Chapitre quatre : jumeaux

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PDV Vitaa
il était écrit en grand: "Certificat de naissance de Slimane et Charlotte Nebchy nés à Lîle le 23 aout 1989⋯..
J'étais restée là à fixer le documant sous le choc. Oh putin!     Mais c'est quoi ce bazarre???    quoi ? comment?  Comment tout cela était t'il possible?  Ce n'est pas vrai?  Slimane et moi sommes non seullement frère et  soeur de coeur mais aussi de sang! Jumaux qui plus est! Nan mais je rêve, j'allucine?   Hélas, non,  toute cette histoire bien que complètement loufock est belle et bien réelle. Non qu'avoir Slim comme jumau me déplaise, au contraire. Mais au fond de moi, je m'étais sentie profondément  trahie. Trahie par mes propres parents. Eux qui m'ont élevée, éduquée, appris les  véritables valeurs de la vie que sont respect, amour, partage, solidarité, humanité..etc  Oui, personne n'est parfait. Mais est-ce vraiment montrer le bon exemples que de m'avoir cacher toute cette histoire. Pourquoi tous ces silences,  mensonges, secrets? Pourquoi ne pas m'avoir avouer toute la vérité.  Donc si je compprenais bien, j'ai  été adoptée.  Les parents de Slimane ont  mit au monde deux bébés en même temps lui et moi. Ils  ont dont pris la décision de   garder Slim et me confier à l'adoption.   Mais pourquoi m'avaient-ils  rejetée de la sorte?  bon dieu!!!!    Souhaitaient-ils un garçon et non une fille? Non, ridicule!  Ou allors, n'étais-je tout simplement pas digne d'eux, d'être aimée, choyée?  pas assez jolie? Trop différante?   Peut être que je ne suis pas une belle personne  tand interieurement qu'extérieurement  au  fond.  Depuis petite, je n'ai pas confiance en moi et évolue dans le doute et l'incertitude.  Qui sui-je au finale? qu'elles son mes origines, ma véritable identité? Moi qui semblais enfin  avoir trouvé un éqilibre dans  ma vie. Voilà que cette fameuse révélation avait tout remit en question. Mon coeur s'étais brisé  et les sanglots m'avaient envahie.     S'étaient emparés de moi tristesse, colère et renqueur. Boulversée, j'étais resortie de la pièce, avais dévallé les escaliers, enfilé mon menteau, qittée la maison sans dire un mot, et m'étais précipitée dans ma voiture. Sur le trajet, j'avais mis Ça va, ça vient à fond dans mon autoradio et chanté en y mettant toute ma mélancolie, mon malaître affin de me libérer de ce poid qui pesait sur mon coeur. Une fois rentrée chez moi, je m'étais changée puis affalée sur mon lit. 
Ma montre afficha 7h du matin.  J'en déduisis donc que j'étais déjà 15 minutes en retard. Merde de merde!  Je me dépêchai de me préparer, bouclai ma valise, sprimptai jusque la gare et attrappai mon talice de justesse.
Ça y est!  La saison avait bel et bien commençé!  Les premières auditions défilairent une à une. J'essayai de me conecter, concentrer,  chasser la douleur mais cell-ci revenait  au grand galot.   Je m'efforçais de sourire, fair comme  si tout allait bien devant le public ainsi que mes camarades alors qu'à l'intérieur,     mon coeur seignait.    Mais Typh attentive et attentionnée qu'elle est le remarqua. Elle me lança des  regards rassurants et  compatissants emplits de jentillesse qui réchauffairent quelque peu mon âme meurtrie et me donnairent de la force. Lorsque vint la pauze, je chèquai mes réseaux. Certains tweet, commentaires, poste insta me firent sourire, d'autres me touchairent en plein coeur. Mais malencontreusement, comme si cela ne suffisait pas, comme si je ne me sentais déjà pas assez mal comme ça,   hormis tous ces complimens, petits mots de soutien adorables je pu lire des messages d'insultes, de haine, de méchanceté gratuite. Comme quoi je me l'a racontais, étais qu'une pseudo chanteuse sans voix qui ne sait pas sortir un singel sans autotune, fesais du cinéma devant les caméras, portais toujours trois tonnes de maquillage...etc Mon coeur se serra et de petites larmes coulairent sur mes joues. Je n'ai riencontre les comentaires négatifs mais constructifs car ils permettent de m'amméliorer mais ce genre de propos méprisants et malvayants me heurtent au plus profond de moi. Je suis perdue. Et si tous ces gens avaient raison? Et si tout ce que je fais n'est pas si bien finallement? Pfff mais qu'est-ce qui ne va dont pas chez moi? Je me déçois tellement! Aurai-je mieu  fait  de continuer de vendre des fringues. Avoir une vie banale sans chichi que de me lancer dans la musique, devenir célèbre et être méprisée, jugée pour celle que je ne suis pas. tout se bouscula dans ma tête. Je pris mon sac à main, et      me dirigeai vers l'extérieur. peu-être qu'un bon bol d'air frais me ferait le plus grand bien et me rafraîchirait  les idées.
PDV Typh
Je revint d'aller chercher quelque chose dans ma loge lorsque je vis Vitaa l'air triste, le regard dans le vide. Même si elle essayait de le dissimuler cela se voyait, ressentait qu'elle n'était pas bien.
Elle marcha d'un pas décidé vers la sortie lorsque je l'a rattrapai et l'interpelai.
Typh: --Vitaa attend s'il-te plaît.
Elle se retourna pour me fair face.
Vitaa: --Oui?

Quand l'amour fait sa  loi!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant