The White Wolf

Chapitre 8

Alexa continua sa routine, les jours passèrent et se ressemblaient. Elle avait trouvée un emploi à temps partiel dans une bibliothèque à  Port Angeles. Ca lui faisait faire de la route, mais ça l'occupait et c'était bien payer pour le peu d'heures qu'elle devait faire.  Elle partageai son temps entre le travail et chez elle, en passant par chez Kate. La jeune file étant sujette à des insomnies chroniques, et par conséquent, ça lui arrivait de sortir et faire un tour dans la foret ou juste dans les sous bois autour de chez elle. Parfois, elle s'amusait à jumper dans une autre ville, ou pays. 

Deux mois étaient passés depuis qu'Embry avait claqué la porte sans se retourner. Alexa s'efforçait de ne pas penser au jeune homme, elle y était parvenu la première fois, pourquoi pas cette fois ci ?

Aujourd'hui était une journée lambda, Alexa travaillait sur son nouveau projet que sa responsable lui avait donnée, le silence apaisant régnait dans le petit bureau au font de la bibliothèque. La jeune  fille leva les yeux de l'écran et traina son regard à travers la vitre qui la séparait des personnes présente dans la bibliothèque cette après-midi. elle fut sortit de ses pensée par la venu de sa collègue qui avait quitté son poste à l'accueil à pas rapide, le telephone fix collé contre sa poitrine. elle ne s'embêtait pas de toquer avant d'entrée, plus parce qu'elle avait l'air très pressé que parce qu'Alexa l'avait vu arriver à travers la baie vitrée. Elle lui brandi le téléphone au visage et articula "Ton père". Alexa prit le téléphone et regarda sa collègue repartir.

- Allo ?

- Chérie ? t'as mère ne voulait pas que je t'appel mais voilà, elle a fait un malaise au travail, elle a été conduite à l'hôpital et ils sont entrain de lui faire passer des examens et ça à l'air plus grave qu'un simple malaise.Rejoint nous à l'hôpital de Forks.

- Je suis déjà là, répondit Alexa, le voix noué par la peur.

Elle se leva d'un bond, ramena le téléphone à sa collègue et sorti de la bibliothèque en courant. Elle tourna au coin de la rue et disparu. Dans la précipitation, elle ne se concentra pas assez pour atterrir sans se faire remarquer. Le bruit de son corps tombant violemment dans le placard à balais alerta certains passants. La jeune fille se releva très vite et couru vers l'entrée de l'hôpital. Elle interpela le vieil homme derrière le bureau d'accueil pour avoir des informations sur sa mère. Son téléphone n'ayant plus de batterie, elle n'avait aucuns moyens de joindre son père, et le vieil homme n'était vraiment pas coopérant. Elle commençai à perdre patience quand elle entendu la voix de son père au loin. Elle abandonna l'accueil et couru vers l'endroit où la voix provenait.

Elle aperçu son père de dos, face à deux médecins. Même de là où elle se trouvait, elle voyait la compassion dans le regard des deux femmes en blouses blanches. Alexa ralentit sa course pour arriver en marchant, partagé entre l'envie de savoir ce que sa mère avait et celle de ne pas entendre la mauvaise nouvelle. Les médecins s'apprêtaient à entré dans la chambre suivit de son père quand elle arriva à ses cotés.

Sans un mot, il la prit par les épaules et la guida avec lui, à la suite des deux femmes. Dans la chambre d'un blanc passé, trop grande et trop impersonnel, avec sa mère sur un lit au milieu de beaucoup trop de fils pour quelqu'un qui avait juste fais un malaise. Son regard ne quittait pas sa mère qui paraissait trop frêle dans se grand lit border de rempart.

Tout était trop et Alexa n'arrivait pas a fixé son attention sur ce que les médecins racontaient. Elle sentit son pouls s'accélérer, elle commença a hyperventillé. Son champ de vision commençait à se rétrécir de plus en plus vite, puis plus rien.

Elle se réveilla quelques minutes plus tard, dans un lit. Elle regarda autour d'elle et vit son père dans le fauteuil près du lit d'hôpital. Elle chercha sa mère du regard avant de se souvenir. Son père se leva pour posé sa main sur son front avant de soupirer.

— Tu nous a fait une sacré frayeur.

Son ton lace laissait transparaître la fatigue et l'inquiétude. Il se releva, cette fois ci pour aller chercher quelque chose en dehors de sa chambre, en lui indiquant de ne pas bouger et qu'il serai de retour dans un instant.

Alexa regarda par la fenêtre. Les arbres commençaient à arboré leur manteau d'automne.
L'automne avait toujours été la saison préférée d'Alexa, principalement parce que : l'hiver était beaucoup trop rude pour elle, que le printemps était source de nez bouché et d'horrible allergies et l'été était trop humide. Et enfin, le point essentiel, qu'importe les saisons, la pluie régnait toujours en maîtresse imperturbable. Alors que l'automne était sa saison. Alexa trouvai que la pluie en automne était mieux, plus jolie et moins embêtante. Elle y était normal.

Son regard se fixa sur une goutte de pluie qui glissait le long de la fenêtre, grossissant au fur et à mesure de sa descente effrénée.

Son attention se détourna à l'instant où la goutte arriva sur le rebord de la fenêtre, se brisant au passage. Son regard se porta alors vers la porte d'entrée que son père et un médecin traversèrent pour venir au pied de son lit.
Le médecin les rassura, juste une hypoglycémie ajouter a l'état de choque de voir sa mère dans le lit. Rien de bien grave ou d'inquiétant. Elle fut autorisée à quitter sa chambre pour aller voir sa mère un peu plus loin dans le couloir.

Son père lui tendit le bras pour qu'elle le saisisse, et d'un seul pas, quittèrent la pièce pour se diriger vers celle qui les intéressait. Alexa découvrir sa mère réveillée, feuilletant un vieux magazine.

— C'est tout ce qu'ils avaient dans la salle d'attente, l'informa son père, ce qui tira sa mère de la contemplation d'un vieille article qui lui faisait froncer les sourcils.

— Ma chérie ! S'écria sa mère d'une voix enjouée, les bras grand ouverts. Les fils accrochés à son bras se tendirent, et certaines perfusions basculèrent dangereusement sous le movement soudain et brusque.

Alexa couru vers sa mère et se blotti dans ses bras. Elles restèrent comme ça un long moment avant que la jeune fille ne prenne place au pied du lit, son père s'était quand à lui, approprié le fauteuil près du lit comme il l'avait fait plus tot dans la chambre d'Alexa.

Après un moment de lourd silence, ses parents décidèrent de lui avoué la vérité. Elle ne comprit pas tout de suite. Ils lui laissèrent un peu de temps pour qu'elle assimile l'information. Voyant leur fille dans un état presque comme figé, ils commencèrent à s'inquiéter avant que la jeune fille ne bondisse du lit pour quitter la chambre dans un mot. Elle continua son chemin à travers les services et les couloirs pour finir par quitter l'hôpital. Ses pas la conduisait vers le sous bois au abord de l'hôpital et elle s'enfonça dans la forêt dense avant de jumper.