Chapitre deux : l'audition

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(Deux mois plutards)
C'est la boule au ventre mais heureuse que je marchais vers les studios de the voice ma play liste Slimane dans les oreilles. La musique me donnais de la force, m'apaisait et m'aidait à évacuer le stress.  Un mélange d'excitation, d'impatiance et d'appréhention envahirent tout mon être. J'avais passé ces deux derniers mois à répéter ma chanson sans arrêt.   Pour mon blind, j'avais hésiter entre Quand on n'a que l'amour du grand Jacques Brel et Parler à mon père de l'indémodable diva Céline Dion pour finir par jeter mon dévolu sur cette dernière. Ce titre est un véritable clacique de la chanson française et pas des plus simple à réinterpréter Mais  cependant, elle ne reflettais que trop bien mon vécu et ça, cela n'était pas néglijable.  Elle ne fesait pas partie de mes préférées certe. Mais là en l'ocurence le plus judicieux pour mon audition n'étais pas de choisir la chanson qui me plaisais le plus mais celle dans laquelle je pourrai y exprimer mes émotions les plus profondes, celles qui  sont enfuits aux trefond de mon  âme d'iper sensible  et ainsi toucher les coeurs des coachs.  Tel était mon objectif, ma plus belle victoire prise ou pas.  Le reste importait peu, ne serait que du bonnus.  La musique était pour moi un partage avant tout.   Biensûr, j'étais conciente que je me mettais en danger mais j'aimais les défits, les prises de risques. Je rythmais mes pas au tempo de la musique.  Plus j'approchais, plus le traque montait.
Lorsque j'arrivai au studio, je me présentai à l'acceuil avec ma convocation et on me fit signe d'entrer dans une grande sale ou passiantaient   déjà d'autres candidats.  Les heures  passaient et semblaient interminables.   L'attente devenant  insoutenable, je mis mon casque dans mes oreilles affin de me plonger dans ma musique lorsqu'un jeune homme de plus ou moins mon âge,  l'air joyeux, sourire aux lèvres s'approcha de moi et m'interpela:
--Helo, j'ai remarqué que   tu semblais trouver le temps long allors, je me disais que je pourais te tenir compagnie et que  nous  fassions connaissance éventuellement.
Il était roux, les yeux bleux, le regard chaleureu. Son visage inspirait  sympatie  et simplicité. Il dégageait  une positivité et jovialité  communicatives qui me mirent  immédiatement à l'aise.
--Bonjour, Oui pourquoi pas. Merci c'est vraiment gentil de ta part.
Di-je
--Avec plaisir! Moi c'est Maxime et toi?
Me demanda t'il
--Enchantée  Je m'appelle Laetitia. Ravie de te connaître.
Lui répondi-je
--Moi de même!
Déclara t'il  avant de poursuivre:
-Ça va pas trop  stressée?
--Si, je suis morte de trouille!  Tu vas peut-être te foutre de moi, mais c'est la deuxième fois  de toute ma vie que je vais monter  sur une scène.  Et toi?
Avouai-je honteuse
-Ne t'en fais pas, je ne suis personne pour te juger.  Chacun est comme il est  avec ses forces, faiblesses, ses expériances, différences, plus belles qualités comme ses pires défauts.  C'est à nous de se respecter et s'accepter telquels mutuellement les uns les autres.  Et tu n'a pas a avoir honte. Chanter devant un public et encore moins sur scène n'est pas des plus aisé et donner à tout le monde. Je sais que cela est plus facile à dire qu'à  faire  mais  pense avant tout à ton interprétation, l'histoire que tu  souhaite raconter, aux sentiments que tu a envie de transmettre tout en  essayant de faire abstraction du juri. Aller, ne t'inquiète pas, ça va aller.  Prend ton pied, proffite un max du moment comme si c'était le dernier. Tout ira bien j'en suis persuadé. Quand à moi, ce n'est pas la première fois que je particippe. J'ai  déjà  tenté l'aventure la saison passée mais personne n'avais beuzer donc assez serain bien  qu'un peustresser tout de même.
Me rassura-t'il
Bien que mon angoisse resta quelque peu présente, ses paroles  m'appaisairent.

--J'aprouve  entièrement ta façon de voir les choses. et merci pour tes mots encouragemens ainsi que tes conceils qui me vont droits au coeur.
Le remerciai-je reconaissante  et continuai:
--je croise  fort les doigts pour toi aussi.  peut-être que l'année dernière ce n'était juste pas le bon moment. Et sinon si tu a le choix, si par chance et je l'espère pour toi, les quatre se retournaient qui choisirais-tu?

Quand l'amour fait sa  loi!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant