" Une Aïsha et Une Oumou "

Chapitre 4

Mère Rokhaya

Aïcha croyait qu'elle allait me suivre avec ses trucs qu'elle appellent habits descentes mon œil oui. Depuis quand les hommes envies ses femmes  enveloppés dans des sacs de milles tchiip. J'ai mis une très belle fille au monde avec de jolie forme et tout le potentiel mais cette ingrate au lieu d'attirer les hommes elle les faits fuirent.
Mais ce n'est pas elle c'est ma sorcière de coepouse mère Fati. Sa lui a pas suffit d'avoir tout l'amour de notre défunt mari mais elle m'a volé ma fille aussi, heureusement que tout se paie , j'ai puis m'emparer de sa fille aussi.
Aujourd'hui c'était le mariage de la fille d'une amie et heureuse que Aïcha ne m'a pas suivi. J'en ai profiter pour voir mon nouveau chéri vieux Ladji. Tout ce qui m'intéresse chez ce pauvre grincheux c'est son portefeuille , sinon qu'es-ce que la charmante Rokhaya ferai avec un homme moche comme celui là. Ah oui il faut l'avouer le père de Aïcha était trop cut. Mais personne ne sait réellement comment il est décédé , je ne l'ai pas fais exprès mais il la cherché aussi. Ce soir j'étais rentré d'une fête croyant que  Oumar dormait, puisque les autres sont parties à Segou pour un mariage dans ma belle famille. Je marchais sur les pointes du pieds pour ne pas émettre de bruit. Mais comme à son habitude père Oumar ne dormait jamais , il aimait trop faire des qiyamouls layl.

- Qu'il pleut ou qu'il neige l'oiseau chantera toujours le matin. Tout comme que tu prend de l'âge ou que tu vieillisse tes sorties nocturnes ne cesseront jamais.

- Oumar pardon Allah Kama je suis fatigué et je ne veux pas me disputé avec toi ce soir il est 3h du mat donc laisse moi aller dormir  et puis il y a quoi de mal à aller à une fête. Si tu ne veux pas profiter de la vie mois si je n'ai que 37 ans donc laisse moi respiré . Je dis ses mots en me dirigeant vers le couloir Oumar était au bord de l'escalier et n'était pas du même avis que moi . Il me tire par le bras

- Lâche moi Oumar, tu me fais mal

- Ta tombe te fera plus mal si tu ne change pas avant demain , l'enfer fait plus mal si tu continu sur ce chemin , le châtiment d'Allah est plus dure si tu ne pense qu'à vivre cette dounia à fond. Rokhaya, Rokhaya i te sabali , adama den te fochi ye kilé ni chou ko, djiyain yen wagati ye , dassouma bagnain , dassouma fin, Al djina bagnain yoro douman ba . Mbi deli yailai man san ni ko dô tchiè ( il faut arrêter , le fils d'Adam n'est rien d'autre que le jour et la nuit, la vie c'est pour un temps , le feu nous attend ,un feu tellement noir, le paradis nous attend un endroit tellement merveilleux et doux. Je t'en supplie change avant une quelconque chose )

-  Si c'est à la mort dont tu fais allusion , rassure toi je ne vais pas mourir maintenant , je suis jeune donc lâche moi tu veux. Il me secoue violemment

- Pourquoi tu ne veux pas comprendre que la mort n'a pas d'âge ni d'ami et st....

Avant qu'il ne finisse sa phrase je le pousse pour sortir de son emprise et le malheur fut qu'il soit tomber des escaliers. J'étais paniquer et j'avais peur qu'il meurt à cause de cet affreux accident. Je cours vite vers lui pour le secourir  mais le seul mot qu'il est puis prononcer fut la chahada. J'ai vraiment pleurer ce soir là car malgré les disputes entres mon mari et moi je l'aimais bien , malgré que je le trompais et qu'il le savait il me tolérait .
Je lui ai demandé pardon mais qu'elle mort peut répondre à un pardon. Je suis resté figé sur place jusqu'à 5 h du matin et d'un seul coup j'ai monté une histoire pour la raconter à la famille. Sachant qu'à 5h ils sont tous debout pour effectuer la prière de Fadjr j'ai appelé Sidiq

- Salam aleykoum mère Rokhaya un appel de toi à cette heure, il y a rien j'espère

- Si...Sidiq...Sniff.Sniff... C'est.. C'est ton père

- Mon père il a quoi mon père, il va bien mère Rokhaya dis moi ce qui se passe pourquoi pleure tu

Et là j'entend mère Fati à coté qui étais déjà paniqué et qui voulais à tout prix prendre le téléphone à son fils pour me parler