée dans l'idée de te prévenir.


- Alors toi aussi tu es dans cette histoire... Tu t'es fait attaqué...


-Ouais, mais, contrairement à toi, je ne le prends pas à la légère.


-Ce n'est pas vrai ! Moi aussi je m'inquiète et j'essaye de comprendre !


-Si tu avais un minimum de jugeote, tu aurais déjà préparé un plan pour attraper notre tourmenteur et tu ne serais pas seul sans armes pour sortir dans la rue la nuit, même moi j'ai gardé un couteau au cas où.


Oh... Je n'y ai même pas pensé c'est vrai... Quel idiot !


-Tu as un plan toi ? Car on ne connaît même pas les raisons qui pousse notre agresseur à nous attaquer.


-Je suis content de te revoir Nagisa, c'est dommage qu'on se soit retrouvés dans de telles conditions...


-Ça ne répond pas vraiment à ma question... Mais moi aussi je suis heureux de te revoir avec nous Karma, tu n'as pas donné de nouvelles depuis longtemps.


-Ouais, j'suis pris à fond dans mon taff en ce moment, et j'étais tenu de garder une distance avec mes camardes. Vous êtes considérés comme potentiellement instables vous le savez ça ?


-Quelle bande d'idiots au gouvernement...


-Hmm?


-Enfin, je ne parlais pas de toi évidement, héhé...


-T'inquiètes, t'as totalement raison de toute manière. Rien que le fait d'interdire les expérimentations sur les tentacules est une erreur. Leur production et vente sont interdites, les seuls à pouvoir en tirer parti sont les unités IDen dont Takebayashi fait partie. T'es pas sans savoir qu'Okuda a quitté l'unité pour celle de décontamination.


-Karma...


-Ouai ?


-Ça voulait dire quoi ce que tu nous as dit à la colline ?


Karma restait muet, regardant Nagisa avec interrogation.


-T'es encore là-dessus alors... Je ne peux rien te dire désolé. C'est un secret d'État.


-C'est par rapport à Monsieur Koro hein ? Dis-le-moi !


Comme autrefoisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant