🏵️ CHAPITRE 7🏵️

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Esperalza : mais avant que tu ne prends ta décision sache que avant toi j'ai eu qu'une seule histoire d'amour , mais même cette histoire que j'ai vécu pendant trois ans ne m'a ébranlé, autant que ce que je ressens pour toi,  les quelques semaines qu'on s'est connu,
Ce jour où on s'est embrassé, j'ai cru flotter dans les air comme un papillon, tellement c'était intense , bouleversante, et merveilleuse. Jonathan je t'aime , je t'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un. Je comprendrai si tu as déjà trouver quelqu'un d'autre, parce que un bel homme comme toi ne peu resté célibataire très longtemps. Et de toutes les façons, on a même jamais été ensemble .

Donc comme ça , elle me trouve beau, mais pas autant qu'elle  est belle , les larmes commence déjà a coulé sur ses jolis joue , et je n'aime pas la voir comme ça, surtout si c'est ma faute.

Comment peut-elle pensé que je voudrai pas d'elle , si elle savait les pensées qui me traverse la tête là toute suite, elle serait certainement rouge comme une tomate. Elle ne fait plus de cent pas dans la chambre. Elle s'est arrêté.

Elle est debout au milieu du salon , les bras croisés sur la poitrine, le regard dans le vide.

Je me lève et m'approche d'elle ,prend ses petites mains dans les miennes, la force à me regarder.

Jonathan : avant toute chose, je vais juste te poser une seul question et tout dépendra de la réponse.

Elle me fit oui de la tête

Jonathan : VEUX TU M'ÉPOUSER?

Ses yeux s'arrondit de surprise, puis une sourire magnifique orne ses jolie lèvres charnues.

Esperalza : OUI un grand OUI, bien  sûr que je veux.

Oh! mon Dieu! Elle  a dit oui . Je suis le plus heureux des hommes sur terre .

Jonathan : ma chérie, en première lieu, je te demande pardon, je me suis servi de toi, j'ai abusé de ta confiance.

Je dois t'avouer que avant toi j'avais d'autres sentiments à propos des femmes, et même quand je t'ai connu, je ne m'intéressait pas à toi, mais ce fameux soir ou tu as reçu cette balle , j'ai compris que j'avais  déjà des sentiments pour toi.

Tu ne peux  pas savoir à quelle point je t'aime, je t'aime tellement, je t'aime comme fou, tu es pour moi ce que l'eau est pour les poissons, ou ce que le COD est pour la plante .

Je t'aime et je te promets de faire de mon mieux pour être à la hauteur de ton amour.

Elle m'embrasse pour couper cour à tous mes paroles.

Esperalza : t'inquiètes mon amour, on sera à la hauteur l'un pour l'autre.

Jonathan : mais tu vas devoir attendre  disons un ou deux ans parce que actuellement, je suis un peu fauché.

Elle sourit et me désigne des yeux son sac , qu'elle a laissé sur le canapé.

Jonathan : je ne comprends pas

Esperalza : je t'ai ramené la somme que tu as mis sur mon compte.

Jonathan : qu'est-ce qui te fait croire que c'est moi.

Esperalza : je ne suis pas stupide , tu disparaît et cette somme apparaît comme par magie sur mon compte, il ne faut pas être une devin pour comprendre. Je sais que tu en besoin et de toutes les façons, c'est le fruit de ton travail.

Je ne mérite pas cette perle rare que j'ai trouvé, je prends son visage entre mes mains et lui donne un long baiser fougueux.

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Assie sur la terrasse de notre villa de campagne, je souris, aujourd'hui quarante ans qu'on est marié et je l'aime toujours comme au premier jour.

Tous nos enfants ont déjà quitté la maison, elle m'a fait trois beau enfants, les premiers sont les jumeaux, deux garçons, aujourd'hui l'un a suivie mes pas , c'est lui qui est à la tête de mon cabinet,je ne suis pas encore en retraite, mais je l'ai laissé les rênes depuis deux ans . Le second est un grand architecte.

Notre troisième, une jolie fille comme sa mère est  pédiatre dans un des plus grands hôpital du pays. Je peux dire que je suis un homme comblé.

Elle est rentrée dans ma vie à un moment où je ne m'attendais pas et la rendu merveilleusement meilleures.

Il m'arrive de pensée à ma mère, et de la remercier parce que sans elle , je n'aurai jamais connu un tel bonheur.

Même si elle m'a abandonné, elle donné la vie.

J'étais dans mes pensées, que je ne l'ai pas entendu arrivée.

Esperalza : à quoi tu penses , sourire au lèvres comme ça.

Jonathan : je pensais juste à la chance que j'ai de t'avoir dans ma vie.

Esperalza : je ne penses pas que ce soit la chance, on était destiné à rester ensemble. Je t'aime fort.

Je l'a répond en l'embrassant, et l'a serre dans mes bras.

Même si ma venue sur terre a  mal commencé ,j'ai eu une vie bien remplie.

LE CHOIX DU DESTIN ( Concours De La Meilleure Idée Originale)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant