Third Part

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Oikawa Tooru

- Tu es à moi Tobio-chan.

-aah oui, je suis à toi.

Tobio était tout rouge. Tooru ne lui laissait aucun répit. Il l'embrassait indéfiniment et Tobio répondait sans hésitation.
La température était vite montée. Et pourtant cela ne faisait pas quinze minutes qu'ils étaient dans ce vestiaire mais les deux jeunes hommes étouffaient déjà.
Ils n'arrivaient à se lâcher, lorsqu'un stoppait un de leurs langoureux baisers, l'autre revenait toujours à la charge récupérer les lèvres.
Toru adorait définitivement le corps chaud de Tobio, ses gémissements très obscènes, sa bouche tentatrice. Il ne pourra vraiment pas s'arrêter. Sa raison était à mille lieu d'ici avant même qu'ils n'aient franchi la porte du vestiaire. Et il plongeait toujours plus profondément dans le désir et l'hérésie, c'était vraiment bon de sentir Tobio contre lui.
Je l'avais soulevé et lui avait automatiquement entouré ma taille de ses jambes, nos bassins se touchaient inlassablement, il n'y avait plus d'espace entre eux. Je voulais plus de contact avec la peau bouillante de Tobio, alors sans plus tarder je lui enlevai le haut de son maillot et lui m'enleva mon pull et avec hâte, il arracha les boutons de ma chemise.

-Aaahh putain Tobio

J'adorais le Tobio "sauvage" mais j'avais un vrai penchant pour son côté mignon, son côté kouhai. Sans plus tarder j'avais mis ma tête dans son cou, je l'avais suçoté et mordu, Tobio ne cessait de gémir tout en laissant ses mains se balader sur moi. Il effleurait les cheveux de ma nuque du bout de ses doigts et cela me faisait frémir. Ses magnifiques doigts descendaient vers mon cou, puis mes épaules, auxquelles il c'était aggrippé.
Puis j'avais baissé ma bouche vers son téton gauche, ce dernier était vraiment tendu et au premier contact Tobio avait gémi plus fort et moi j'étais devenu encore plus dur, et j'avais commencé à bouger mon bassin et ainsi nos sexes se touchaient à travers nos vêtements. C'était extrêmement excitant. J'avais continué ce jeu tout en alternant entre ses deux tétons avec ma bouche et mes doigts, au bout d'un moment, nous avions joui.
Lorsque j'avais reposé Tobio à terre, il perdit pied immédiatement.

- oh Tobio-chan, tu n'en peux plus déjà ? On ne fait que commencer pourtant.

J'avais dit tout cela avec mon sourire en coin, c'était pour le taquiner.
Je l'avais aidé à se relever.

- allez, Tobio-chan va t'asseoir sur le banc, je vais m'occuper de toi.

Il exécutait toutes mes paroles sans broncher, mais sûrement ne savait pas de quoi je parlais. Ce gosse est vraiment trop innocent.
Il s'assit simplement, je m'étais mis à genou et l'avais regardé dans les yeux tout en mettant ma main sur son sexe. Il avait violemment rougi et gémi.
Je pense que je vais craquer plus vite que prévu.

- alors tu es prêt pour la suite ?

En disant cela j'avais fait une petite pression sur son pénis. Il avait déglutti. Il ne répondit pas.

-bien alors, j'y vais.

Mon regard toujours encré dans le sien, je lui enlevait le bas de son maillot, il était comme une marionette entre mes mains, je n'avais pas besoin de parler, il bougeait par mes simples gestes. Après avoir enlevé son bas de maillot, j'avais baissé mon regard vers son sexe, à travers son boxer on voyait les traces de la première jouissances. Je mis mon doigt dessus et il frémit instantanément. Je rapprochai alors ma bouche de son boxer, son sexe avait l'air si à l'étroit et le mien également l'était dans mon pantalon, alors je pris la décision de pas m'attarder et lui enleva son boxer. Son sexe était dressé et dur comme si il ne venait pas de jouir.
Je posai tout d'abord ma main contre son sexe, ce dernier était brûlant et Tobio frémit d'avantage. Puis je rapprochai ma bouche de son gland, et le pris en bouche.

- Nyaaaaa, Tooru

Humm c'est chaud, il a dit mon prénom et ça m'excite tellement, je veux qu'il le dise encore alors je pris alors tout son sexe en bouche.

- Tooruuuuu

Putain d'excitant quand il le dit plus fort et langoureusement. Encore. Je commençais alors à faire des vas et viens et lui gémissait. Tantôt mon nom tantôt des petits cris. J'avais accéléré le rythme de mes mouvements et lui également. Sans m'y attendre, il agrippa mes cheveux dans la nuque et fit venir son sexe au plus profond de ma gorge. Ça m'avait étonné mais c'était tellement bon et excitant. Sa respiration était hachée, saccadée et grave. Mon prénom dans sa bouche parmi ses gémissements allaient me faire perdre la raison. Nous avions continuer jusqu'à...

- à aaahhh Tooruuuuu je viens...

Et il joui dans ma bouche. Son sexe était maintenant hors de ma bouche. Ses yeux clos, sa bouche entrouverte et sa respiration haletante, hummm bandant.

-Humm exquis. Tobio-chan est vraiment délicieux.

J'avais vu ses joues prendre des rougeurs. Je n'en pouvais plus.
Je le fis s'allonger sur le banc. Mes doigts devant sa bouche...

-suce...

Il les prit en bouche et sa langue tournait autour de mes doigts. Je les fis sortir et l'embrassa. Tout en emmenant mes doigts vers son entrée et j'en inserai un d'abord puis directement un deuxième. Il venait de se figer.

- détends toi Tobio, ouvre tes yeux, regarde moi et embrasse moi, ne pense qu'à moi et tout ira bien.

Il ouvrit ses yeux et planta son regard dans le mien. Je l'embrassai alors tout en gardant mon regard dans le sien et j'avais plus loin en lui, il s'était détendu. Je commençai alors à faire des mouvements en lui, il était vraiment étroit. J'ajoutai un troisième doigt en lui et il commença à gémir. Mes mouvements devenaient plus rapide, plus vigoureux et plus profond. On ne s'embrassait plus, les yeux de Tobio étaient mis clos, il gémissait fortement, ses jambes s'étaient agrippées à ma taille et ses mains à mon cou.
Je le veux maintenant.
Alors de ma main libre j'ouvri ma ceinture et le bouton de mon pantalon...

- Tooru, Tooru... A aaahhh Tooru je t'aime...

Hein ?
Stop... Mon cerveau était off. J'avais arrêté tout mouvement après cette phrase. Je ne comprenais plus rien...

- pardon ?

J'étais horrifié...

- Tooru, je t'aime.

- non, impossible...

-Tooru, je...

- la ferme Tobio

Je venais de crier cette phrase et ses yeux étaient écarquillés, il tremblait désormais sous moi. Il avait peur. Tobio avait peur de moi maintenant, ce constat me fit plus que mal,mais je ne pouvais faire autrement.
Je sorti alors mes doigts qui étaient en lui, descendit du banc, Tobio me regarda faire. Je regardais mes doigts, puis lui et j'étais vraiment horrifié.
Qu'est-ce qui m'a pris ?
Je reculais alors jusqu'à contre la porte en gardant ce même regard horrifié dans celui de Tobio. Le sien, à chaque pas que je faisais vers la porte, il devenait de plus en plus larmoyant, lorsque mon dos toucha la porte ou le mur, je n'avais plus de repères, la première larme tomba de ses yeux et roula sur sa joue puis disparue. Puis une autre et d'autres et elles étaient devenues un torrent.
Qu'ai-je fait ?

- Too-ru...

Il l'a dit entre deux sanglots, je n'en pouvais plus.
Je suis désolé Tobio. Je m'enfui sans un regard pour lui, je ne supportais pas ces larmes dans ses yeux, son regard abattu.

- Tobio, je suis désolé

Cette phrase n'avait été qu'un murmure....






Ce Jour-là Où les histoires vivent. Découvrez maintenant