Chapitre 4 : La première règle !

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Adán était le meilleur des hommes... Il est mort. Mort d'un cancer et je n'ai jamais su le remplacé et je ne pense pas le remplacé un jour....

Personne ne se doutait que on avait braquer la fabrique, personne ! Et durant ce doux moment avant la tempête, on avait l'impression de vivre une journée comme une autre...

Je soupirai puis m'approchai de Berlin. 

-Écoute Berlin...
-Paris, laisse moi travailler ! 
-Non Berlin ! Putain tu m'écoute jamais ! Même a Tolède tu m'ecoutais déjà pas ! 
-Sérieux Paris , on dirait que tu es ma femme , et ce n'est pas le cas ! 

Je ne répondit pas, Je ne suis pas sa femme mais celle de Adán et je suis sur qu'il ne veux pas être remplacer...

-Paris je vais te livrer un secret... 
Il se pencha a mon oreille 
-j'ai 40 ans et toi sûrement 20 ans. Alors ne t'imagines rien. gamine. 

Il se releva énervé avant de s'éloigner de moi. 
40 ans ?! Il est si vieux que sa ? Mais pourtant... Il a l'air d'avoir la trentaine ! Sérieusement ce vieux commence a m'énerve a croire que j'ai des sentiments pour lui ! Je veux juste pensé a une chose : ne pas me faire tué ! Je ne veux pas pensé a une amourette de braquage ! Surtout pas apres ce qu'il s'est passé a Pablo... Mon meilleur ami mort de ma faute...
Berlin monta dans la salle de communication suivit de moi. 
-Le coffre fort est ouvert ! Dit Denver
-Enfilez vos gilet on vas sortir. Répond Berlin. Des que vous etes ok on déclenche l'alarme ! 
On redescend. 
-Préparez-vous a ouvrir ses portes ! 
Nous disa le prof... 
Puis Berlin cria au otages : 
-otages ! Preparez-vous, reculez de trois pas en arrière ! Un peu plus par la ! 

Puis Tokyo, denver, rio et moi ramenons les sac noirs remplit d'argent.
On se mit tout les quatre devant la porte en la fixant. Le stresses monté tellement ! 
Les otages pleuraient pour l'instant...
Nairobi appuya sur le bouton pour ouvrir la porte avec l'alarme qui disa au flic : "un putain de soucis est entrain de ce fabriqué à la fabrique ! "
On etait alors 5 à la porte, On cacha notre visage avec notre masque de Dalí en attendant que la porte s'ouvre complètement.
Berlin, lui, surveillé les otages. On ne sais jamais si l'un d'entre eux cours vers la porte ! 
La police arriva directement sur les lieux avec leur sirène, les même que celle que j'ai entendu chez moi, 5 mois auparavant.

-2 minutes. Disa Berlin. 

2 minutes avant que tout sois prêt, 2 minutes avant de mettre une dernière fois un pied hors de cette fabrique avant de long et nombreux jours.
Ce que nous ne savons pas, c'est que arturo roman nous espionnait en élevant son masque des yeux cet enfoiré !! 
-1 minute 40...
Berlin se coupa et regarda arturito, il l'avait cramé.

Il s'avança vers lui
-Comment tu t'appelle ? 
-Arturo.
-Arturito. 

Puis Berlin enleva le masque de ses yeux puis arturito se cacha les yeux en pleurant.

-j'ai rien vu...j'ai...j'ai rien vu ! Je vous le jure ! 

Son amie monica se mit alors a pleurer et se boucha les oreilles

-regarde moi...aller arturo tu peux le faire. Regarde moi ! Regarde moi. 

Berlin remonta sa tête et le regarda dans les yeux.

-calme...calme, c'est rien calme. Tu es un fan de ciné ? Ça te plait ? 

Puis il hocha la tête en guise de oui en pleurant. Quel tapette ce mec ! 
-oui j'adore sa....
-C'est bien, tu as remarqué dans les films d'horreur que ...il y a toujours un type au début de l'histoire, un gentil gars ! Et ensuite... On se dit :"celui la il meurt".
-ou..oui...
-et il se passe quoi ? Il meurt.

Il lui remetta le masque. 
-arturo crois moi,toi tu vas mourir. 

Puis il lui tapota l'épaule et retourna a sa place alors que arturo pleure. Puis Berlin disa :
-30 secondes.

Je soupirai, arme a la main et un sac remplit d'argent dans l'autre.

Flachback

Le professeur se tient devant nous, dans la salle de classe.
-il est important que la police ne savent pas ce que on prépare ! On va les laisse croire que on est venu pour volé... Ils nous ont surpris alors que on s'enfuyait et tout a dérapé ! On s'est mit a tiré mais on ne faisait pas le poids ! La seule issue possible s'était... De se replier... Et c'est la que... Sans avoir blesser personnes. Nous faisons demi-tour ! Ils penserons que... On est fait comme des rats. Ils penseront que on est réduit a improvisé ! 

Retour a la fabrique

Tokyo s'avança trop en avance et rio la suiva 

-Tokyo attend ! Attend ! 

Nous la suivons alors, Denver et moi. 
-Sortir, 
-balancer le fric.
-ouvrir le feu 
-faire demi tour.

Je tira alors au sol avec mes camarade au noms de ville, au sol ou en l'air et les otages se mirrent a hurlé de peur.
On avait répété sa plus de 30 fois ! 
Mais eux aussi ouvrirais le feu ! 
Ils ont tiré sur rio. Tokyo se précipita alors sur lui.
-Rio ! Rio ! 
Elle tira alors sur les policier, elle faisait des dégâts et le professeur ne voulais pas de sa ! Je l'entendais pleuré sous son masque et c'est la que je compris... Elle et rio n'etaient pas de simple amis mais ils s'aimaient. Je tirai alors aussi sur les policiers pour couvrir Tokyo qui ramené rio a l'intérieur.
Denver cria : 
-Fait chié putain ! 

Denver et Nairobi nous aident alors.
Tokyo hurla et tira sur les flic en ramenant rio. 
Elle hurla en pleurant. J'ai plus de doute, ils sont ensemble ! 

Tout le monde rentra et on ferma la grande porte.
Denver enlève son masque puis Tokyo fit de même en restant au sol avec rio. 
-Rio ! Rio ! 
Elle lui enlevit son masque et regarda son visage en pleurs. Elle le pris dans ses bras en pleurant encore plus 
-oh non rio ! 
-La première regles putain ! Putain fait chié ! Cria denver 
Berlin et moi nous nous regardons, tout va devenir compliqué avec cette relations, Tokyo fera tout même nous mettre en danger pour sauvé son rio. 
Rio qui était au sol et Tokyo qui le mettait contre elle en pleurant.
-Rio...désolé...
-FAIS CHIÉ ! 
hurla Denver pour libéré toute sa colère.

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